L’afflux de vie se déverse pareil
A un tumultueux torrent souterrain
Où les baisers scintillent, lucioles éternelles,
Présents d’un ciel apaisant
Sous lequel
Les caresses jamais ne cessent
Flagrances évanescentes sur ta robe
Rouge citron, contre ton lobe,
Réceptacle opaque où explosent
Les baisers, les coccinelles qui osent
Se faufiler dans les corsages, les hauts,
Pour qu’enfin glissent les bas
Nous nous brisons sur nos flancs
Comme ces pirates ivres de contact
Le repas se termine sur l’herbe froissée,
On remballe à la hâte les restes éparpillés
Et dans les yeux, la nature est muette
Comme en transe, ou dans une prière secrète
Samuel Coelho
A un tumultueux torrent souterrain
Où les baisers scintillent, lucioles éternelles,
Présents d’un ciel apaisant
Sous lequel
Les caresses jamais ne cessent
Flagrances évanescentes sur ta robe
Rouge citron, contre ton lobe,
Réceptacle opaque où explosent
Les baisers, les coccinelles qui osent
Se faufiler dans les corsages, les hauts,
Pour qu’enfin glissent les bas
Nous nous brisons sur nos flancs
Comme ces pirates ivres de contact
Le repas se termine sur l’herbe froissée,
On remballe à la hâte les restes éparpillés
Et dans les yeux, la nature est muette
Comme en transe, ou dans une prière secrète
Samuel Coelho
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