Tu les comptes, ces heures ?
Moi, je les connais par cœur.
Puis je les oublie.
Trop nombreuses, elles m’ennuient
Tu les entends, ces secondes ?
Je les écoute ces ondes.
Puis elles disparaissent, perdues
dans un bruit sourd continu.
Tu les sens, ces années ?
Moi, je les as déjà oubliées.
Puis elles reviennent d’un coup
et dans mon cœur font des trous.
Tu les vois, ces minutes ?
Je les accompagne dans leur chute
Puis à nouveau, elles recommencent
Moi, je reste en bas et je pense :
Le temps entre mes doigts s’amuse.
Toujours masqué, souvent il abuse.
Se jouant de mon âme pour son bon usage
il est le plus fort et c’est bien de son âge.
Philistin Panger
Moi, je les connais par cœur.
Puis je les oublie.
Trop nombreuses, elles m’ennuient
Tu les entends, ces secondes ?
Je les écoute ces ondes.
Puis elles disparaissent, perdues
dans un bruit sourd continu.
Tu les sens, ces années ?
Moi, je les as déjà oubliées.
Puis elles reviennent d’un coup
et dans mon cœur font des trous.
Tu les vois, ces minutes ?
Je les accompagne dans leur chute
Puis à nouveau, elles recommencent
Moi, je reste en bas et je pense :
Le temps entre mes doigts s’amuse.
Toujours masqué, souvent il abuse.
Se jouant de mon âme pour son bon usage
il est le plus fort et c’est bien de son âge.
Philistin Panger
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