De blancheur étoilée, se pose la robe d'hiver
Sur la terre en offrande, des majestueux conifères
L'harfang des neiges, succède à l'oiseau qui volette
Le hiémal de saison, aux champêtres pâquerettes
De cette esquisse saisonnière, de nos jours qui se meurent
Se pare du boréal, des ineffables lueurs
Tous ces matins de glace, naissent du royaume d'Odin
Les danses de lumières, font paraître l'aura divin
Ces idylliques fiançailles du blanc et des couleurs
Qui font naître les contes, pour en réchauffer les coeurs
A ces cantiques d'hiver, chantés dans les chaumières
Quand s'endorment les enfants, le rêve plein les paupières
Cette blancheur étoilée, où le coeur tréssaille
En ces instants d'émoi où s'enlève la grisaille
Quand s'exhument nos mémoires, pour conter nos histoires
Car cet hiver du dehors n'enlève pas l'espoir.
Amphe
Sur la terre en offrande, des majestueux conifères
L'harfang des neiges, succède à l'oiseau qui volette
Le hiémal de saison, aux champêtres pâquerettes
De cette esquisse saisonnière, de nos jours qui se meurent
Se pare du boréal, des ineffables lueurs
Tous ces matins de glace, naissent du royaume d'Odin
Les danses de lumières, font paraître l'aura divin
Ces idylliques fiançailles du blanc et des couleurs
Qui font naître les contes, pour en réchauffer les coeurs
A ces cantiques d'hiver, chantés dans les chaumières
Quand s'endorment les enfants, le rêve plein les paupières
Cette blancheur étoilée, où le coeur tréssaille
En ces instants d'émoi où s'enlève la grisaille
Quand s'exhument nos mémoires, pour conter nos histoires
Car cet hiver du dehors n'enlève pas l'espoir.
Amphe
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