Parfois tu te couvres d'un drap blanc, brillant,
Et tu pleures, tout les malheurs,
De tous les gens qui ont peur,
Et qui n'ont plus que leurs larmes,
Comme armes.
Et puis tu te révoltes pour eux,
Tu deviens feu,
Tu te pars d'or,
Et tu étincelles plus fort encore.
Enfin quand tes désirs sont accomplis,
Tu deviens bleu, peureux,
Et tu t'étonnes,
De cette fougue que tu donnes,
Et tu pleures, tout les malheurs,
De tous les gens qui ont peur,
Et qui n'ont plus que leurs larmes,
Comme armes.
Et puis tu te révoltes pour eux,
Tu deviens feu,
Tu te pars d'or,
Et tu étincelles plus fort encore.
Enfin quand tes désirs sont accomplis,
Tu deviens bleu, peureux,
Et tu t'étonnes,
De cette fougue que tu donnes,
Pour eux, les malheureux.
Alors tu t'endors gentillement,
Tu deviens noir perçé d'argent,
Et tu nous berces doucement,
Pour que dans cette nuit on est le temps,
D'oublier que demain tout reprend,
Et qu'il faudra se battre comme avant...
Sendrillon
Alors tu t'endors gentillement,
Tu deviens noir perçé d'argent,
Et tu nous berces doucement,
Pour que dans cette nuit on est le temps,
D'oublier que demain tout reprend,
Et qu'il faudra se battre comme avant...
Sendrillon
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