mardi 29 avril 2008
Le ballet des heures...
Les heures sont des fleurs l’une après l’autre écloses
Dans l’éternel hymen de la nuit et du jour ;
Il faut donc les cueillir comme on cueille les roses
Et ne les donner qu’à l’amour.
Ainsi que de l’éclair, rien ne reste de l’heure,
Qu’au néant destructeur le temps vient de donner ;
Dans son rapide vol embrassez la meilleure,
Toujours celle qui va sonner.
Et retenez-la bien au gré de votre envie,
Comme le seul instant que votre âme rêva ;
Comme si le bonheur de la plus longue vie
Était dans l’heure qui s’en va.
Vous trouverez toujours, depuis l’heure première
Jusqu’à l’heure de nuit qui parle douze fois,
Les vignes, sur les monts, inondés de lumière,
Les myrtes à l’ombre des bois.
Aimez, buvez, le reste est plein de choses vaines ;
Le vin, ce sang nouveau, sur la lèvre versé,
Rajeunit l’autre sang qui vieillit dans vos veines
Et donne l’oubli du passé.
Que l’heure de l’amour d’une autre soit suivie,
Savourez le regard qui vient de la beauté ;
Être seul, c’est la mort !
Être deux, c’est la vie !
L’amour c’est l’immortalité !
Gérard de Nerval
lundi 28 avril 2008
J'ai besoin de toi...
J'ai besoin de ta main pour y mettre la mienne,
J'ai besoin de ton coeur pour y cacher ma peine,
J'ai besoin de tes bras pour consoler mes larmes,
et besoin de ta force pour y forger mes armes.
J'ai besoin de tes doigts pour mettre sur ma peau,
la chaleur d'un volcan, la fraîcheur d'un ruisseau.
J'ai besoin de tes mains pour habiller mon corps,
de vagues de soleil, de goutelettes d'or.
J'ai besoin de ta bouche qui pose sur mes lèves,
la douceur d'un baiser ou le feu d'une fièvre,
J'ai besoin de ton coeur cognant ma poitrine,
une chanson d'amour en duo et sourdine.
J'ai besoin de tes yeux plongeant dans l'océan,
de craintes cachées, de mes sombres tourments,
et balayer soudain dans un train de lumière,
tout ce qui me fait peur et me desespère.
J'ai besoin de ta vie pour vivre absolument,
au temps du bonheur et au rythme du temps,
il n'y a qu'avec toi que je connais des joies,
c'est tout, tu vois... moi, j'ai besoin de toi.
Un amour qui réchauffe....
L'amour est comme un soleil,
Il éclaire et réchauffe mais,
Il peut aussi aveugler et brûler
Pour être aimé, soyez discret.
La clé des coeurs, c'est le secret
Prends moi dans tes bras,
Je serais comme en prison...
Et jette la clé, car je veux y rester
S'il faut tomber pour apprendre à marcher,
Alors il faut pleurer pour apprendre à aimer
Vivre sans amour,
C'est mourir chaque jour...
vendredi 25 avril 2008
Un rayon du ciel...
Suivre ce beau rayon, venu tout droit du ciel,
Où on le voit tomber, je le suis tête basse...
Préviens moi où tu es, je suis lune de miel
Hostile à l'espoir et à toutes ces classes,
Il est des rayons qui se perdent dans la nuit...
Et ce n'est pas dans l'ombre que l'on en survit...
Moi je suis la lune, voulant te voir briller,
Oublie la distance, n'oublie pas mes envies...
Reste là, je ne peux sans toi m'illuminer
Gagnant tes sourires qui regagnent la vie...
Alors je ne te vois plus le visage aux larmes
Ni jamais au creux de ta main, souillée, une arme...
mardi 22 avril 2008
MIEUX ÊTRE...
Avoir la force et le courage
Il faut de la force pour exprimer son opinion
Il faut du courage pour l’assumer jusqu’au bout
Il faut du courage pour l’assumer jusqu’au bout
Il faut de la force pour prendre une décision
Il faut parfois du courage pour en accepter les conséquences
Il faut parfois du courage pour en accepter les conséquences
Il faut de la force pour avancer
Il faut du courage pour accepter de s’être trompé
Il faut du courage pour accepter de s’être trompé
Il faut de la force pour affronter le danger
Il faut du courage pour accepter ses limites
Il faut du courage pour accepter ses limites
Il faut de la force pour choisir
Il faut du courage pour renoncer
Il faut du courage pour renoncer
Il faut de la force pour accepter les épreuves
Il faut du courage pour en rire
Il faut du courage pour en rire
Il faut de la force pour dénoncer
Il faut du courage pour se taire
Il faut du courage pour se taire
Il faut de la force pour gagner sa vie
Il faut du courage pour affronter la misère
Il faut du courage pour affronter la misère
Il faut de la force pour avancer
Il faut du courage pour ne pas renoncer
Il faut du courage pour ne pas renoncer
Il faut de la force pour dire non
Il faut du courage pour être capable d’affirmer son opinion sans violence
Il faut du courage pour être capable d’affirmer son opinion sans violence
Il faut de la force pour affronter les autres
Il faut du courage pour s’affronter soi-même
Il faut du courage pour s’affronter soi-même
Il faut de la force pour réussir
Il faut du courage pour se surpasser
Il faut du courage pour se surpasser
Il faut de la force pour calmer la peine d’un ami
Il faut du courage pour endurer sa propre souffrance
Il faut du courage pour endurer sa propre souffrance
Il faut de la force pour endurer l’injustice
Il faut du courage pour l’arrêter
Il faut du courage pour l’arrêter
Il faut de la force pour aimer
Il faut du courage pour s’en aller
Il faut du courage pour s’en aller
Il faut de la force pour vivre
Il faut du courage pour survivre
Il faut du courage pour survivre
Auteur inconnu
Les citations du jour....
Pour l'Homme de ma Vie "Titi"...
Près de toi
Ma vie était sans toi
Telle un nuage gris,
J'étais seule parfois
Et mon coeur assombri.
Et puis je t'ai connu,
Ainsi, un beau matin,
Comme un bel inconnu
Debout sur mon chemin.
Amoureux, pas à pas,
Tu m'ouvrais le chemin ;
Moi je suivais tes pas
Comme on suit son destin.
Je marchais près de toi
Sans m'éloigner d'un pas,
Et mon amour pour toi
Croissait à chaque pas.
Je marchais près de toi
Sans m'éloigner d'un pas,
Et mon amour pour toi
Croissait à chaque pas.
Hirondellen
L'Amitié, un trésor...
L'Amitié est un trésor, que l'on s'est difficilement gagné,
et il faut mettre tous nos efforts à le protéger, à ne pas l'user.
L'amitié c'est aussi le don du coeur,
sans attente aucune en retour,
ce sont des sourires de chaleur, que l'autre nous rend à son tour.
L'amitié, c'est prendre le temps d'écouter et ne pas chercher de réponse.
C'est comprendre sans avoir pitié les larmes que l'on dénonce.
L'amitié c'est bien plus que l'amour,
c'est un sentiment que l'on ne peut jamais tricher.
C'est une promesse de franchise pour toujours
qui ne risque jamais de nous blesser...
Ecole de la Vie...
Un corps nous a été donné
Parfois on peut l'aimer
Parfois on peut le détester
Mais, il sera notre toute notre vie.
Des leçon, on apprend, on a appris
Dans cette école appelée "VIE"
Chaque jour on apprend sans façon
Il ny a pas d'erreurs seulement des leçons.
Ailleurs n'est pas meilleur qu'ici
Quand un ailleurs est devenu ici
On obtient à nouveau un autre ailleurs
Qui a son tour senmblera meilleur qu'ici.
Ce que l'on fait de notre vie
Dépend nullement de nous
Nous avons tous les outils, ressources
Dont nous avons besoin à la source.
Ce que l'on fait dépend de nous
Le choix nous appartient.
C'est l'école de la vie
Qui nous la appris.......
Parfois on peut l'aimer
Parfois on peut le détester
Mais, il sera notre toute notre vie.
Des leçon, on apprend, on a appris
Dans cette école appelée "VIE"
Chaque jour on apprend sans façon
Il ny a pas d'erreurs seulement des leçons.
Ailleurs n'est pas meilleur qu'ici
Quand un ailleurs est devenu ici
On obtient à nouveau un autre ailleurs
Qui a son tour senmblera meilleur qu'ici.
Ce que l'on fait de notre vie
Dépend nullement de nous
Nous avons tous les outils, ressources
Dont nous avons besoin à la source.
Ce que l'on fait dépend de nous
Le choix nous appartient.
C'est l'école de la vie
Qui nous la appris.......
Daniel Balavoine - Tous les cris les S.O.S...
Comme un fou va jeter à la mer
Des bouteilles vides et puis espère
Qu'on pourra lire à travers
S.O.S. écrit avec de l'air
Pour te dire que je me sens seul
Je dessine à l'encre vide
Un désert
Et je cours
Je me raccroche à la vie
Je me saoule avec le bruit
Des corps qui m'entourent
Comme des lianes nouées de tresses
Sans comprendre la détresse
Des mots que j'envoie
Difficile d'appeler au secours
Quand tant de drames nous oppressent
Et les larmes nouées de stress
Etouffent un peu plus les cris d'amour
De ceux qui sont dans la faiblesse
Et dans un dernier espoir
Disparaissent
Et je cours
Je me raccroche à la vie
Je me saoule avec le bruit
Des corps qui m'entourent
Comme des lianes nouées de tresses
Sans comprendre la détresse
Des mots que j'envoie
Tous les cris les S.O.S.
Partent dans les airs
Dans l'eau laissent une trace
Dont les écumes font la beauté
Pris dans leur vaisseau de verre
Les messages luttent
Mais les vagues les ramènent
En pierres d'étoile sur les rochers
Et j'ai ramassé les bouts de verre
J'ai recollé tous les morceaux
Tout était clair comme de l'eau
Contre le passé y a rien à faire
Il faudrait changer les héros
Dans un monde où le plus beau
Reste à faire
Et je cours
Je me raccroche à la vie
Je me saoule avec le bruit
Des corps qui m'entourent
Comme des lianes nouées de tresses
Sans comprendre la détresse
Des mots que j'envoie
Tous les cris les S.O.S.
Partent dans les airs
Dans l'eau laissent une trace
Dont les écumes font la beauté
Pris dans leur vaisseau de verre
Les messages luttent
Mais les vagues les ramènent
En pierres d'étoiles sur les rochers
Qu'on pourra lire à travers
S.O.S. écrit avec de l'air
Pour te dire que je me sens seul
Je dessine à l'encre vide
Un désert
Et je cours
Je me raccroche à la vie
Je me saoule avec le bruit
Des corps qui m'entourent
Comme des lianes nouées de tresses
Sans comprendre la détresse
Des mots que j'envoie
Difficile d'appeler au secours
Quand tant de drames nous oppressent
Et les larmes nouées de stress
Etouffent un peu plus les cris d'amour
De ceux qui sont dans la faiblesse
Et dans un dernier espoir
Disparaissent
Et je cours
Je me raccroche à la vie
Je me saoule avec le bruit
Des corps qui m'entourent
Comme des lianes nouées de tresses
Sans comprendre la détresse
Des mots que j'envoie
Tous les cris les S.O.S.
Partent dans les airs
Dans l'eau laissent une trace
Dont les écumes font la beauté
Pris dans leur vaisseau de verre
Les messages luttent
Mais les vagues les ramènent
En pierres d'étoile sur les rochers
Et j'ai ramassé les bouts de verre
J'ai recollé tous les morceaux
Tout était clair comme de l'eau
Contre le passé y a rien à faire
Il faudrait changer les héros
Dans un monde où le plus beau
Reste à faire
Et je cours
Je me raccroche à la vie
Je me saoule avec le bruit
Des corps qui m'entourent
Comme des lianes nouées de tresses
Sans comprendre la détresse
Des mots que j'envoie
Tous les cris les S.O.S.
Partent dans les airs
Dans l'eau laissent une trace
Dont les écumes font la beauté
Pris dans leur vaisseau de verre
Les messages luttent
Mais les vagues les ramènent
En pierres d'étoiles sur les rochers
samedi 19 avril 2008
Les citations du jour...
«La culture, c'est tout ce que l'homme a inventé
pour rendre le monde vivable et la mort affrontable»
pour rendre le monde vivable et la mort affrontable»
«Ma bouche sera la bouche des malheurs qui n'ont point de bouche,
ma voix, la liberté de celles qui s'affaissent au cachot du désespoir.»
Aimé Césaire, Le cahier d'un retour au pays natal.
Prophétie...
Là où l'aventure garde les yeux clairs.
Là où les femmes rayonnent de langage.Là où la mort est belle dans la main comme un oiseau saison de lait.
Là où le souterrain cueille de sa propre génuflexion,
un luxe de prunelles plus violent que des chenilles.
Là où la merveille agile fait flèche et feu de tout bois.
Là où la nuit vigoureuse saigne une vitesse de purs végétaux.
Là où les abeilles des étoiles piquent le ciel d'une ruche plus ardente que la nuit.
Là où le bruit de mes talons remplit l'espace et lèveà rebours la face du temps
Là où l'arc-en-ciel de ma parole est chargé d'unir demain
à l'espoir et l'infant à la reine,
D'avoir injurié mes maîtres mordu les soldats du sultan,
D'avoir gémi dans le désertd'avoir crié vers mes gardiens
D'avoir supplié les chacals et les hyènes pasteurs de caravanes.
Je regarde la fumée se précipiter en cheval sauvage sur le devant de la scène,
ourle un instant la lave de sa fragile queue de paon
D'avoir injurié mes maîtres mordu les soldats du sultan,
D'avoir gémi dans le désertd'avoir crié vers mes gardiens
D'avoir supplié les chacals et les hyènes pasteurs de caravanes.
Je regarde la fumée se précipiter en cheval sauvage sur le devant de la scène,
ourle un instant la lave de sa fragile queue de paon
puis se déchirant la chemise, s'ouvre d'un coup la poitrine
et je la regarde en îles britanniques en îlots,
en rochers déchiquetés se fondre peu à peu dans la mer lucide de l'air,
où baignent prophétiques ma gueule, ma révolte, mon nom.
Aimé Césaire
en rochers déchiquetés se fondre peu à peu dans la mer lucide de l'air,
où baignent prophétiques ma gueule, ma révolte, mon nom.
Aimé Césaire
FORT-DE-FRANCE DANS LA PEINE...
L'émotion était vive, ce jeudi 17 avril 2008, en Martinique et en métropole après l'annonce du décès du poète et homme politique martiniquais Aimé Césaire, qui s'est éteint à l'aube à l'âge de 94 ans. Le chantre de la négritude sera inhumé dimanche à Fort-de-France en présence du président Nicolas Sarkozy.
Dans un communiqué, le préfet de région Ange Mancini a indiqué qu'"il y aura la mise en berne des drapeaux sur l'ensemble des bâtiments de l'Etat en Martinique jusqu'à dimanche soir".
Ancien Maire de Fort-de-France, chantre de la négritude et figure tutélaire de la politique martiniquaise, Aimé Césaire a été député de Martinique pendant près de 50 ans.
Dans un communiqué, le préfet de région Ange Mancini a indiqué qu'"il y aura la mise en berne des drapeaux sur l'ensemble des bâtiments de l'Etat en Martinique jusqu'à dimanche soir".
Ancien Maire de Fort-de-France, chantre de la négritude et figure tutélaire de la politique martiniquaise, Aimé Césaire a été député de Martinique pendant près de 50 ans.
Homme politique, écrivain, penseur, Aimé Césaire incarnait surtout à lui seul plus d'un demi-siècle de l'histoire de la Martinique. Cette figure type de l'engagement littéraire aura mis ses lettres au service d'un combat de toute une vie pour l'émancipation des Noirs.
Saluant "la mémoire d'un grand poète qui a acquis sa notoriété par la qualité de son écriture", Nicolas Sarkozy a noté dans un communiqué qu'on "retiendra de lui qu'il est l'initiateur, avec Léopold Senghor, du concept de la Négritude. Ce fut un grand humaniste dans lequel se sont reconnus tous ceux qui ont lutté pour l'émancipation des peuples au XXe siècle".
Le Premier ministre François Fillon a rendu hommage à un "représentant exceptionnel de l'engagement poétique et politique".
Saluant "la mémoire d'un grand poète qui a acquis sa notoriété par la qualité de son écriture", Nicolas Sarkozy a noté dans un communiqué qu'on "retiendra de lui qu'il est l'initiateur, avec Léopold Senghor, du concept de la Négritude. Ce fut un grand humaniste dans lequel se sont reconnus tous ceux qui ont lutté pour l'émancipation des peuples au XXe siècle".
Le Premier ministre François Fillon a rendu hommage à un "représentant exceptionnel de l'engagement poétique et politique".
Ce proche d'André Breton "ne craignait ni la force des images, ni leurs ruptures. Il laissait naître de sa colère des chants puissants et durs. Il mettait ses mots au service de la lutte pour la dignité humaine, en particulier celle des peuples colonisés et humiliés".
Jour et Nuit ...
Le soleil le bourreau la poussée des masses
La routine de mourir et mon cri de bête blessée
Et c'est ainsi jusqu'à l'infini des fièvres
La formidable écluse de la mort bombardée par mes yeux
A moi-même aléoutiens qui de terre de ver cherchent parmi terre
Et vers tes yeux de chair de soleil comme un négrillon la pièce dans l'eau
Où ne manque pas de chanter la forêt vierge jaillie du silence de la terre
De mes yeux à moi-même aléoutiens, et c'est ainsi,
Qque le saute-mouton salé des pensées hermaphrodites des appels de jaguars
De source d'antilope de savanes cueillies aux branches
A travers leur première grande aventure: la cyathée merveilleuse
Sous laquelle s'effeuille une jolie nymphe parmi le lait des mancenilliers
Et les accolades des sangsues fraternelles.
Aimé Césaire,Les armes miraculeuses, 1946 (extrait)
Video Clip en Hommage à Aimé Césaire ( Eric Virgal orlane )
Hommage à un grand Homme de la Martinique...
Le Monde tout entier vient de perdre un Combattant de la Liberté...
vendredi 18 avril 2008
Paix pour l'humanité
Est-ce cela que l'on appelle Humanité... Non, il faut tout faire pour cela change dès aujourd'hui...
A chacun d'entre nous d'y croire pour le vouloir...
Un bout de rêve...
J’ai perdu un bout de rêve quelque part sous l’oreiller
Il se dissipe quand je me lève sans lumière sans beauté
Je te chante un bout de monde sur une chaise à tes côtés
Des histoires de terre pas ronde de magiciens de sorciers
J’ai laissé mon âge ma peine tout en bas de l’escalier
Je suspends ces années vaines pour mieux pouvoir te veiller
J’ai gagné un bout de vie, je te laisse l’imaginer
Maintenant tu t’es endormi, c’est pour moi que j’ai chanté
J’ai volé un bout de rêve à un enfant qui passait
Je vois le jour qui s’achève sans lumière sans beauté
J’ai détruit un bout de monde pour mieux pouvoir démontrer
Que les humains sont immondes qu’il n’y a rien à espérer
J’ai lancé ces âges de haine tout en bas de l’escaliera
Et j’accuse ces années vaines, toi tu dors sans te douter
J’ai perdu un bout de vie sur ma chaise à te veiller
Maintenant tu t’es endormi, c’est pour moi que j’ai chanté
William Bouguereau (1825-1905)
GREEN...
Voici des fruits, des fleurs, des feuilles et des branches
Et puis voici mon cœur qui ne bat que pour vous.
Ne le déchirez pas avec vos deux mains blanches
Et qu'à vos yeux si beaux l'humble présent soit doux.
J'arrive tout couvert encore de rosée
Que le vent du matin vient glacer à mon front.
Souffrez que ma fatigue à vos pieds reposée
Rêve des chers instants qui la délasseront.
Sur votre jeune sein laissez rouler ma tête
Toute sonore encore de vos derniers baisers;
Laissez-la s'apaiser de la bonne tempête,
Et que je dorme un peu puisque vous reposez.
Paul Verlaine (1844-1896)
Et puis voici mon cœur qui ne bat que pour vous.
Ne le déchirez pas avec vos deux mains blanches
Et qu'à vos yeux si beaux l'humble présent soit doux.
J'arrive tout couvert encore de rosée
Que le vent du matin vient glacer à mon front.
Souffrez que ma fatigue à vos pieds reposée
Rêve des chers instants qui la délasseront.
Sur votre jeune sein laissez rouler ma tête
Toute sonore encore de vos derniers baisers;
Laissez-la s'apaiser de la bonne tempête,
Et que je dorme un peu puisque vous reposez.
Paul Verlaine (1844-1896)
mercredi 16 avril 2008
bOnheur, sOurires, en images et citatiOns
Que la vie est belle, crois-y et croques dedans à pleines dents....
Il n'en tient qu'à vous...
Une chanson peut illuminer un moment,
Une fleur peut ranimer un rêve.
Un arbre peut devenir forêt,
Un oiseau peut annoncer le printemps.
Un sourire fait naître l’amitié,
Une poignée de main réconforte une âme.
Une étoile peut guider un navire sur la mer,
Un mot peut définir l’objectif.
Un vote peut changer un pays,
Un rayon de soleil peut illuminer une pièce.
Une chandelle efface la noirceur,
Un rire triomphera de la tristesse.
Chaque voyage commence par un pas,
Chaque prière commence par un mot.
Un espoir remontera notre moral,
Un toucher peut montrer que vous compatissez.
Une voix peut parler avec sagesse,
Un cœur peut savoir ce qui est vrai,
Une vie peut faire toute la différence,
Vous voyez, il n’en tient qu’à vous !
Uppsala.over
Une fleur peut ranimer un rêve.
Un arbre peut devenir forêt,
Un oiseau peut annoncer le printemps.
Un sourire fait naître l’amitié,
Une poignée de main réconforte une âme.
Une étoile peut guider un navire sur la mer,
Un mot peut définir l’objectif.
Un vote peut changer un pays,
Un rayon de soleil peut illuminer une pièce.
Une chandelle efface la noirceur,
Un rire triomphera de la tristesse.
Chaque voyage commence par un pas,
Chaque prière commence par un mot.
Un espoir remontera notre moral,
Un toucher peut montrer que vous compatissez.
Une voix peut parler avec sagesse,
Un cœur peut savoir ce qui est vrai,
Une vie peut faire toute la différence,
Vous voyez, il n’en tient qu’à vous !
Uppsala.over
Mots futiles mais si utiles...
De Bonjour à Bonsoir
De Bonne journée à Bonne soirée
Sans oublier tard le soir
Avant d'aller se coucher
De venir souhaiter la Bonne nuit
Avec ces mots passe partout
Qui ne font aucun bruit
Certain(e)s d'entre vous
Me témoignent ainsi leur amitié.
Il n'y a pas de mots plus beau
Que ceux là dit avec sincérité
Je les reçois comme un cadeau
Ils ne viennent pas de ta voix
Mais tout droit de ton coeur
Et pour moi à chaque fois
C'est un moment de bonheur
©Les mots de Jicé
mardi 15 avril 2008
Droits de l'homme et jeux olympiques en Chine
La vérité, ainsi que la justice n'a pas de frontière...
Les citations du jour...
Seul celui qui change peut rester fidèle à lui-même.
Wolf Biermann
"Le vrai changement est celui qui n’est pas voulu."
CHANGER
Quand la chenille donne une leçon à l’alchimiste
Changer... une volonté qui anime chacune d’entre nous.
Changer... une volonté qui anime chacune d’entre nous.
Nous souhaitons ainsi faire évoluer une partie de nous
que n’ous n’aimons pas vers quelque chose de plus positif.
D’une certaine manière, nous souhaitons transformer du plomb en or,
D’une certaine manière, nous souhaitons transformer du plomb en or,
et cela, aucun alchimiste n’y est parvenu.
D’un autre côté, la chenille se transforme bien en papillon.
Alors il reste de l’espoir, et l’exemple du papillon nous sera
peut être plus profitable que celui de l’alchimiste.
La principale différence que j’observe entre la chenille
La principale différence que j’observe entre la chenille
et l’alchimiste, c’est la finalité.
L’alchimiste veut obtenir de l’or
quand la chenille ne se préoccupe pas de devenir un papillon.
L’alchimiste échoue là ou la chenille finalement réussi.
La chenille nous conseille de ne pas nous focaliser
La chenille nous conseille de ne pas nous focaliser
sur la destination mais sur le chemin qui y conduit.
Il faut presque oublier la destination pour ne se consacrer qu’au chemin,
c’est le plus sûr moyen d’atteindre sa destination.
Si nous oublions notre destination (changer),
Si nous oublions notre destination (changer),
que faire en cours de route pour y parvenir néanmoins ?
Ma réponse est s’accepter et se comprendre.
S’accepter comme la chenille s’accepte,
Ma réponse est s’accepter et se comprendre.
S’accepter comme la chenille s’accepte,
aimer celui que l’on est à chaque instant.
S’accepter c’est se donner une chance de mieux vivre l’instant présent,
c’est déjà beaucoup et c’est primordial pour la suite du cheminement.
Se comprendre (et accepter ce que l’on comprend),
Se comprendre (et accepter ce que l’on comprend),
c’est s’observer sans se juger, se mettre à nu.
Observer nos égoismes, nos jalousies, notre méchanceté,
tous nos prétendus défauts sans les juger et susciter le refoulement.
Se laisser aller à ces penchants pour mieux en révéler les racines
et enfin déméler le réseau subtil de nos comportements
pour en comprendre les motivations.
Quand la chenille se transforme en chrysalide,
Quand la chenille se transforme en chrysalide,
on pourrait croire qu’elle régresse plutôt qu’elle ne progresse.
Le chemin n’est pas forcément une ligne droite vers le toujours mieux.
Il faut en cours de route accepter d’être pire pour espérer être mieux.
Dés lors que l’on comprend les ressorts de nos pensées les plus éphémères,
Dés lors que l’on comprend les ressorts de nos pensées les plus éphémères,
il se produit des changements non voulus mais profonds
car ils viennent des confins de notre personnalité...
mais c’est une affirmation qu’il incombe à chacun d’expérimenter
et c’est je crois ce qui se produit dans l’intimité du cocon.
Vouloir changer l’autre est probablement tout aussi vain,
Vouloir changer l’autre est probablement tout aussi vain,
et c’est peut être un moyen d’éviter de changer soi-même.
A l’identique, il me parait plus perspicace d’essayer de l’accepter et de le comprendre.
Tout cela est bien théorique, pour entrer dans la pratique,
Tout cela est bien théorique, pour entrer dans la pratique,
laissez vous aller à certains de vos penchants pour voir
si vous en apprenez plus sur vous-même...
Le seul moyen de changer est de changer votre compréhension des choses.
Le seul moyen de changer est de changer votre compréhension des choses.
Mais qu’est-ce que cela veut dire ?
Anthony de Mello
lundi 14 avril 2008
La raison de l'amitié...
L’amitié y est une tendre romance qui devrait y être sans orages,
Elle en romprait se manque de convivialité de l’amour sauvage ?
L’amour y est plus fort que les envies, tel un tourbillon de pluie,
L’amour peut-être ou y devenir une vraie passion pour des amis,
Devant lesquels, ne devrait connaître l’ennui en aucunes raisons,
L’ennui y est une raison perdue de ce passionné et tendre cœur,
Dieu est témoins, elle n’y est pas l’élue qui voudrait le bonheur,
En cherchant et espérant quelque part, cette petite et vraie lueur
Qui y brillerait au fond de lui-même, comme une tendre chaleur,
En une espèce de fantasme qui en troublerait parfois sa raison.
Archange Sympa
Les clefs du coeur...
Il cherche par mis les elfes, l’étoile d’amour qui en réjouirait ses jours,
En passionnant ainsi, l’existence de ses nuits de cette tendre douceur.
Vous, Madame, qui le lisez, venez le rejoindre et rechercher son cœur !
Soyez-en l’étoile de ses journées et venez en adoucir toutes ses nuits,
Moyennant d’y pouvoir atteindre, patient, l’enchantement de l’amour !
Venez ! Venez !
De son cœur prenez les clefs, rompez-y votre ennui.
Archange Sympa
RENAISSANCE
Flammes du passé,
Chasse de mes pensées,
Cet incendie mortuaire,
Que point maintenant , je ne tolère.
Depuis trop longtemps, tu m'as tuée,
Fais-moi renaître, je te l'oblige,
Vivre, vivre, tu dois me laisser,
J'en ai plus qu'assez de tes immondes vestiges.
Dès lors tu dois m'accorder,
Cette paix que je te soutire,
Immédiatemment je veux retirer,
Les profits de ce nouvel avenir.
Égocentrisme, j'agis aujourd'hui,
De meilleure ardeur je serai demain,
Combat à longue allure, qui point ne fuit,
Victoire, victoire, je t'aurai de vives mains ...
dimanche 13 avril 2008
Un Tout... Une Vie...
Il était une paume avec des lignes
Ligne de chance, Ligne de coeur, Ligne de vie.
Il était une main derrière cette paume
Main qu'on tend, Main qu'on prend, Main qu'on serre.
Il était un bras qui tient cette main
Bras sur lequel on s'accroche, Bras qu'on balance de lassitude,
Bras que l'on replie sur soi.
Il était un corps qui tient ce bras
Corps en ébullition, Corps inerte, Corps vivant.
Il était un coeur à l'intérieur de ce corps
Coeur qui crie, Coeur qui pleure, Coeur qui aime.
Tout cela forme un ensemble
Ensemble de vie, Ensemble libre
Ensemble... Formant un être humain ...
Nanou-Chat-Tendresse
Au fil de la vie...
Au fil du temps, je m'enroule dans tes mots
Ceux qui effleurent ma peau tout doucement
Au fil de l'air, je m'envole là haut vers les nuages
Ceux sur lesquels j'erre léger voyage
Au fil de l'eau, je plonge et je nage caressant les vagues
Celles que je nargue avec acharnement
Au fil des mots, je m'enlace
Je les enlace pour cacher tous mes maudits maux
Nanou-Chat-Tendresse
samedi 12 avril 2008
Un jour nouveau...
Lis dans la sérénité et le calme, et laisse toi bercer par cette douce mélodie...
vendredi 11 avril 2008
Les femmes sont des anges....
Elles sourient quand elles veulent crier.
Elles chantent quand elles veulent pleurer.
Elles pleurent quand elles sont heureuses,
Et rient quand elles sont nerveuses.
Elles se battent pour ce en quoi elles croient.
Elles s'élèvent contre l'injustice.
Elles ne considère pas un "non" comme réponse
Quand elles croient qu'il y a une meilleure solution.
Elles se privent de meilleures chaussures
Pour que leurs enfants puissent en avoir.
Elles accompagnent leurs amis(es),
chez le médecin même pour un rhume.
Elles aiment sans condition.
Elles pleurent pour la réussite de leurs enfants,
Et sautent de joie quand il s'agit des victoires de leurs amis(es).
Elles sont heureuses lorsqu'elles apprennent
une naissance ou un mariage.
Leurs coeurs se brisent lorsqu'elles perdent un ami(e).
Elles sont effondrées lors de la perte d'un membre de la famille
Et pourtant elles restent fortes même quand
elles semblent au bout de leurs forces.
Elles savent qu'une étreinte et un baiser peuvent soulager un coeur brisé.
Les femmes arrivent dans toute les tailles,
toutes les couleurs et toutes les formes.
Elles prendront leur voiture, l'avion, viendront en marchant
ou en courant juste pour vous montrer qu'elles se soucient de vous.
Le coeur d'une femme, c'est ce qui fait tourner le monde.
Les femmes font beaucoup plus que mettre des enfants au monde :
Elles engendrent la joie et l'espoir.
Elles génèrent de la compassion et des idéaux.
Elles sont un soutien moral pour leur famille et leurs amis.
Les femmes ont beaucoup à dire et beaucoup à offrir.
Transmettez-le à vos amies pour leur rappeler
Transmettez-le à vos amies pour leur rappeler
combien elles sont épatantes.....
Et transmettez-le à vos amis pour leur rappeler à quel point
ils sont entourés par des femmes épatantes.
Qui a le droit...
Qui à le droit de me donner encore des leçons
La vie s'en est chargée plus que la raison
Moi qui aimais avec une telle abnégation
Qui à le droit de faire pour moi des choix
De m'imposer ses désirs , ses envies et ses lois
D'effacer tout un devenir en une seule fois
Afin de me conformer à sa vie,
Ce n'est pas moi ...
Qui à le droit de me poser toutes ces questions
Moi seule , peut répondre à mes interrogations
Et si je dois me brûler les ailes
Je le ferais , même si ça peut paraître cruel ...
Qui à le droit de décider de ma route
Je vis avec mes certitudes , mes peurs , mes doutes
C'est vrai que dans mes luttes,
Je ne suis pas toujours de taille
Mais fièrement et seule, Je mène mes batailles ...
Qui à le droit de me montrer du doigt
A chacun ses décisions , qu'elles soient bonnes ou pas
Je suis et ne resterai à jamais que moi
Je vis , j'aime , je déraille,
Et j'en prends le droit !!!
mercredi 9 avril 2008
Rêver...
Rêver, c'est oublier la réalité
En se donnant un moment de liberté.
En se donnant un moment de liberté.
Rêver c'est dire non à l'impossible
Mais aussi atteindre ce qui est inaccessible.
Rêver c'est s'inventer des roses
Quand dans la vie il n'y a pas grand-chose.
Rêver c'est se promener dans son jardin secret
Aussi sereinement qu'un roitelet.
Rêver c'est se créer un monde à soi
Illuminé par un soleil de joie.
Rêver c'est toucher la beauté
Mais aussi émouvoir sa sensibilité.
Rêver c'est broder un poème
Avec la soie d'un je t'aime
Sur le ciel de son coeur
Pour le donner à toutes les douleurs.
Rêver c'est savoir se mentir et
transfigurer la souffrance en plaisir.
Rêver c'est pénétré dans un autre univers
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