T'en souviens tu grand-mère ?
Moi je m'en souviens, c'était hier
La vie m'ouvrait grandes ses portes
Avide de tout connaitre peu importe
Les routes à prendre ou à dévier
Pour tout découvrir et à tout goûter
Que sont devenus nos cris joyeux
Eclats de rire, à qui mieux mieux
Les rondes à la récréation,
Les devoirs à la maison,
Les dimanches tous à la messe
Sans oublier de passer à confesse
Qu'est devenue l'insouciance
Que j'avais dans mon enfance
Dimanches, picnique dans les pinèdes
Par temps lourd dans les chaumières
On avait la nature en fête
Des espoirs plein la tête
Comment revenir sur un passé
Qu'est pour toujours oublié
Les cris lointains d'enfants joueurs,
La sieste des parents à l'ombre d'un pin parasol
Le retour à la maison en chantant
Tous en choeur, parents et enfants
Qu'est devenue cette joie d'antan
Je ne le retrouve à aucun moment
Les soirs d'hiver passés au coin du feu
Ecoutant les histoires à dormir debout
Une lampe à pétrole qui rechauffait l'ambiance
Les flammes se mouraient dans une dernière danse
Que sont devenues les veillées
Où tant d'histoires ont été narrées
Seule la cuisine éclairée et chauffée
Le froid sous l'édredon nous poussait
Dehors la nuit glaciale, soufflait le vent
Avant le sommeil, s'agitait l'imagination
c'est loin, si loin...
Mais je m'en souviens...
Moi je m'en souviens, c'était hier
La vie m'ouvrait grandes ses portes
Avide de tout connaitre peu importe
Les routes à prendre ou à dévier
Pour tout découvrir et à tout goûter
Que sont devenus nos cris joyeux
Eclats de rire, à qui mieux mieux
Les rondes à la récréation,
Les devoirs à la maison,
Les dimanches tous à la messe
Sans oublier de passer à confesse
Qu'est devenue l'insouciance
Que j'avais dans mon enfance
Dimanches, picnique dans les pinèdes
Par temps lourd dans les chaumières
On avait la nature en fête
Des espoirs plein la tête
Comment revenir sur un passé
Qu'est pour toujours oublié
Les cris lointains d'enfants joueurs,
La sieste des parents à l'ombre d'un pin parasol
Le retour à la maison en chantant
Tous en choeur, parents et enfants
Qu'est devenue cette joie d'antan
Je ne le retrouve à aucun moment
Les soirs d'hiver passés au coin du feu
Ecoutant les histoires à dormir debout
Une lampe à pétrole qui rechauffait l'ambiance
Les flammes se mouraient dans une dernière danse
Que sont devenues les veillées
Où tant d'histoires ont été narrées
Seule la cuisine éclairée et chauffée
Le froid sous l'édredon nous poussait
Dehors la nuit glaciale, soufflait le vent
Avant le sommeil, s'agitait l'imagination
c'est loin, si loin...
Mais je m'en souviens...
Nandy
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