Si j'étais le bonheur, je voudrais que la vie
Fut pour tous un beau rêve ; j'irais furtivement
Effacer dans les coeurs les chagrins, les ennuis
Je me ferais petit et puis, bien doucement
Je viendrais me glisser dans un lieu de misère,
Près du déshérité pour consoler son coeur.
Je m'en retournerais, heureux d'avoir pu faire
D'un humble galetas, un foyer de bonheur
Si j'étais le Bonheur, ô toi, vie si amère,
O toi qui as déjà fait tant verser de pleurs,
Je te rénoverais, je voudrais que les mères
Au chevet de l'enfant, sentent que ce cher coeur
Ne leur réservera ni chagrin, ni tourments.
Aux vieillards je ferais une existence douce
Et le déclin de vie serait, pour eux, charmant
Ayant semé partout la joie et le bonheur
Alors je dormirais la conscience légère.
Que je serais heureux !... Comme au fond du coeur
Voyant autour de moi la joie sur les visages,
Un éclair enchanteur rayonner sur les fronts,
Lors je pourrais mourir, j'en aurais le courage
Puisque j'aurais semé le bonheur à foison
Fut pour tous un beau rêve ; j'irais furtivement
Effacer dans les coeurs les chagrins, les ennuis
Je me ferais petit et puis, bien doucement
Je viendrais me glisser dans un lieu de misère,
Près du déshérité pour consoler son coeur.
Je m'en retournerais, heureux d'avoir pu faire
D'un humble galetas, un foyer de bonheur
Si j'étais le Bonheur, ô toi, vie si amère,
O toi qui as déjà fait tant verser de pleurs,
Je te rénoverais, je voudrais que les mères
Au chevet de l'enfant, sentent que ce cher coeur
Ne leur réservera ni chagrin, ni tourments.
Aux vieillards je ferais une existence douce
Et le déclin de vie serait, pour eux, charmant
Ayant semé partout la joie et le bonheur
Alors je dormirais la conscience légère.
Que je serais heureux !... Comme au fond du coeur
Voyant autour de moi la joie sur les visages,
Un éclair enchanteur rayonner sur les fronts,
Lors je pourrais mourir, j'en aurais le courage
Puisque j'aurais semé le bonheur à foison
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