mercredi 21 décembre 2011

Un Noël immaculé de blanc...

Un beau Noël blanc,
Souviens-toi comme autrefois !

Quelques flocons d'une blancheur si pure,
Qu'ils colmatent un moment les plus vilaines blessures .

Je regarde le ciel et j'attends cet instant,
Où eux sauront renaître dans leurs doux tremblements.

Oui un beau Noël blanc Maman,
Où les étoiles se baignent tout au creux de nos bras.

Quelques minutes de grasse Maman,
Une pause dans cette vie que l'on ne retient pas.

Je te parle d'en bas Maman,
Puisque sous le sapin je n'entends plus ta voix !

Fais cela pour moi Maman,
Pour qu'en fondant sur mes doigts,
Quelques gouttes me laissent un peu de toi.

Où que tu sois joyeux Noël Maman !!!

Exister...

Les jours s'égrènent péniblement,
Sans but, sans joie,
Trop lentement,
Un trop lourd fardeau,
Quel beau cadeau
Que je traine depuis l'enfance,
Avec constance,
Prisonnière d'une phrase jetée au hasard d'une discussion,
Qui a transformé ma vie en négation,
Qui l'a éteinte
Comme on éteint une bougie
Dans un souffle interdit.

Mais je n'ai pas fini de crier que je suis,
Qui je suis,
Je ferai un ultime pied-de-nez
A cette vie si mesurée,
Trop bien réglée,
Je ne serai plus ce que vous attendez,
Je me battrai pour défendre des idées,
Que vous trouvez peut-être empreintes
De trop de naïve humanité,
Poings levés,
Mais avec cette sérénité retrouvée,
J'en ferai ma destinée
Avec au bout,
Peut-être quelque chose de plus fou,
De plus doux aussi,
Finis les compromis,
Oubliée l'image que l'on veut laisser derrière soi,
Je serai enfin Moi,
Sans foi ni loi,
Avec cette joie de m'être enfin reconnue,
Je me suis tellement attendue...

dimanche 18 décembre 2011

Petit poême de Noël...


Petit poème pour vous souhaiter un joyeux Noël
Petit Poème de Noël écrit à l’encre de merveille
La douce nuit de Noël sera encore des plus belles
Les cadeaux, les enfants attendent dès la veille

La fête de Noël est une tendresse familiale partagée
Grands-parents, Parents, enfants, amis vont s’aimer
L’arbre de Noël va d’une lueur d’amour nous illuminer
Le Père Noël tiendra ses promesses de cadeaux distribués

Poésie de Noël en guise de cartes de souhaits
Carte de vœux virtuelle pour offrir à mes amis, mes vœux
Vœux de Joyeux Noël pour votre cœur toucher
Mots pour souhaiter un joyeux Noël que pour vous je veux

Petit poème pour vous souhaiter un joyeux Noël
Petit Poème de Noël écrit à l’encre de merveille
La douce nuit de Noël sera encore des plus belles
Les cadeaux les enfants attendront dès la veille

Cloches, carillonnez gaîment !

Le ciel est noir, la terre est blanche ;
- Cloches, carillonnez gaîment ! -
Jésus est né ; - la Vierge penche
Sur lui son visage charmant.

Pas de courtines festonnées
Pour préserver l'enfant du froid ;
Rien que les toiles d'araignées
Qui pendent des poutres du toit.

Il tremble sur la paille fraîche,
Ce cher petit enfant Jésus,
Et pour l'échauffer dans sa crèche
L'âne et le boeuf soufflent dessus.

La neige au chaume coud ses franges,
Mais sur le toit s'ouvre le ciel
Et, tout en blanc, le choeur des anges
Chante aux bergers : " Noël ! Noël ! "

Théophile Gauthier

samedi 10 décembre 2011

Hiver...


De blancheur étoilée, se pose la robe d'hiver
Sur la terre en offrande, des majestueux conifères
L'harfang des neiges, succède à l'oiseau qui volette
Le hiémal de saison, aux champêtres pâquerettes

De cette esquisse saisonnière, de nos jours qui se meurent
Se pare du boréal, des ineffables lueurs
Tous ces matins de glace, naissent du royaume d'Odin
Les danses de lumières, font paraître l'aura divin

Ces idylliques fiançailles du blanc et des couleurs
Qui font naître les contes, pour en réchauffer les coeurs
A ces cantiques d'hiver, chantés dans les chaumières
Quand s'endorment les enfants, le rêve plein les paupières

Cette blancheur étoilée, où le coeur tréssaille
En ces instants d'émoi où s'enlève la grisaille
Quand s'exhument nos mémoires, pour conter nos histoires
Car cet hiver du dehors n'enlève pas l'espoir.

Amphe

dimanche 9 octobre 2011

La citation du jour...

La Tristesse Automnale...

Un coucher de soleil, une atmosphère glaciale,
Hélas est arrivée la saison automnale.
La pauvre lueur du soir apparaît tristement
Et déjà l’on entend de faibles gémissements,
Faibles oui, mais exprimant un fort sentiment,
Une impression d’être victime des évènements…
L’homme se noie dans un profond désespoir
Comme s’il était le prisonnier du noir…
Mais où sont donc cachées les clés du ciel
Qui ouvrent enfin les portes du soleil ?
La faune, la flore sont nature, Dieu est vie,
Alors pourquoi tout est si triste aujourd’hui…

Tout commence en chacun d'entre nous...

« Comme la situation du monde devient plus sombre et empire,
ils deviendront de plus en plus lumineux jusqu'à ce que
la lumière vainque toutes les ténèbres.
Il est bon d'avoir une image plus large
de ce qui est en train de se produire,
mais il est aussi très important
de réaliser que tout commence en toi.
Prends conscience que ce qui se passe
en chaque individu ressort dans le monde
et se reflète dans la situation mondiale.
C'est pourquoi la paix du cœur et
de l'esprit est si essentielle en toi,
et pourquoi l'harmonie, la compréhension
et l'amour profond devraient couler
entre toi et tous les autres...»

Eileen Caddy

mardi 23 août 2011

Penser aux autres...


Comme une charge que l’on porte
Qui nous enterre sous la vie
Les mystères que l’on transporte
Semblent nuls aux yeux d’autrui

Comme un tourbillon de sens
Personne n’imagine cela
Que l’on vogue dans une errance
De tourments et de tracas

Comme si nous étions heureux
Ils nous imaginent ainsi
Des visions de gens radieux
Brillent alors dans leurs esprits

Comme si nous étions leur chance
Les gens s’abandonnent à nous
Ils nous font pleine confiance
Et dépassent les tabous

Comme si nous étions utiles
Nous nous battons pour aider
Pourtant nous sommes si futiles
Mais apaisons les pensées

Comme une flamme de courage
Notre aide semble si précieuse
Quel bonheur que l’on soulage
Toutes ces âmes douloureuses

Comme une aide sur le chemin
Nous partageons les chagrins
Tel est donc notre destin
Epauler les êtres humains

Valérie S. (Art et Poèmes ) Mars 2009

Les moments de la vie...

Il y a des moments dans la vie,
Où la présence de l'autre nous manque tellement,
Qu'on espère sans cesse sa présence.

Rêve à ce qui te fait plaisir,
Va où tu veux aller,
Sois où tu aimerais être,
Parce que tu as seulement
Une vie pour faire ce que tu veux !

Que sur ton chemin tu puisses trouver...
Suffisamment de bonheur pour rester douce,
Suffisamment d'épreuves pour devenir forte,
Suffisamment de peine pour rester humaine,
Suffisamment d'espoir pour être heureuse.

Les personnes plus heureuses,
N'ont pas nécessairement le meilleur de tout ;
Simplement, elles exploitent au maximum
Tout ce qui se trouve sur leur route.

Le bonheur attend...
Ceux qui pleurent, ceux qui souffrent,
Ceux qui cherchent, ceux qui se dévouent,
Ceux qui s'aiment...

Parce que seules ces personnes
Peuvent apprécier l'importance de ces choses
Qui laissent des traces dans la vie !

Oublie le passé,
Abandonne derrière toi,
Tes erreurs et tes peines,
L'amour naît avec un sourire
Et grandit avec un baiser .

Les Prêtres "Glorificamus Te"



Cette musique est un bienfait aux maux qui sont entrain de détruire chaque
parcelle de nos valeurs !

Des Hommes et Des Dieux de Xavier Beauvois



Une projection magnifique dont on ne sort pas indemne.
Des images fortes, des silences riches,
une belle leçon d'humanité et d'humilité.
Un film qui permet des remises en question sur les évènements,
sur la nature humaine et sur soi.
La religion crée la guerre.
C'est une triste vérité mais les preuves sont là, l'Histoire en témoigne.
Malgré toute la bonne volonté de vouloir améliorer le sort de l'humanité,
la religion a crée plus de guerres que de paix,
plus de discordes que d'harmonie entre les peuples.
Elle a fait culminer l'intolérance des croyances de l'autre à son paroxysme.

La citation du jour...





samedi 23 juillet 2011

L'espoir luit comme...


L’espoir luit comme un brin de paille dans l’étable.
Que crains-tu de la guêpe ivre de son vol fou ?
Vois, le soleil toujours poudroie à quelque trou.
Que ne t’endormais-tu, le coude sur la table ?

Pauvre âme pâle, au moins cette eau du puits glacé,
Bois-la. Puis dors après. Allons, tu vois, je reste,
Et je dorloterai les rêves de ta sieste,
Et tu chantonneras comme un enfant bercé.

Midi sonne. De grâce, éloignez-vous, madame.
Il dort. C’est étonnant comme les pas de femme
Résonnent au cerveau des pauvres malheureux.

Midi sonne. J’ai fait arroser dans la chambre.
Va, dors ! L’espoir luit comme un caillou dans un creux.
Ah ! quand refleuriront les roses de septembre !

Paul Verlaine, Sagesse (1881)

Vérité éphémère...

Ta créativité est ton essence
Même si tu ne le sais pas
Pour ce que tu fais, tes proches te flattent
Des fois ils te rabaissent, des fois c’est l’indifférence
Tu comprends, mais tu ne les comprends pas
Leur objectivité est-elle ternie par amour, amitié, jalousie ?
Tu te dis que ce n’est pas de leur faute
Tu as surement raison
Mais toi, tu cherches la vérité
Ces sages autour ne t’aident guère
Et la vérité ne vient pas de toi tout seul
Pourtant tu as de la chance
Des autres te regardent aussi
Et ceux-là tu ne les connais pas

Jules Delavigne - Conclusions (2008)

Dit de la force de l'amour...


Entre tous mes tourments entre la mort et moi
Entre mon désespoir et la raison de vivre
Il y a l’injustice et ce malheur des hommes
Que je ne peux admettre il y a ma colère

Il y a les maquis couleur de sang d’Espagne
Il y a les maquis couleur du ciel de Grèce
Le pain le sang le ciel et le droit à l’espoir
Pour tous les innocents qui haïssent le mal

La lumière toujours est tout près de s’éteindre
La vie toujours s’apprête à devenir fumier
Mais le printemps renaît qui n’en a pas fini
Un bourgeon sort du noir et la chaleur s’installe

Et la chaleur aura raison des égoïstes
Leurs sens atrophiés n’y résisteront pas
J’entends le feu parler en riant de tiédeur
J’entends un homme dire qu’il n’a pas souffert

Toi qui fus de ma chair la conscience sensible
Toi que j’aime à jamais toi qui m’as inventé
Tu ne supportais pas l’oppression ni l’injure
Tu chantais en rêvant le bonheur sur la terre
Tu rêvais d’être libre et je te continue.

Paul Eluard

samedi 16 juillet 2011

L'Homme...


Jeté par le hasard sur un vieux globe infime,
A l’abandon, perdu comme en un océan,
Je surnage un moment et flotte à fleur d’abîme,
Épave du néant.
Et pourtant, c’est à moi,
quand sur des mers sans rive
Un naufrage éternel semblait me menacer,
Qu’une voix a crié du fond de l’Être :
« Arrive ! Je t’attends pour penser. »
L’Inconscience encor sur la nature entière
Étendait tristement son voile épais et lourd.
J’apparus ; aussitôt à travers la matière
L’Esprit se faisait jour.
Secouant ma torpeur et tout étonné d’être,
J’ai surmonté mon trouble et mon premier émoi.
Plongé dans le grand Tout, j’ai su m’y reconnaître ;
Je m’affirme et dis : « Moi ! »

Louise Ackermann

Quand les hommes vivront d'amour...


Quand les hommes vivront d'amour
Il n'y aura plus de misère
Et commenceront les beaux jours
Mais nous nous serons morts mon frère

Quand les hommes vivront d'amour
Ce sera la paix sur la Terre
Les soldats seront troubadours
Mais nous nous serons morts mon frère
Dans la grande chaîne de la vie
Où il fallait que nous passions
Où il fallait que nous soyons
Nous aurons eu la mauvaise partie

Quand les hommes vivront d'amour
Il n'y aura plus de misère
Et commenceront les beaux jours
Mais nous nous serons morts mon frère

Mais quand les hommes vivront d'amour
Qu'il n'y aura plus de misère
Peut-être penseront-ils un jour
À nous qui serons morts mon frère
Nous qui aurons aux mauvais jours
Dans la haine et puis dans la guerre
Cherché la paix, cherché l'amour
Qu'ils connaîtront alors mon frère
Dans la grande chaîne de la vie
Pour qu'il y ait un meilleur temps
Il faut toujours quelques perdants
De la sagesse ici bas c'est le prix

Quand les hommes vivront d'amour
Il n'y aura plus de misère
Et commenceront les beaux jours
Mais nous nous serons morts mon frère

Raymond Lévesque

La citation du jour...


samedi 2 juillet 2011

VIVRE ? VIVRE ! QUE VAUT LA VIE ?


La vie, l'existence est très précieuse
Même si elle n'est pas toujours gracieuse
Un jour où l'autre, c'est sûr, le bonheur revient
D'attendre patiemment, confiant, il le vaut bien

Il est bien vrai, que certains jours, nous en doutons
Elle semble disposée à donner du bâton
Tout ce que nous entreprenons semble échouer
Le bonheur donne l'impression de nous rabrouer

Mais heureusement, par d'autres nombreux moments
Elle éclaire, nos longues journées, bien joliment
D'instants précieux, de joies intenses elle nous comble
Laissant d'allégresse, notre coeur archicomble

D'une seule voix proclamons, chantons, vive la vie
Apprécions ces doux moments là avec envie
De ces instants heureux, soyons en assouvis
Et notre temps ici bas, vivons le ravis.

Le bonheur...


Le bonheur est tout autour...
Le bonheur est libre de tout attache,
Il ne dépend pas de l'approbation des autres.

Le bonheur naît de la certitude de savoir
Que l'on emprunte la route qui nous était destinée.

Le bonheur, c'est de ne pas craindre,
Les événements au tournant de la route,
Et de savoir que quoiqu'il arrive vous vous en sortirez.

Le bonheur naît quand on ignore la critique,
Et que notre coeur dicte nos gestes et nos actes.

Il fleurit là où les joies sont partagées...
Et où on a quelqu'un avec qui grandir et évoluer..

Le bonheur prend toutes ces formes,
Il est simple et illusoire à la fois.
Le bonheur, c'est apprécier ce que la vie nous a donné.

dimanche 5 juin 2011

La force qui est en nous...


Comment peut-on parfois avoir si mal, si froid,
Cette force elle est là, on ne l’écoute pas.
On laisse la souffrance nous ronger et nous prendre
Alors que notre force est là, prête à nous comprendre.
La douleur la fait taire, et vient le désespoir,
Autour de nous la vie, nous ne pouvons la voir.
Dans les pleurs et les cris, nos pensées sont bien sombres
Notre force elle est là, prête à sortir de l’ombre.
Mais non on n’est pas prêt à la laisser venir,
Dans notre désespoir, il n’y a pas d’avenir.
Et puis soudain un jour, nos peines s’évanouissent,
Notre force apparaît, pour que l’on en jouisse.
Elle vient doucement nous dire à l’oreille
Que tout autour de nous il y a des merveilles.
Alors bien prudemment on ouvre enfin les yeux,
On retrouve la vie, le monde est merveilleux.
En l’amour on veut croire, le monde devient beau.
Chaque fleur, chaque rire, est le plus beau cadeau.
Les humains que nous sommes, aimeraient-ils souffrir ?
Si la vie est si belle, pourquoi veut-on mourir ?
Faisant le mauvais choix nous préférons les pleurs,
Mais notre force est là pour donner le bonheur.
Les mauvais sentiments nous paraissent plus forts,
Nous laissant envahir, on se sent déjà mort.
Il faudrait seulement, que devant notre chute,
Nous n’abandonnions pas, et choisissions la lutte.
Quand la force s’exprime, nous nous sentons renaître,
La douleur disparaît, nous sommes à nouveau maîtres.
Nos pensées négatives, en nous n’ont plus leur place.
La force nous anime, fond notre cœur de glace.
Quand l’esprit est serein, notre corps est léger,
Le bonheur est permis, notre cœur s’épanoui.
Alors promettons-nous qu’à la prochaine épreuve,
Nous ferons le bon choix, notre force d’abord,
Laissant derrière nous les douleurs, les remords.

Hymne à la vie...


Viens fleurir avec moi les sentiers de la vie,
Les sentiers en friches que notre monde ignore,
Ceux qui furent jadis pavés d’argent et d’or,
Puis pillés, ravagés, et tombés dans l’oubli,

Nous ouvrirons la voie dans ces contrées sauvages,
Y bâtirons des temples aux mille colonnes-arbres,
Aux toitures-feuillages et aux statues de marbre
Où la nature est reine et l’homme à son image,

Et en dépit des chaînes qui ravagent nos cœurs,
Au delà de la haine qui s’imprime au fer rouge,
Des terres enténébrées et des mers aux flots rouges,
Nous ouvrirons la voie et chanterons en chœur :

Allez fleurir partout les sentiers de vos vies,
Les sentiers si riches de leurs vivants, leurs morts,
Ceux qui furent jadis pavés d’argent et d’or
Et qui seront bientôt le terreau de l’envie …

L’envie de vivre !

Nicolas Reuge

lundi 30 mai 2011

La mesure du temps...


Le TEMPS passé ou le temps qui passe ?
Prendre le temps ou le laisser passé ?
Passé son temps à courir après le temps.
Perdre son temps.
Visible ou invisible ?
Voir naître, voir mourir.
Le temps est la pour que nous puissions voir,
Entendre, et sentir la vie qui se déroule,
Qui respire, qui bouge, qui instruit, qui nous touche,
Qui nous parle, qui grandit, qui meurt, qui renaît.
Ne pas avoir de regrets à la fin de sa vie,
De ne pas avoir pris le temps pour VIVRE.

SIM

dimanche 29 mai 2011

A toi Maman...


Il y a déjà 30 ans que tu es partie,
Mais tu es toujours au plus profond de mon coeur.
Ma souffrance est encore énorme,
Je pense, sans cesse à toi, tous les jours.
Je parle de toi à ma fille Axelle âgée de 7 ans,
Je lui dis comme tu étais merveilleuse.
Je pense que tu aurais été une mamie formidable.

J'aurais tant aimé qu'elle te connaisse,
Mais hélas Dieu est venu te chercher trop tôt.
J'espère que tu es heureuse là où tu es,
Car sur la terre, la vie pour toi,
N'était pas toujours rose
Et tu as tant souffert.

Ce qui me console le plus,
C'est que là-haut tu ne souffres plus,
Et que tu puisses être en paix avec toi-même.


Je regrette tant de ne pas t'avoir dit,
Combien tu comptais pour moi,
Et combien, je t'aimais quand tu étais à mes côtés.
Mais j'espère que tu le sais,
Et que tu m'entends de là où tu es.
Un jour nous nous reverrons.

De ta fille qui t'adore, veille sur nous tous.

Maman Je t'aime et tu me manques énormément,
Même après 30 ans, je ne t'oublierai jamais.

Au nom de la fête des Mamans...


vendredi 27 mai 2011

Ma mamie...


Une MAMIE est un rayon de soleil,
Avec elle je m'émerveille,
Une mamie a qui je peux raconter
Mes maux et mes chagrins.
Elles ont une expérience et un vécu,
Que nul ne peut leur enlever.
Malgré tout cela,
Elles aiment les petits enfants bien élevés.
Elles ont aussi leur franc parler,
Mais une mamie est pleine de douceur,
Et ne sont presque pas maladroites,
Elles ont un grand coeur et,
Elles sont remplies de douceur !
Qu'on en savourerait des heures,
En leur compagnie avec plein d'harmonie !
Une mamie est une belle note de musique,
Sans être nostalgique.
Avec elles,tout devient magique et magnifique.
Une mamie qu'on aime est aussi jolie,
Même avec des cheveux gris,même avec des rides.
Elles ont beaucoup de mérites !
Une mamie est pour moi un beau poème
Avec pleins de JE T'AIME.

En hommage à ma grand-mère âgée de 81 ans aujourd'hui.

lundi 23 mai 2011

Le temps...


Le temps est quelque chose d'indéfinissable,
Que l'on aimerait tellement contrôler,
Quelque chose que l'on ne peut pas désigner,
Mais qui emmène notre vie sur son passage.

Le temps nous dit qu'il faut être patient,
Qu'il faut savoir attendre le bon moment,
Il nous dit de toujours être prudent,
Car on ne peut pas remonter le temps.

Le temps nous aide à comprendre,
A avancer avec notre passé,
Il nous aide à tout entreprendre,
Et à tout améliorer.

lundi 16 mai 2011

Offrir un peu de soi...


Offrir des rêves à la demande
Parés d’arc en ciel en cascade
Où tout devient possible dans l’impossible
Des songes en gondoles si paisibles.

Offrir des larmes pour purifier les cœurs en peine
Les donner au désert pour fleurir l’éphémère règne
Remplir les puits des souffrances asséchées
Ce liquide salé salutaire de nos pensées.

Offrir des sentiments sans détour sans retour
Des mains tendues pour embellir un parcours
Au effluve de pétales de roses d’un jardin magique
La pureté des émotions n’est elle pas magnifique !

Offrir des rires en feu d’artifice multicolore
Colorer le contour des lèvres pailletées d’or
Orner le bonheur à la dérive d’un écho divin
L’éclat des voix en bouquet de rose sans fin.

Je cours...

Je cours constamment après le temps,
Du matin au soir je le cherche
Mais en vain sans fin.

Je cours continuellement derrière le bonheur,
Impossible de le dépasser
Il court plus vite que moi.

Je cours éternellement auprès de mon ombre,
Quelque part elle me rassure
Sans elle je ne suis plus rien.

Je cours inlassablement devant les ennuis,
Rien à faire ils m’attendent
Guettant tapies dans l’ombre.

Je cours obstinément à côté des grands,
Mais d’un coup de coude
Je me retrouve par terre.

Je cours perpétuellement après la vérité,
Mais elle n’a pas le sens que je chérie
D’où mes larmes amères.

Je cours toujours pour obtenir la lune,
Mais là s’arrête ma course
Le fil d'Ariane est trop court.

Je ne cesse de courir,
Mais je dois cesser cette course interminable,
Car rien ne sert de courir
Tout vient à point……à qui sait attendre.

Tendresse

Souffle de vie...

Lorsque l'abîme pénètre en moi
Et que je sens l'heure du trépas
Je sens mes paupières se vriller
Et à la vie se raccrocher

Lorsque l'angoisse soudain me ronge
Et que je meurs à chaque songe
J'entrevois l'antre de ton cœur
Qui me libère avec ferveur

Lorsque je plonge dans le vide
De mon existence putride
Je voudrais alors m'endormir
Et ne plus jamais revenir

Pourtant lorsque ton regard
Eclaire mon chemin dans le noir
Je me sens renaître de tes mains
Et j'entrevois le lendemain

jeudi 12 mai 2011

N'abandonnez pas...


Quand tout va mal, comme c'est parfois le cas.
Quand la vie semble dure et pleine de tracas.
Quand l'argent manque et que les dettes s'accumulent.
Quand vous voulez sourire mais que les larmes perlent.
Quand demain semble loin et que le moral est bas.
Reprenez votre souffle, mais n'abandonnez pas!
La vie n'est pas facile si l'on veut réussir,
C'est un combat sans fin qui ne fait que grandir.
Certains baissent les bras fatigués de lutter,
Quand en persévérant ils auraient pu gagner.
Gardez toujours l'espoir et le succès viendra!
Reprenez votre souffle, mais n'abandonnez pas!
Le but est souvent plus proche qu'on ne le croît.
Celui qui capitule apprend toujours après,
Qu'en s'acharnant encore une dernière fois,
Il aurait pu se voir couronné de succès.
Rien ne s'obtient jamais sans en payer le prix,
Le succès ne dépend que de la volonté.
C'est le fruit du labeur et de l'assiduité.
Persévérez toujours, envers et contre tout.
Gardez la tête haute au plus dur du combat.
Reprenez votre souffle, mais n'abandonnez pas.

Chaque jour...

Prends le temps de penser,
C'est la source du pouvoir!
Prends le temps de te distraire,
C'est le secret d'une perpétuelle jeunesse.
Prends le temps de lire,
C'est la fontaine de la sagesse.
Prends le temps d'aimer et d'être aimé,
C'est le privilège divin.
Prends le temps d'être aimable,
C'est le chemin du bonheur.
Prends le temps de rire,
C'est la musique de l'âme.
Prends le temps de te reposer,
Sans quoi tu ne pourras jouir
D'aucun autre privilège !

Que vous dites !

Citoyen du monde ? Citoyen de nulle part.
Tu dis que ton territoire c’est l’humanité.
Ta seule espérance c’est d’être un phare.
Pour que les hommes puissent enfin se tolérer !

Mais au delà du discours et de la posture
Après les mots, il y a la réalité.
L’homme se moque si bien de sa monture.
Pourvu qu’il accède à toutes ses divinités.

Là, tout de suite, vite, à l’instant, maintenant !
Il y a urgence d’assouvir son délire puissant.
D’épuiser le monde comme un effrayant cancer.

Au-delà de la posture et du beau discours,
L’homme se moque des maux de sa monture.

Citoyen du monde en citoyen de l’enfer !

Gérard Brazon

lundi 9 mai 2011

La citation du jour...

Les vraies merveilles ne coûtent pas un centime...

Ici commence la liberté.
La liberté de bien se conduire.

Voici l'espace, voici l'air pur, voici le silence,
Le royaume des aurores intactes et des bêtes naïves.
Tout ce qui vous manque dans les villes,
Est ici préservé pour votre joie.

Enterrez vos soucis et emmenez vos boites de conserves.
Les papiers gras sont les cartes de visite des mufles.
Ouvrez vos yeux et vos oreilles fermez vos transistors.
Pas de bruit de moteur inutile, pas de klaxons.
Écoutez les musiques de la montagne.

Récoltez de beaux souvenirs, mais ne cueillez pas les fleurs.
N'arrachez surtout pas les plantes : il pousserait des pierres.
Ne mutilez pas les fleurs, marchez sur les sentiers.
Il faut beaucoup de brins d'herbe pour tisser un homme.

Oiseaux, chevreuils, lapins, chamois,
Et tout ce petit peuple de poil et de plume
Ont désormais besoin de votre amitié pour survivre.
Déclarez la paix aux animaux timides.
Ne les troublez pas dans leurs affaires
L'ennemi des bêtes est l'ennemi de la vie.

Afin que les printemps futurs réjouissent encore vos enfants !

Samivel (poète et randonneur)

Ode au ciel...

Parfois tu te couvres d'un drap blanc, brillant,
Et tu pleures, tout les malheurs,
De tous les gens qui ont peur,
Et qui n'ont plus que leurs larmes,
Comme armes.

Et puis tu te révoltes pour eux,
Tu deviens feu,
Tu te pars d'or,
Et tu étincelles plus fort encore.

Enfin quand tes désirs sont accomplis,
Tu deviens bleu, peureux,
Et tu t'étonnes,
De cette fougue que tu donnes,

Pour eux, les malheureux.

Alors tu t'endors gentillement,
Tu deviens noir perçé d'argent,
Et tu nous berces doucement,
Pour que dans cette nuit on est le temps,
D'oublier que demain tout reprend,
Et qu'il faudra se battre comme avant...

Sendrillon

Dame nature...

Un papillon vole, un oiseau chante
Le soleil tape mais le vent est là
La nature revit, elle est contente
Il ne fait ni trop chaud, ni trop froid

Les jeunes fruits avalent chaque goutte de soleil
Pour offrir à leurs prédateurs le meilleur d'eux même
Tous ces bons fruits sont des merveilles
En tout cas moi je les adore, je les aime

La nature a tant à nous offrir
Aujourd'hui on ne voit plus tout ça, tout doit aller vite
Laissons la, seule, grandir et s'épanouir
Soyons patient, attendons qu'elle nous invite

Arrêtez de tout presser, stoppez vous un peu
Vous voulez cerises et pêches au mois de novembre
Vous voulez aussi du soleil quand il pleut
Et de la neige le 25 décembre

Mais la nature ne se contrôle pas
Elle vit à son rythme, chaque chose en son temps
Malgré tous vos efforts, vous ne pourrez aller contre ça
Et vous vivrez mieux en l'acceptant

C'est pourquoi aujourd'hui je vous conseille
D'arrêtez de courir et de faire une pause
Regardez la nature et toutes ses merveilles
La faune et la flore que gentiment elle vous propose

Maïa

La nature si belle...

Oh toi la nature avec ta douce beauté
Tu fus créé par Dieu avec tant d’amour
Grâce à toi nous pouvons contempler toujours
La grandeur de notre Dieu ainsi que sa bonté

Oui Dieu est grand quant on voit ses montagnes
Ses forêts, ses cascades ses mers et ses campagnes
Quant on voit aussi la grandeur de toutes les saisons
Qu’ils à créé pour nous, pour notre bien être avec raison

Tu es pour nous une source de repos et de tendresse
Un lieu pour nous réfugier quant on est en détresse
Tu nous réconfortes et nous apportes la grande espérance
Par ta magie merveilleuse que l’on reçoit dans ta magnificence

Oui toi dame nature, tu es si belle et si grande toujours
Tu le sauras chaque fois avec douceur au fils des jours
Tu nous apaiseras toujours de nos soucis avec douceur
Tu seras pour moi et tous, un vrai trésor, notre bonheur.

Doucepoésie

jeudi 5 mai 2011

Les mots du jour...

Notre jardin secret...


Dans ton jardin secret, ami, va faire un tour.
Dans ton jardin secret, ami, que plantes-tu ?
Quand tu te sens bien seul, ami, sème l'amour…
Ne laisse pas germer le vide et l'inconnu !
Dans ton jardin secret, ami, es-tu perdu,
Retourne sur tes pas, cherche les blancs cailloux…
Dans ton jardin secret, ami, y pleures-tu ?
Fais attention à toi ou tu deviendras fou !
Dans ton jardin secret, ami,quand vient la pluie
Qui lavera ton coeur et mouillera tes lèvres,
Dans ton jardin secret, ami, viendra l'oublie…
Et cache ce regard qui t'a donné la fièvre !
Dans ton jardin secret, ami, fais-tu du vent
Quand s'amoncellent en toi les nuées de l'orage ?
Laisse donc s'en aller la peur et les tourments…
Dans ton jardin secret es-tu devenu sage ?
Dans ton jardin secret, ami, garde toi bien.
Chasse-en les envieux, les fourbes et les méchants.
Dans ce jardin secret, ami, tu ne crains rien.
Tu donneras ta clef seulement en partant…

Gilbert ZANELLA

Souvenir...


Chasser tout souvenir et fixer sa pensée,
Sur un bel axe d'or la tenir balancée,
Incertaine, inquiète, immobile pourtant,
Peut-être éterniser, le rêve d'un instant
Aimer le vrai, le beau, chercher leur harmonie
Ecouter dans son coeur l'écho de son génie
Chanter, rire, pleurer, seul, sans but, au hasard
D'un sourire, d'un mot, d'un soupir, d'un regard
Faire un travail exquis, plein de crainte et de charme
Faire une perle d'une larme
Du poète ici-bas voilà la passion,
Voilà son bien, sa vie et son ambition.

Alfred de Musset

Un Temps pour l'Amour...

Certains pensent que le moment pour l'amour est venu,
Tandis que la nature fleurit à la verte saison,
Le printemps annihile les vertus,
Ainsi les graines de vie fleuriront.

Mais d'autres réclament que c’est meilleur l’été,
Quand le soleil flâne dans ses longs jours,
Et que l’amour se cache sous les habits aérés,
Réveillant de longues l'histoire d'amour.

D'autres encore pensent que c’est en automne,
Il y a amour pour un et amour pour tous,
Tout en naviguant sous les arbres d'automne
Une facilité des cours de la passion vous pousse.

Et certains choisissent le coeur gelé,
Du blanc froid de l’hiver,
Sans chaleur mais à coté de la cheminée,
Des neiges isolées et sans vie, ils préfèrent.

Quant à moi le choix est clair:
Je profite de l’amour à chaque saison,
Pour des amoureux pas d’époque charnière,
Qu’importe le climat, vivons notre passion.

Les fleurs et feuilles, neige et soleil,
Quand je suis avec vous, les saisons je m’en fou,
Une année de l'amour est un instant de merveille,
Et les années deviendront une vie avec vous.

Artus de Oguz

La citation du jour...

mardi 3 mai 2011

La pauvreté face à la richesse...


Dans le monde il y a plusieurs catégories de gens
Oui les gens remplis de richesse et les pauvres gens,
Mais hélas la pauvreté amène souvent
A la vengeance et la jalousie
Comme la richesse amène à l’égoïsme,
A la différence et à l’hypocrisie.

Il y a pourtant des gens riches qui sont
Plus pauvre que les pauvres
Comme il y a des gens pauvres
Qui sont plus riches que les riches
Alors dites-moi à quoi cela nous
Sert-il vraiment d’être riches ?
Moi je préfère vivre dans la richesse
De l’amour tout en étant pauvre.

Car la plus grande richesse c’est avant tout,
Est oui l’amour de son prochain
Que l’on ne peut trouver dans la richesse terrestre
En haïssant son voisin,
Mais de vivre pauvre avec une famille unie
En harmonie dans l’amour de Dieu
C’est ce que je veux vivre, car à mes yeux
Rien n’est plus précieux et merveilleux.

Et non de vivre sans amour et de me battre
Pour en avoir plus que mon voisin
D’être prétentieuse, hautaine, égoïste,
Méchante chaque jour avec mon prochain
La pauvreté ne m’empêche pas d’être serviable,
Aimable, avec tout le monde
Ni de vivre heureuse dans la joie avec ceux
Que j’aime oui dans ce bas monde.

C’est bien dommage que la plupart des gens
Agissent ainsi dans l’indifférence
Car la terre à assez de richesse pour que
Tous soient unis dans la paix et la sérénité
Même si la richesse terrestre apporte chaque jour
Une vie de facilité comme aisée
Oui comme pour certaines personnes
Elle contribue à être libre heureuse en apparence.

Mais jamais elle apportera ce que la pauvreté nous offre,
L’amour et surtout le respect
Le bien être dans nos cœurs habités par tant
De tendresse et ce pouvoir de partager
Donc être pauvre ce n’est pas une honte,
Mais un bien fait, car cela nous évite la vanité.
L’égoïsme, la méchanceté, l’indifférence,
En nous apportant beaucoup d’amour et de paix.

Doucepoésie

mardi 26 avril 2011

L'amour change tout...


Le devoir sans amour nous rend acharné
La responsabilité sans amour nous rend impitoyable
La justice sans amour nous rend dur
La vérité sans amour nous rend critique
L'intelligence sans amour nous rend rusé
La gentillesse sans amour nous rend hypocrite
L'ordre sans amour donne un esprit étroit
L'honneur sans amour nous rend orgueilleux
La possession sans amour nous rend avare
La foi sans amour nous rend fanatique
La vie sans amour est sans valeur

mardi 19 avril 2011

A toi ma p'tite soeur ...


Dans ces quelques mots
J'ai envie de te dire
Tout l'amour que j'ai pour toi
Même si quelquefois
Nous nous disputons
Si notre différence d'âge
Nous amène à penser différemment
Je t'apprècie beaucoup
J'ai de la chance
D'avoir une soeur telle que toi
Oui je voulais te le dire
Ce n'est pas toujours facile
D'avouer ses sentiments

Tu es ma soeur
Et je t'aime.
A toi je me confis parfois
Et à moi tu te confies aussi.
Tous ces moments passés ensemble
Vont-ils continuer à exister?
En tout cas, je l'espère .
Parce que je t'aime et je pense que toi aussi,
Et nous deux c'est pour la vie...

A l'occasion du trentième anniversaire de ma p'tite
soeur...

L'amour maternel...


Dans cette vie humaine où tout n'est que chimère,
Où chaque sentiment vif et beau se ternit,
Où le plus étroit nœud demain se désunit,
Où la douce amitié bientôt devient amère,

L'amour maternel n'est point chose éphémère,
II ne trompe jamais, et jamais ne finit.
Le vaisseau vole au port, l'oiseau vole à son nid,
Et le cœur de l'enfant vole au cœur de la mère.

Le doute affreux se glisse en chaque attachement ;
L'expérience est triste et cache un ver en elle ;
Si l'on aime beaucoup, l'on craint profondément.

Mais qui douta jamais de l'âme maternelle ?...
L'amour coule de source en ce grand sentiment,
Et la lèvre du fils boit à l'onde éternelle.

Recueil de poésies La famille - 1852.
Évariste Boulay-Paty(1804 - 1864).

jeudi 14 avril 2011

La citation du jour...

La Vie...


La vie,
Sur cette route, des fleurs
Sur cette route, nos cœurs
Je n’ai pas de doute,
avec toi je nage de bonheur
Je n’ai pas de doute,
avec toi je n’ai plus peur
Sur cette route le doute à bouleverser nos cœurs
Sur cette route un matin,
j’y ai déposé des fleurs
Je n’ai pas de doute
Chaque matin, le chagrin mon quotidien
Je n’ai pas de doute
Sans toi ne suis plus rien
Sur cette route, plus de doute je te rejoins
Sur cette route, comme pris par le destin.

Cédric Dereithinger