Lorsque l'abîme pénètre en moi
Et que je sens l'heure du trépas
Je sens mes paupières se vriller
Et à la vie se raccrocher
Lorsque l'angoisse soudain me ronge
Et que je meurs à chaque songe
J'entrevois l'antre de ton cœur
Qui me libère avec ferveur
Lorsque je plonge dans le vide
De mon existence putride
Je voudrais alors m'endormir
Et ne plus jamais revenir
Pourtant lorsque ton regard
Eclaire mon chemin dans le noir
Je me sens renaître de tes mains
Et j'entrevois le lendemain
Et que je sens l'heure du trépas
Je sens mes paupières se vriller
Et à la vie se raccrocher
Lorsque l'angoisse soudain me ronge
Et que je meurs à chaque songe
J'entrevois l'antre de ton cœur
Qui me libère avec ferveur
Lorsque je plonge dans le vide
De mon existence putride
Je voudrais alors m'endormir
Et ne plus jamais revenir
Pourtant lorsque ton regard
Eclaire mon chemin dans le noir
Je me sens renaître de tes mains
Et j'entrevois le lendemain
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