Il use de son pendule avec fierté
Cherchant la vérité dans les vieux murs
Il prête parfois l’oreille pour quelques murmures
A la recherche d’un indice ou d’une identité
Il pose sa main et ressent les vibrations
Qu’il prétend être celles des disparus
Dont la dernière demeure n’est souvent qu’une prison
Même pour les âmes qui se croient perdues
Il lui arrive de percevoir des tranches de vie
Des souvenirs passés, meurtris par le passage
Engouffrant peu à peu les esprits dans l’ennui
Sans espoir de revoir un jour leur vrai visage
Il a fait de sa vie une quête perpétuelle
A l’affût d’une réponse à la mort
Eternel insatisfait, il sait que son sort
Dépendra de la confiance d’un éternel
Enfin posé après plusieurs années
Sa philosophie n’est plus qu’incertitude
Le doute a fait de lui un être résigné
Qui ne croit plus en sa propre étude
Cherchant la vérité dans les vieux murs
Il prête parfois l’oreille pour quelques murmures
A la recherche d’un indice ou d’une identité
Il pose sa main et ressent les vibrations
Qu’il prétend être celles des disparus
Dont la dernière demeure n’est souvent qu’une prison
Même pour les âmes qui se croient perdues
Il lui arrive de percevoir des tranches de vie
Des souvenirs passés, meurtris par le passage
Engouffrant peu à peu les esprits dans l’ennui
Sans espoir de revoir un jour leur vrai visage
Il a fait de sa vie une quête perpétuelle
A l’affût d’une réponse à la mort
Eternel insatisfait, il sait que son sort
Dépendra de la confiance d’un éternel
Enfin posé après plusieurs années
Sa philosophie n’est plus qu’incertitude
Le doute a fait de lui un être résigné
Qui ne croit plus en sa propre étude
Eolian
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