dimanche 13 décembre 2009

Espérance...

Oh nuit vient apporter à la terre
Le calme enchantement de ton mystère
L'ombre qui t'escorte est si douce
Si doux est le concert de tes doigts chantant l'espérance
Si grand est ton pouvoir transformant tout en rêve heureux

Oh nuit, oh laisse encore à la terre
Le calme enchantement de ton mystère
L'ombre qui t'escorte est si douce
Est-il une beauté aussi belle que le rêve
Est-il de vérité plus douce que l'espérance

Jean Philippe rameau (1683-1764)

dimanche 8 novembre 2009

La citation du jour...


Découvrez la playlist axelle avec Calogero, Stanislas

Un enfant, un rêve, un arbre...

L’association Relais des rêves à pour but de soutenir
psychologiquement des enfants atteints de maladie
ou traumatisme graves en réalisant le rêve
qui leur tient le plus à cœur afin de raviver leur envie
de se battre pour la vie permettre également à ces enfants malades
de s'échapper quelque temps de la dureté des traitements.
Apporter des services, son soutien et sa solidarité pour soutenir
leurs associations sur les maladies graves et incurable chez l’enfant.
Favoriser les actions, les recherches, les informations,
dans les domaines des maladies rares.

La Vie...


On dit que la vie est belle,
Mais pourtant elle ressemble à une marelle !
On est toujours en train de se plaindre,
Car les 2 bouts on arrive pas à les joindre !

Notre vie est faite et remplie d'histoires
Sans pour autant vouloir y croire.
On voudrait qu'elle soit sans nuages
Mais parfois elle nous fait mettre en rage !

Elle nous fait rencontrer des obstacles
Qui des fois sont insurmontables.
Tu nous as apporté des joies et des peines,
Même si elles n'en valaient pas la peine !

A quoi sert la vie à part nous mener à la mort
Alors que nous on veut aller à bon port !
La vie est un cadeau du ciel
Quelque chose d'exceptionnelle !

Tu nous vois de jour en jour grandir,
Et tu nous conduis vers notre avenir !
Tu resteras jusqu'au dernier jour
Même si tu n'as plus d'amour !

On ne la vit qu'une seule fois !
Elle est plus précieuse que n'importe quoi !


Face à face avec nos mots...


Les uns après les autres

L'éternelle errance de nos mots
C'est entreprendre l'écrit des maux
Que coule l'encre pour faire face
Créer cet être nouvel à double face
Comme un battement, tempo d'une éruption
Où notre machine s'énerve de cette option
Comme un examen d'où surgit l'espoir
Là, le temps s'escrime face à la mémoire
Tel un compte-goutte, fée de la mort
Ils batifolent, tissent la toile ; une trace ...
Les ailes déployées, sont gorgées de miasmes
Laissez cette trace, miroir de la soie, gravé or !

EsteBan HACHE (26 février 1998)

mardi 20 octobre 2009

Ainsi va la vie....


Comme un chèque qu'on dresse au quotidien
Comme une fleur, merveille nature qui passe sans teint
Comme un roseau qui se pointe, se dresse droit là-haut
Comme un espoir sur lequel on s'émeut, c'est si beau
Ainsi cours, cours et cours encore
Voile, largue les amarres et le port
Loin derrière, et, en-avant toutes les envies
Au prisme quotidien, rixe qu'est la vie
Il était un petit lutin
Qui du haut de ses trois pommes
Riait bien de ce destin
Qu'il maîtrisait à forte paume
La vie reprend son droit, et tire son cours
Au galop, culbute, arrache, trépigne le long-cours.
Pas de pause, juste une magie qui ose
Comme un filament, jette ses couleurs sans prose

EsteBan HACHE (12 octobre 1998)

Être soi....


"Sois-toi" un jour ce bon pote m'a dit
"Redeviens-toi" me dis-je aujourd'hui
Pas facile, pas simple d'être soi
Mais c'est être agile, être bien qu'être soi
La nature n'a d'envie que pour la simplicité
Être soi, c'est être nature sans aucune ambiguïté
C'est veiller au bien des autres sans duplicité
Et se fournir une paix interne en toute égalité
II y a des jours qui certes agressent
II y a alors ce que tu apportes sans cesse
Montrer enfin cette joie ineffable qui y découle
Réchauffe ce coeur et celui de l'autre qui déboule
Fortifies-toi, sois grand et "t'es toi"
Alors de nos émois tires la puissance de la foi
Qui accepte, des autres, cette flamme du moi
Dans l'éclat n'écrase point pour être soi
II y a des mots qui font que je suis moi
II y a des maux qui amplifient ; là est le roi
"Redeviens-toi" alors je me réchauffe et te bénis
"Sois-toi", sans illusion de l'esprit, que la pureté de mon habit
Merci, mon ami toi aussi, sois toi, fais le plein de tes sept vies
et réponds à celui qui dit "aide-moi"
Être grand, c'est savoir relever le petit
Rendre sa puissance d'être dans l'envie
Tendre ta main sans attendre son merci
Et jouir de son effort dans ta petite vie.
Merci l'ami...
EsteBaN HACHE

samedi 3 octobre 2009

Les risques de la Vie...


Sourire...
C'est prendre le risque de paraître ridicule.
Pleurer...
C'est prendre le risque de paraître sentimental.
Tendre la main vers l'autre...
C'est prendre le risque de s'impliquer.
Faire voir ses sentiments...
C'est prendre le risque de montrer son véritable soi.
Étaler ses idées, ses rêves devant la foule...
C'est risquer de les perdre.
Aimer...
C'est risquer de ne pas être aimer en retour.
Vivre... C'est risquer de mourir.
Espérer... C'est risquer le désespoir.
Essayer... C'est risquer l'échec...
Mais les risques doivent être courus,
Parce que le plus grand risque dans la vie,
C'est de ne rien risquer.
La personne qui ne risque rien,
Ne fait rien, n'a rien , n'est rien.
Quelqu'un peut se faire une carapace
pour éviter la souffrance et le chagrin,
mais il ne peut alors apprendre à ressentir,
à changer, à grandir, à aimer, à vivre.
Enchaîner par les certitudes, l'individu est un esclave
qui a renoncé à la liberté.
Seul l'individu qui risque est vraiment libre.

dimanche 6 septembre 2009

La citation du jour...


Mort du Comédien et Humoriste français Sim...

Le comédien et humoriste Sim, de son vrai nom Simon Berryer, est mort, dimanche 6 septembre, d'une embolie à Saint-Raphaël (Var), à l'âge de 83 ans.
Depuis quelques années, Sim limitait ses engagements à la série Louis la Brocante, au côté de Victor Lanoux. Le dernier épisode auquel il a participé doit être diffusé le 24 septembre.
Il avait été hospitalisé pour une pneumonie il y a quelques jours.

Personnalité du théâtre et de la télévision depuis ses débuts dans les années 60 au côté de Jean Nohain, Sim a tourné de nombreux films dont "Cartouche" de Philippe de Broca, "Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas, mais elle cause" de Michel Audiard, "Les Mariés de l'an II" de Jean-Paul Rappeneau, "Pinot simple flic" de Gérard Jugnot, et récemment "Astérix et Obélix aux Jeux Olympiques" de Thomas Langmann.

C'est bien la télévision et la radio qui feront de lui l'un des comiques français les plus populaires. Découvert par Jean Nohain, l'un des pionniers de la télévision, il est un fidèle de l'émission 36 chandelles. Surtout, La baronne de la Tronche-en-biais, personnage burlesque qu'il incarne travesti en femme et avec force mimiques, fait se tordre de rire les téléspectateurs.

"J'ai eu ma période de grimaces avec la baronne de la Tronche-en-biais", dira-t-il plus tard. "C'était du gros comique qui m'a ouvert les portes des grandes émissions de variétés où je n'ai cessé de raboter, peaufiner, raffiner". Pilier des Grosses têtes de Philippe Bouvard sur RTL.

dans les années 1970, Sim assure qu'il "n'aime pas les rires gras" et qu'il est "contre les mots orduriers". Personnage comique et populaire, Sim se voulait "un rigolo qui réfléchit" ce qui, soulignait-il, "paraît évidemment baroque".

Sim est mort, Dieu devait s'ennuyer, il lui fallait un comique au théatre du Paradis mais nous,

qui nous fera rire ?

jeudi 27 août 2009

Le bruit du silence...

J'aime le bruit du grand silence
Je peux parler avec le vent
Qui lui me parle, que de chance
J'aime voler au creux des vagues
Que ce silence sait faire danser
Il rit, il joue, me fait des blagues
Et le bonheur vient m'habiter
A peine un souffle en fond sombre
Une musique de tendresse
Et ce silence me donne encore
Avec ce vent bien des caresses
Il sent la paix des cathédrales
Comme un secret, une confidence
C'est comme Dieu quand il me parle
Il me rassure, comme une chance
J'entends le vide qui se remplit
Avec mes joues et mes survies
Et ce silence fait tant de bruit
Par une paix qu'il sait m'offrir.

Magoga Anais

La citation du jour...


mardi 25 août 2009

Sans attendre...


Changer de vie avant de se perdre,
sans attendre le plomb et le sang

Tant de vies qui coulent qui s’écoulent
goutte à goutte, qui se noient
coûte que coûte.
Tant de vies qui se foulent
qui s’écrasent au pied,
qui se perdent dans la foule.
Tant de vies sans houle, plates et rondes,
serrées en boules, vidées.
Tant de vies dans la norme, uniformes
incrustées dans les moules, ballottées aux courants.
Tant de vies qui se coulent, lestées d’armées de plomb
qui se foudroient, qui s’écroulent
noyées d’années de sang jusqu’à toucher le fond.
Tant de vies qui dansent au bout d’une corde
pendues à tant d’errances.
Vies d’illusions aux cous de hordes
perdues pour l’évolution.

Assez !

vendredi 14 août 2009

La pauvre fleur disait au papillon céleste...


La pauvre fleur disait au papillon céleste : Ne fuis pas !
Vois comme nos destins sont différents.
Je reste, tu t'en vas !
Pourtant nous nous aimons,
Nous vivons sans les hommes
Et loin d'eux, et nous nous ressemblons,
Et l'on dit que nous sommes Fleurs tous deux !
Mais, hélas ! l'air t'emporte et la terre m'enchaîne. Sort cruel !
Je voudrais embaumer ton vol de mon haleine dans le ciel !
Mais non, tu vas trop loin ! Parmi des fleurs sans nombre vous fuyez,
Et moi je reste seule à voir tourner mon ombre à mes pieds.
Tu fuis, puis tu reviens ; puis tu t'en vas encore luire ailleurs.
Aussi me trouves-tu toujours à chaque aurore toute en pleurs !
Oh ! pour que notre amour coule des jours fidèles, O mon roi,
Prends comme moi racine, ou donne-moi des ailes comme à toi !

Victor Hugo

Il était une fois une fleur...



Rose, oeillet, lys, tulipe ou glaïeul...
Qu'importe le parfum, pourvu qu'on ait la fleur !
Qu'importe le jardin pourvu qu'on y soit bien.

Pour simplement te dire...


Pour simplement te dire juste dans un sourire
Que mon coeur respire la fleur de tes désirs
Juste dans une larme mes sentiments s'enflamment
Au charme d'une femme quand je touche ton âme
Pour simplement te dire juste dans un rire
Que pour toi j'aime écrire des poèmes d'avenir
Comme un soleil levant brille le feu ardent
De mon amour brûlant que pour toi je ressens
Pour simplement te dire quelques rêves à t'offrir
Que tu pourras cueillir au gré de ton plaisir
Á la source du torrent je viens boire tes instants
Dans l'eau claire du temps transportée par le vent
Pour simplement te dire je t'aime dans tes désirs
Je t'aime dans ton rire, je t'aime à te le dire.

Poème extrait du recueil "Fleurs du soleil"

Vivre d'Amour...

Quand les hommes vivront d'amour
Il n'y aura plus de misère
Et commenceront les beaux jours
Mais nous nous serons morts mon frère
Quand les hommes vivront d'amour
Ce sera la paix sur la Terre
Les soldats seront troubadours
Mais nous nous serons morts mon frère
Dans la grande chaîne de la vie
Où il fallait que nous passions
Où il fallait que nous soyons
Nous aurons eu la mauvaise partie
Quand les hommes vivront d'amour
Il n'y aura plus de misère
Et commenceront les beaux jours
Mais nous nous serons morts mon frère
Mais quand les hommes vivront d'amour
Qu'il n'y aura plus de misère
Peut-être penseront-ils un jour
A nous qui serons morts mon frère
Nous qui aurons aux mauvais jours
Dans la haine et puis dans la guerre
Cherché la paix, cherché l'amour
Qu'ils connaîtront alors mon frère
Dans la grande chaîne de la vie
Pour qu'il y ait un meilleur temps
Il faut toujours quelques perdants
De la sagesse ici bas c'est le prix
Quand les hommes vivront d'amour
Il n'y aura plus de misère
Et commenceront les beaux jours
Mais nous nous serons morts mon frère

Raymond Lévesque - 1956

lundi 10 août 2009

La citation du jour...



Découvrez Elsa Lunghini!

Paroles d'enfant...

Je n'aime pas les grandes personnes !
Dans leurs têtes je suis sur ça déconne...
Je n'aime pas lorsqu'elles me disent :
"T'es trop petit pour faire à ta guise !"
"T'es trop grand fait pas l'enfant !"
Mais moi je sais bien que je suis géant !
Lorsque, juché sur le mur du jardin,
En justicier, une épée à la main,
Je brave et pourfends le vent
Tout comme j’oublie le temps
C'est moi aussi le plus fort !
Sous mon lit j'ai des tas de trésors !
Et je suis sacrément malin...
Les Fourmis et les sauterelles le savent bien !
Je n'ai peur de rien! Je suis rapide !
Maman me le dit "Mon petit intrépide !"
Mais ce que vous ne savez pas, vous les grands,
Que c'est très fatigant d'être un enfant !


Auteur - Robert


Le combat d'une mère qui prépare "l'après" pour ses enfants
envoyé par Ptite_Mule. - Regardez les dernières vidéos d'actu.


Une mère ne meurt jamais car on l'appelera toujours "maman". André Lévy

"Le Courage d'une Mère"...


Comment vivre la fin de sa vie,
quand on n’a pas quarante ans et qu’on est mère de famille ?

L’automne dernier, Marie-Laure Picat apprend qu’elle est atteinte
d’un cancer fatal à court terme.
Sa première pensée est pour ses enfants : que deviendront-ils après sa mort ?
Résolue à assumer son rôle de mère jusqu’au bout,

elle choisit elle-même une famille d’accueil.
Aussitôt, elle se heurte à une fin de non-recevoir : non, ce n’est pas à elle
de décider du futur de ses enfants mais au juge, après sa mort.
Non, rien ne garantit que Julie, Thibault, Matthieu et Margot
seront élevés ensemble. Non, ils n’habiteront pas là où ils ont grandi.
Révoltée par l’aberration de la situation, Marie-Laure alerte les médias.

Alors, un extraordinaire mouvement de solidarité se met en place,
la presse relaye son message : le courage de cette jeune maman
émeut le pays et elle reçoit un soutien inespéré.
C’est pour laisser une trace que Marie-Laure a voulu écrire ce témoignage,

pour ses enfants d’abord et aussi pour montrer qu’il faut assouplir
le carcan administratif imposé aux familles dans la détresse.
Pour que son combat ne meure pas avec elle.

Marie-Laure Picat est morte. Se sachant condamnée par un cancer,

cette mère de famille s'était battue pour pouvoir choisir
avant sa mort une famille d'accueil pour ses quatre enfants.


Elle s'est éteinte à son domicile de Puiseaux (Loiret),
dimanche 09 septembre 2009 après-midi, à l'âge de 37 ans.
Les médecins n'avaient guère laissé d'espoir au-delà de février dernier.
Elle aura bénéficié de cinq mois de sursis.
Dans les dernières semaines de sa vie, Marie-Laure n'était plus aidée
que par des injections régulières de morphine.
Sa longue maladie dont l'issue ne faisait plus aucun doute
n'avait cependant pas réussi à entamer son humeur.

"J'ai fait ce qu'il fallait faire', disait cette maman qui se savait condamnée
à très court terme par un cancer généralisé", rappelle dans un communiqué Oh! Editions,
qui avait publié son témoignage "Le courage d'une mère".
Marie-Laure Picat a lutté pour permettre à ses quatre jeunes enfants de vivre

après son départ auprès de la famille qu'elle leur avait choisie
et être ainsi certaine qu'ils continueraient d'être entourés d'affection et de tendresse.
Ses enfants, âgés alors de 2, 5, 8 et 11 ans, allaient pouvoir

rejoindre une maison dans la commune de Puiseaux.
"Ils ne changeront pas d'école, ils garderont leur copains
et seront proches de leurs parrains et marraines", ajoutait la maman,
qui avait médiatisé son histoire pour obtenir gain de cause.


La pensée du jour...

Vivre tout simplement...


Vivre tout simplement dans le temps,
Qui s’écoule doucement, doucement,
Vivre les cheveux virevoltant au vent,
Vivre allégrement ce qu’il nous est donné,
Vivre sans se soucier du temps qui va passer,
Ou de celui qui reste encore à venir,
Vivre avec la joie au cœur,
Laisser venir à soi le bonheur…
Vivre sentir le matin fraîcheur,
Rayon de soleil d’or qui caresse la peau,
Et qui s’efface doucement crépuscule venant,
Nous laissant…
Vivre la nuit parée de ses plus beaux atours,
Lune d’argent étoiles scintillantes aux cieux,
Qui nous offrent des moments merveilleux,
Qui nous font…
Vivre, aimer pour une nuit, ou pour une vie,
Vivre de l’air du temps grandissant,
Vivre tout simplement, refuser de pleurer,
Vivre pour sourire à la vie si jolie,
Vivre pour aimer, vivre à jamais.

Marie Christal

lundi 3 août 2009

Les mots du jour...


Une présence...


Votre présence est un cadeau au monde
Vous êtes unique et un dans votre genre
Votre vie peut être ce que vous voulez qu'il soit
Prenez les jours seulement un à la fois.
Comptez vos bénédictions, pas vos problèmes,
Vous passerez à travers tout ce qui traversera votre chemin
En toi repose tellement de réponses
Comprenez, ayez courage, soyez fort.
Ne mettez pas de limites sur vous même
Tant de rêves attendent pour s'être réaliser
Les décisions sont trop importantes à laisser à la chance
Atteignez pour votre sommet, votre but, votre prix.
Rien ne gaspille plus d'énergie que s'inquiéter
Le plus long porte un problème, le plus lourd il devient
Ne prenez pas trop sérieusement les choses
Menez une vie de sérénité, pas une vie de regrets.
Souvenez-vous qu'un petit d'amour va loin
Souvenez-vous que beaucoup... va à jamais
Souvenez-vous que l'amitié est un investissement sage
Les trésors de vie sont des gens...ensemble.
Rendez-vous compte que c'est jamais trop tard
Faites des choses ordinaires dans un chemin extraordinaire
Ayez santé et espoir et bonheur
Prenez le temps pour souhaiter sur une étoile
Et n'oubliez pas... Même pour un jour...
A quelle point vous êtes très spécial.

Respect et Tolérance...


La tolérance, c'est le respect d'autrui
Je n'ai rien inventé, c'est Larousse qui le dit.
Au terme tolérance, je préfère respect
Ce qui de vous à moi aurait le même effet
Et nous éviterait aujourd'hui d'en parler
Si en réalité chacun les pratiquait.
Mais seulement voila, en commençant par moi,
Chacun en ce bas monde voudrait dicter parfois
Ses idées personnelles pour en faire une loi
Ce qui, avouons le,n'est pas de bon aloi.
En fait la tolérance, c'est plutôt le contraire
Ne pas juger son frère de façon arbitraire
Accepter sa couleur, qu'il soit foncé ou clair
Et puis le laisser libre de choisir son bréviaire.
Admettre qu'il puisse être hétéro ou homo,
Ne pas lui refuser sa chance pour un boulot
Sous le simple prétexte qu'il habite un ghetto
Ou qu'il est en fauteuil suite à une polio.
Le respect c'est aussi simple que se lever
Juste pour offrir sa place à une personne âgée
Une jeune femme enceinte ou un handicapé
Geste d'humanité trop souvent oublié.
En écrivant ces vers sans aucune prétention
Je ne m'érige pas en donneur de leçon
Je voudrais simplement, à tort ou à raison,
Que chacun d'entre nous se pose la question:
Et moi dans tout cela, en maintes circonstances
Ai-je toujours fait preuve d'une grande tolérance?

Jean-Claude JUGAN

mardi 28 juillet 2009

La citation du jour...

Petits Bonheurs...



Le secret du bonheur ne consiste pas à rechercher toujours plus,
mais à développer la capacité d'apprécier avec moins.
Dan Millman

Pensées...


Derrière le portail de la faiblesse éprouvée
se trouve votre force
Derrière le portail du chagrin éprouvé
se trouvent votre plaisir et votre joie
Derrrière le portail de votre peur éprouvée
se trouve votre sécurité
Derrière le portail de votre solitude éprouvée
se trouve votre capacité d'accomplissement,
d'amour et de camaraderie
Derrière le portail de votre haine éprouvée
se trouve l'accès à l'amour
Derrière le portail du désespoir éprouvé
se trouve le véritable espoir
Derrière l'acceptation des manques de votre enfance
se trouve votre complétude.

Eva Broch Pierrakos

Qui suis-je ?


Ne soyez pas trompé par mon visage
parce que je porte mille masques
Et aucun n'est mon vrai moi.
N'en soyez pas trompé, au nom de Dieu, je vous en prie.
Je vous donne l'impression d'être sûr de moi,
Plein de confiance et de tranquilité,
Que je n'ai besoin de personne : ne me croyez pas.
Sous ce masque, il y a le vrai moi, confuse, craintive, isolée.
C'est pour cela que je me crée un masque, pour me cacher,
Pour me protéger du regard qui voit.
Et pourtant ce regard est précisément mon salut.
A condition que je l'accepte, s'il contient de l'amour,
C'est la seule chose qui peut me libérer
Des murs de la prison que j'ai moi-même élevés.
J'ai peur de ne valoir rien, de n'être bonne à rien,
Et que vous le verrez et me rejetterez.
Alors, commence la parade des masques.
Je bavarde avec vous,
Je vous dis tout ce qui n'est rien,
Et rien de ce qui m'est tout et qui pleure en moi.
S'il vous plaît, écoutez soigneusement
et essayez d'entendre ce que je ne dis pas.
J'ai vraiment envie d'être sincère, vraie,
spontanée, d'être moi-même.
Mais il faut que vous m'aidiez.
Il faut que vous me tendiez la main.
Chaque fois que vous êtes bienveillant, doux et encourageant,
Chaque fois que vous vous efforcez de comprendre
par véritable intérêt pour moi,
Mon coeur a des ailes, des ailes très faibles, mais enfin des ailes.
Par votre sensitivité, votre sympathie,
votre puissance de compréhension
Vous seul pouvez me libérer de l'ombre de mon incertitude,
De ma prison solitaire.
Ce n'est pas facile pour vous,
Car plus vous m'approchez, plus je me défends.
Mais on me dit que l'amour est plus fort que les murs des prisons
C'est en ceci qu'est mon espoir, mon seul espoir.
Essayez, je vous en prie de faire tomber ces murs d'une main ferme
Mais douce, car un enfant est sensible.
Qui suis-je, vous demandez-vous ?
Je suis quelqu'un que vous connaissez très bien.
Car je suis chaque homme,
je suis chaque femme que vous rencontrez,
Et je suis aussi Vous-Même !

Découvrez Amy Macdonald!

L'espoir est notre raison de vivre...


Souvent nous aimerions avoir une deuxième chance dans la vie,
une chance de pouvoir réparer nos erreurs,
pouvoir reprendre notre vie à zéro
pour en faire une vie de réussite et de bonheur.
Hélas nous ne pouvons pas revenir en arrière.
mais nous pouvons choisir un jour nouveau
et essayer avec un désir profond
de vivre ce jour avec tout notre coeur.
Oui, vivre un peu mieux chaque jour
et essayer de pardonner au monde dans lequel nous vivons
meme si ce n'est pas toujours facile.
Il ne faut jamais se laisser aller au désespoir
car le désespoir nous fait souvent oublier
qu'il y a toujours une petite lueur d'espoir
et une petite étoile qui est la juste pour nous faire penser à ceci :
lorsque tu donnes de l'Amour, tu donnes le Bonheur.

Les mots du jour...


vendredi 10 juillet 2009

Qu'est-ce-que l'Amour ?


Aimer c'est se comprendre sans se parler.
Aimer c'est apprendre à se respecter.
L'amour est un cadeau, qu'il ne faut refuser,
Car c'est le plus beau que l'on peut espérer.
Aimer, c'est avoir le coeur qui ne bat que pour l'être,
Qui nous donne du bonheur et nous apporte le bien-être.
L'amour est comme une fleur, doucement il s'épanouit.
C'est un état de douceur qui rend si belle la vie.
Aimer, c'est offrir à l'être aimé sans rien attendre en retour.
Aimer, c'est donner sans compter, c'est offrir tout son amour.
L'amour est un état d'esprit, pleins de moments uniques
Qui remplissent notre vie d'instants magiques.
Aimer, c'est offrir son coeur et se donner entièrement.
Il ne faut pas avoir peur de ses sentiments.
L'amour est la plus belle faveur que peut nous apporter notre existence.
C'est une grande douceur dans ce monde de violence.

Le Temps...


Tu les comptes, ces heures ?
Moi, je les connais par cœur.
Puis je les oublie.
Trop nombreuses, elles m’ennuient
Tu les entends, ces secondes ?
Je les écoute ces ondes.
Puis elles disparaissent, perdues
dans un bruit sourd continu.
Tu les sens, ces années ?
Moi, je les as déjà oubliées.
Puis elles reviennent d’un coup
et dans mon cœur font des trous.
Tu les vois, ces minutes ?
Je les accompagne dans leur chute
Puis à nouveau, elles recommencent
Moi, je reste en bas et je pense :
Le temps entre mes doigts s’amuse.
Toujours masqué, souvent il abuse.
Se jouant de mon âme pour son bon usage
il est le plus fort et c’est bien de son âge.

Philistin Panger

jeudi 9 juillet 2009

Proverbes et Citations...



La douceur des mots pour atténuer la douleur des maux...

lundi 6 juillet 2009

Pour une meilleure vie...

Allongée, dans la nuit, j'ai beaucoup réfléchi...
J'ai cherché le bien-être tout au fond de mon être...
Je me suis demandée, pourquoi je me sentais déprimée...
Et là, dans l'écran de mes pensées, j'ai compris quelle était ma destinée.
Mon but est de devenir moi-même, de réussir à ce que je m'aime,
De réussir à vivre, et ne plus vouloir fuir...
Car, comment rendre heureux, si l'on est malheureux ?
La réponse est la volonté, l'envie de vouloir aimer,
Le besoin de se montrer, le besoin de s'aimer...
A ce jour, je veux prendre ma vie, et vivre comme j'en ai envie...
Prendre du temps pour moi, prendre soin de moi...
Tout cela ne sera que bénéfique, pour une vie à nouveau féerique...
Egoïste cela peut être défini, mais, c'est ce qu'il faut parfois dans la vie.
Penser à sa personne, savoir dire non quand on nous questionne...
C'est un passage de la vie...
C'est un passage pour avoir une meilleure vie...

lundi 15 juin 2009

Une Vie...

C'est si long une vie, mais c'est si court aussi
Tantôt l'on désespère, quelquefois on espère.
On croit en tout, en rien
On fait du mal, du bien
On cherche la vérité, puis l'on veut la cacher.
On ment ou l'on se trompe
Quelque fois on a honte
On refuse de croire, on refuse de voir.
Parfois l'on s'abandonne
Rarement l'on se donne
On voudrait tant aimer, mais on ne sait aimer.
On voudrait être heureux, mais l'on est malheureux
Mais le jour où l'on trouve le secret de la vie
Ce jour-là on découvre que la vie est finie.
L'on meurt doucement en poussant un soupir
Comme font les enfants avant de s'endormir.

Arlette Fevrier-Muzard

La Vie n'a pas d'âge...

La vraie jeunesse ne s'use pas.
On a beau l'appeler souvenir,
On a beau dire qu'elle disparaît,
On a beau dire et vouloir dire que tout s'en va,
Tout ce qui est vrai reste là.
Quand la vérité est laide, c'est une bien fâcheuse histoire,
Quand la vérité est belle, rien ne ternit son miroir.
Les gens très âgés remontent en enfance
Et leur coeur bat
Là ou il n'y a pas d'autrefois.

Jacques Prévert

Les mots du jour...


Keyboard Rebel - Forest Song
- Style : [indie] [pop]

lundi 8 juin 2009

Une mère c'est ça...

Une mère c'est ça : un océan d'amour
Ou vogue le bateau, en voyage au long cours
Une vague déferlante de sourires matinaux
Des embruns de tendresse aux quatre points cardinaux
Une mère c'est aussi le repos dans la crique
Ou ses enfants chéris déposent leur fardeau
De questions, de chagrins, de joie comme un cadeau
Pour s'éloigner du large hérissé de récifs
Une mère c'est encore la rage tempétueuse
De ses gerbes de vie inondant le navire
Pour l'emmener au port ignorant le ciel gris
Et faisant fi des cris des mouettes rieuses
Une mère c'est enfin, l'horizon infini
Dans le couchant d'la vie du don de soi accompli
Qui s'enflamme chaque jour d'éphémères rayons verts
De douceurs de merci, de tous ses êtres chers

Annita

lundi 1 juin 2009

La citation du jour...


Juste Humain...


Il use de son pendule avec fierté
Cherchant la vérité dans les vieux murs
Il prête parfois l’oreille pour quelques murmures
A la recherche d’un indice ou d’une identité
Il pose sa main et ressent les vibrations
Qu’il prétend être celles des disparus
Dont la dernière demeure n’est souvent qu’une prison
Même pour les âmes qui se croient perdues
Il lui arrive de percevoir des tranches de vie
Des souvenirs passés, meurtris par le passage
Engouffrant peu à peu les esprits dans l’ennui
Sans espoir de revoir un jour leur vrai visage
Il a fait de sa vie une quête perpétuelle
A l’affût d’une réponse à la mort
Eternel insatisfait, il sait que son sort
Dépendra de la confiance d’un éternel
Enfin posé après plusieurs années
Sa philosophie n’est plus qu’incertitude
Le doute a fait de lui un être résigné
Qui ne croit plus en sa propre étude

Eolian

Rêver...

Fermer les yeux et partir aux pays des songes
Suspendre le temps pour rejoindre un mage
Guidé par son étoile sur un chariot de nuages
Voyager sans connaître le but du mirage
Pour découvrir la magie d’un rêve en image.
Oublier un instant notre existence
Côtoyer l’enfer et le paradis sans équivalence
Effacer le réel pour l’irréel, malchance ou chance !
Percer les secrets cachés de cette clairvoyance
Pour s’imprégner du souffle des pensées douces.
S’envoler pour oublier les blessures du passé
S’envelopper dans un linceul damassé doré
Laisser derrière soit un corps blessé
S’évaporer en toute liberté être libéré
Pour voyager dans l’imaginaire libre comme l’air.
Pouvoir s’évader sans entrave du présent du futur
S’abandonner au génie qui sommeille en nous
Pendant quelques heures oublier la noirceur du mur
Ce rempart qui nous cache une mer sans remous
Et plonger dans la sérénité d’un rêve Idyllique.

Te souviens-tu Grand-Mère ?

T'en souviens tu grand-mère ?
Moi je m'en souviens, c'était hier
La vie m'ouvrait grandes ses portes
Avide de tout connaitre peu importe
Les routes à prendre ou à dévier
Pour tout découvrir et à tout goûter
Que sont devenus nos cris joyeux
Eclats de rire, à qui mieux mieux
Les rondes à la récréation,
Les devoirs à la maison,
Les dimanches tous à la messe
Sans oublier de passer à confesse
Qu'est devenue l'insouciance
Que j'avais dans mon enfance
Dimanches, picnique dans les pinèdes
Par temps lourd dans les chaumières
On avait la nature en fête
Des espoirs plein la tête
Comment revenir sur un passé
Qu'est pour toujours oublié
Les cris lointains d'enfants joueurs,
La sieste des parents à l'ombre d'un pin parasol
Le retour à la maison en chantant
Tous en choeur, parents et enfants
Qu'est devenue cette joie d'antan
Je ne le retrouve à aucun moment
Les soirs d'hiver passés au coin du feu
Ecoutant les histoires à dormir debout
Une lampe à pétrole qui rechauffait l'ambiance
Les flammes se mouraient dans une dernière danse
Que sont devenues les veillées
Où tant d'histoires ont été narrées
Seule la cuisine éclairée et chauffée
Le froid sous l'édredon nous poussait
Dehors la nuit glaciale, soufflait le vent
Avant le sommeil, s'agitait l'imagination
c'est loin, si loin...
Mais je m'en souviens...

Nandy

samedi 30 mai 2009

La citation du jour...

Ce qu'il nous faudrait...

De l'amour en flacon en cadeau tous les ans
Et du monde au balcon pour se fondre dedans
Du bonheur vaporeux qui nous suivrait partout
Éclatant et moelleux pour s'endormir dessous
C'est tout ce qu'il nous faudrait
Pour une vie plus belle, des souhaits
Des souhaits, à rêver doucement
C'est tout ce qu'il nous faudrait.
Pour des matins plus doux de l'amour sans délai
A bercer patiemment des lendemains plus beaux
Pour un destin plus grand du silence, au compte gouttes
Qui nous rendrait humain.
Des questions et des doutes pour se tendre la main
Des rêves en ribambelles pour se sentir vivant
Et des rires à la pelle pour se blottir dedans
C'est tout ce qu'il nous faudrait
Pour des matins plus clairs.
De l'amour sans délai à faire en chuchotant
Une étoile aussi chaude que notre monde est grand
C'est tout ce qu'il nous faudrait
Pour ne plus avoir froid
Aimer comme on respire, aimer infiniment
C'est tout ce qu'il nous faudrait
Pour desserrer les poings
S'enivrer de bonheur jusqu'à épuisement
Des lendemains plus beaux pour un destin plus grand...

Parole d'Nolwenn Leroy

dimanche 17 mai 2009

KASS MUZET...

De délires en fous rires, trois musiciens à l’énergie débordante
revisitent un répertoire de chansons françaises drôles et décalées.
Humour, gouaille et ambiance déjantée sont au programme
de ce trio caustique et acoustique qui écume la rue,
les guinguettes, et autres bistrots de qualité…
Josiane CHEYENNE : Accordéon, chant
Mauricette PITTBULL : Chant, percussions et autres délirium
Achille MEGOT : Contrebasse

lundi 11 mai 2009

Optimisme...


Optimisme,
En ce courant qui me pousse à aller construire ce moment,
De ma nature endiablée qui s’immortalise en cet instant.
Optimisme,
Mon chemin se projette dans l’art de m’insuffler cet art,
Que l’écriture me conduit en ces mots toujours aussi bavards.
Optimisme,
Est mon esprit branché à ce que Dieu m’apporte en équité,
De mon idéalisme où je crois que l’âme peut tout transformer.
Optimisme,
Où mes diverses initiations me mènent cet état de quiétude,
Mes sens se sont développés en cette eau de certitudes.
Optimisme,
Je suis un libre penseur qui marche vers ma paix acceptée,
Par ma douceur qui m’observe de ce voile mémorisé.
Optimisme,
Je vis dans ce monde que je trouve qu’il n’est pas à juger,
Je le vois comme un monde de tolérance ou l’humanité sait s’aimer.
Optimisme,
Nous avons tous une foi différente et nous apprenons à nous connaître,
Au fil de ces années où notre maturité nous ôte de notre paraître.
Optimisme,
On plait ou on ne plait pas, ce n’est qu’une question de disharmonie,
Où nos jugements faussés nous amènent des fois à avoir cette couleur, le gris.

LYAMINE

mardi 28 avril 2009

Bon matin...

Il faut chérir cette belle heure
Pendant qu'on en est possesseur :
Toute le reste de la journée, n'a rien
D'égal à la douceur des plaisirs de la matinée.
En l'Orient de nos années, tout le soin
De nos destinées, ne tend qu'à nous
Rendre contents, les délices en sont
Voisines, et l'amour ami du printemps
A plus de fleurs, et moins d'épines.
Lorsque ce bel âge s'écoule, les soucis
Nous viennent en foule, Vénus se retire
Autre part : Conservons-en toujours l'envie :
On ne peut trop tôt ni trop tard
Goûter les plaisirs de la vie.

Sissi Tendresse

vendredi 24 avril 2009

Les mots du jour...

Les souvenirs...


Il y a ceux qui s’envolent avec nos rires d’enfants
Nos châteaux de sables, et nos rêves d’océans
Il y a ceux qui restent à jamais gravés dans nos mémoires
Qui laissent derrière eux une lueur d’espoir
Les souvenirs
Il y a ceux qui nous laissent une certaine nostalgie
Une vague dans l’âme, un air de mélancolie.
Il y a ceux qu’on voudrait garder toujours
Et ceux qui racontent nos histoires d’amour
Les souvenirs
Il y a ceux qu’on voudrait oublier
Et qui reviennent parfois nous hanter.
Il y a ceux qui déclenchent un éclat de rire
Et ceux que toutes les larmes n’arrivent pas à contenir
Les souvenirs
Il y a ceux qui nous bercent quand on ferme les yeux
Ils sont tous ce qui nous restent après les adieux.

Mel

Mourir les yeux ouverts...

Si tu crois qu’un sourire est plus fort qu’une arme,
Si tu crois à la puissance d’une main offerte,
Si tu crois que ce qui rassemble les hommes
est plus important que ce qui les divise,
Si tu crois qu’être différent est une richesse et non un danger,
Si tu sais regarder l’autre avec un brin d’amour,
Si tu sais préférer l’espérance au soupçon …
Alors la Paix viendra !

vendredi 17 avril 2009

Afflux de vie...

L’afflux de vie se déverse pareil
A un tumultueux torrent souterrain
Où les baisers scintillent, lucioles éternelles,
Présents d’un ciel apaisant
Sous lequel
Les caresses jamais ne cessent
Flagrances évanescentes sur ta robe
Rouge citron, contre ton lobe,
Réceptacle opaque où explosent
Les baisers, les coccinelles qui osent
Se faufiler dans les corsages, les hauts,
Pour qu’enfin glissent les bas
Nous nous brisons sur nos flancs
Comme ces pirates ivres de contact
Le repas se termine sur l’herbe froissée,
On remballe à la hâte les restes éparpillés
Et dans les yeux, la nature est muette
Comme en transe, ou dans une prière secrète

Samuel Coelho