vendredi 31 octobre 2008

Espérance du monde...

Aujourd'hui, dans la nuit du monde et dans l'espérance,
j'affirme ma foi dans l'avenir de l'humanité.
Je refuse de croire que les circonstances actuelles
rendent les hommesincapables de faire une terre meilleure.
Je refuse de partager l'avis de ceux qui prétendent l'homme
à ce point captif de la nuit que l'aurore de la paix
et de la fraternité ne pourra jamais devenir une réalité.
Je crois que la vérité et l'amour, sans conditions,
auront le dernier mot effectivement.
La vie, même vaincue provisoirement,
demeure toujours plus forte que la mort.
Je crois fermement qu'il reste l'espoir d'un matin radieux,
je crois que la bonté pacifique deviendra un jour la loi.
Chaque homme pourra s'asseoir sous son figuier, dans sa vigne,
et plus personne n'aura plus de raison d'avoir peur.

Martin Luther King

lundi 27 octobre 2008


Découvrez Spleen!

La Vraie Liberté (Oasis de paix)...

Pour positionner le rôle du Moi, Freud nous propose : "Le Moi traduit en action la volonté du Ça".
"Si toute la force motrice qui fait se mouvoir le vaisseau est fournie par le Ça, le Moi est en quelque sorte celui qui assume la manœuvre du gouvernail, sans laquelle aucun but ne peut être atteint".
"Le Moi tend vers le plaisir et cherche à éviter le déplaisir".
Pour Freud, le Ça est donc la source d’énergie et le Moi est le gouvernail.

De son côté, Georg GRODDEK répète que "…ce que nous appelons Moi se comporte dans la vie d’une façon toute passive et que nous sommes, pour se servir de son expression, vécus par des forces inconnues échappant à notre maîtrise".

Comment retrouver confiance en ses capacités de parent ?



L'autorité parentale est en crise !” nous répète-t-on à l'envi.
Ne serait-elle pas plutôt en mutation, comme la famille et la société dans son ensemble ? A nous parents de la redéfinir…

Des parents moins capables qu'avant ?

Les spécialistes ne manquent pas de conseils pour nous aider à exercer au mieux notre autorité parentale. Alors pourquoi nous semblent-ils parfois si difficiles à mettre en œuvre ?

Avons-nous vraiment perdu le mode d'emploi comme voudraient nous le faire croire les défenseurs d'un retour à l'autorité de papa, et autres pourfendeurs de Françoise Dolto ?

“Notre société est très culpabilisante pour les parents. Ils souffrent quand ils ont le sentiment de ne pas être conformes à la norme, constate le psychosociologue Jean Epstein, l'arrière-cour de la culpabilité, c'est la solitude”.

L'éducation : une vraie mission !
Il est difficilement reconnu qu'élever un enfant reste une tâche éminemment complexe et beaucoup de parents se sentent très seuls face à cette mission. A tel point que près de la moitié des personnes interrogées par l'Ifop pour Kidexpo affichent une réelle nostalgie vis-à-vis de leur vie d'avant les enfants !

L'enfant est une personne...
Françoise Dolto, qui aurait eu 100 ans en novembre, a commencé par donner à l'enfant la place qui lui revient : celle d'une personne à part entière. “Par un effet de balancier assez classique, explique Jean Epstein, l'enfant est devenu le centre de tout. Mais attention, l'enfant roi n'est pas un enfant libre. Il ne peut être que l'enfant de ses parents. Faire autorité, c'est lui montrer qu'il n'est pas l'égal des adultes”.

Respecter et éduquer
Après la puissance paternelle qui a dominé l'éducation jusqu'à la fin des années 1960, puis les remises en question parfois radicales de 1968, il s'agit aujourd'hui de redéfinir les contours de notre autorité parentale. Dolto nous a appris à respecter l'enfant – et c'est un apport considérable. Mais elle disait aussi que cela n'exonère pas ses parents de l'éduquer. La balle est dans notre camp !

Le 21 octobre 2008 Laure Dumont


La citation du jour...


Etre et non paraître...

Etre et non Paraître...
Savoir rester humble face à l'immensité de l'univers
Que l'on est infiniment petits il faut le reconnaître
Qu'il y a toujours plus grand que nous sur cette terre
Aux riches bien vêtus on fait des courbettes
Aux pauvres en haillons on fait des grimaces
Peut-être que l'âme du pauvre est bien plus honnête
Que celle de ce seigneur de la haute classe
L'habit ne fait pas le moine, dit l'adage
On ferait bien d'y prendre de la graine
Ce n'est pas le plus beau qui est le plus sage
La vraie grandeur est dans l'âme humaine

Marie, Mur des bonnes nouvelles

Vie...

J'ai pardonné des erreurs presque impardonnables,
j'ai essayé de remplacer des personnes irremplaçables
et oublier des personnes inoubliables.
J'ai agi par impulsion, j'ai été déçu par des gens que j'en croyais incapables,
mais j'ai déçu des gens aussi.
J'ai tenu quelqu'un dans mes bras pour le protéger.
J'ai ri quand il ne fallait pas.
Je me suis fait des amis éternels.
J'ai aimé et l'ai été en retour, mais j'ai aussi été repoussé.
J'ai été aimé et je n'ai pas su aimer.
J'ai crié et sauté de tant de joies,
j'ai vécu d'amour et fait des promesses éternelles,
mais je me suis brisé le coeur, tant de fois !
J'ai pleuré en écoutant de la musique ou en regardant des photos.
J'ai téléphoné juste pour entendre une voix,
je suis déjà tombé amoureux d'un sourire.
J'ai déjà cru mourir par tant de nostalgie
et j'ai eu peur de perdre quelqu'un de très spécial (que j'ai fini par perdre)...
Mais j'ai survécu ! Et je vis encore !
Et la vie, je ne m'en passe pas...

Et toi non plus tu ne devrais pas t'en passer. Vis !!!
Ce qui est vraiment bon, c'est de se battre avec persuasion,

embrasser la vie et vivre avec passion,
perdre avec classe et vaincre en osant,
parce que le monde appartient à celui qui ose
et que LA VIE C'EST BEAUCOUP TROP pour être insignifiante !

Charlie Chaplin

mardi 21 octobre 2008

La citation du jour...


Bien faire ce que l'on fait...

De toutes parts, nous sommes appelés à travailler
sans repos afin d'exceller dans notre carrière.
Tout le monde n'est pas fait pour un travail spécialisé ;
moins encore parviennent aux hauteurs
du génie dans les arts et les sciences ;
beaucoup sont appelés à être travailleurs dans les usines,
les champs et les rues.
Mais il n'y a pas de travail insignifiant.
Tout travail qui aide l'humanité
a de la dignité et de l'importance.
Il doit donc être entrepris avec une perfection
qui ne recule pas devant la peine.
Celui qui est appelé à être balayeur de rues
doit balayer comme Michel-Ange peignait
ou comme Beethoven composait, ou comme Shakespeare écrivait.
Il doit balayer les rues si parfaitement
que les hôtes des cieux et de la terre s'arrêteront pour dire :
"Ici vécut un grand balayeur de rues qui fit bien son travail."
C'est ce que voulait dire Douglas Mallock quand il écrivait :
"Si tu ne peux être pin au sommet du coteau,
Sois broussaille dans la vallée.
Mais sois la meilleure petite broussaille Au bord du ruisseau.
Sois buisson, si tu ne peux être arbre.
Si tu ne peux être route, sois sentier ;
Si tu ne peux être soleil, sois étoile ;
Ce n'est point par la taille que tu vaincras ;
Sois le meilleur, quoi que tu sois."
Examinez-vous sérieusement afin de découvrir
ce pour quoi vous êtes faits,
et alors donnez-vous avec passion à son exécution.
Ce programme clair conduit à la réalisation de soi
dans la longueur d'une vie d'homme.
Martin Luther King

lundi 20 octobre 2008


Découvrez Various!

Hommage à Soeur Emmanuelle...


Sœur Emmanuelle s'est éteinte comme une étoile.
En laissant un immense rayon de lumière.
Une disparition ressentie par tous : à qui n'était-elle pas devenue familière ?
Foulard et blouse grise, tennis usés, on reconnaissait sans peine la silhouette.
Le visage ridé comme par un appétit de vie et de soleil, le regard bleu scintillant
derrière de larges lunettes, et toujours le sourire aux lèvres.
Une femme totalement disponible aux autres :
"Si on ne s'intéresse pas aux autres, la vie devient monotone",
confiait-elle un jour à Paula Boyer.
Chacun avait compris depuis son retour d'Egypte
que le mot retraite lui était étranger.
Elle n'avait jamais semblé aussi présente.
Auprès de ses amis de l'association Asmae bien sûr,
mais aussi à la télévision et à la radio, dans les écoles,
les paroisses, les prisons.
Mais encore, et toujours, près des pauvres, des exclus.
Les SDF de l'association Paola à Fréjus, par exemple.
Certes, elle goûtait la compagnie des religieuses
de la maison de retraite du Pradon,
dans le village de Callian, au pied de l'Esterel.
Elle aimait bavarder de jardinage,
mais on la sentait toujours sur le départ, vaillante sur ses pieds
ou calée dans un fauteuil roulant,
prête à monter dans une voiture, un car ou un train.
"Il faut qu'elle aille jusqu'au bout de ce qu'elle peut donner",
expliquait un jour sœur Jeanne-Bernadette.
Jusqu’au bout, être utile et efficace,
Inaction : autre mot banni de son vocabulaire.
La gamine insupportable, la jeune religieuse frondeuse,
la révoltée du Caire : comment effacer un tel caractère ?
Jusqu'au bout, elle entendait dire ce qu'elle pensait,
secouer les dormeurs, ne pas rester les bras croisés.
Etre encore utile et efficace, avec cet optimisme
qui en désarmait plus d'un, et cette façon de mettre un terme au doute :
"C't'évident, non ?
" Ne jamais laisser s'éteindre la flamme de l'espérance. Yalla !
Qui n'a perçu l'infatigable volonté derrière cette interjection
souvent répétée d'une voix à la fois fluette et ferme ?
Le charisme de sœur Emmanuelle reposait sur un sens inné du contact.
Tutoyant tout le monde, sauf le pape...,
dotée d'une mémoire d'éléphant pour les noms,
elle marquait toujours un intérêt sincère pour celui qu'elle rencontrait.
Avec le même égard, mais aussi le même culot, qu'il soit puissant ou misérable.
Dans les échanges, elle savait avec intuition ce qu'il fallait dire
et faire à chaque instant. Et elle affichait une force de conviction inaltérable :
" J'ai opté pour l'amour universel", disait-elle,
expliquant que ce n'était pas la pauvreté qu'elle aimait, mais les pauvres ;
la justice plus que la charité. On comprend que, dans ses vœux prononcés,
le plus dur aura été celui d'obéissance. Et celui de chasteté ?
Celle qui fut une jeune fille coquette effaçait d'une pirouette les remords :
"Je n'aurais pas pu me consacrer à un seul homme".
A un autre que Dieu.
Soeur Emmanuelle aura été un exemple, tout simplement un témoin.
"Je ne suis qu'une petite goutte dans un océan de misère".
Cette goutte vaut de l'or...

Soeur Emmanuelle "le Coeur et l'Esprit"...

Sœur Emmanuelle, un siècle d'amour
Les chiffonniers du Caire l’appelait Ableti, « grande sœur ». Son prénom ? Madeleine. Mais le monde entier connaît mieux celui que cette perpétuelle révoltée s’est choisi à 22 ans : Emmanuelle. Toute sa vie, la religieuse vêtue de sa sempiternelle blouse de nylon gris s’est battu contre la misère et l’exclusion.

Citations de Soeur Emmanuelle...

Il y a une plénitude d'être à acquérir
pour éclabousser de vie et d'amour les autres !
Non seulement vivre, mais faire vivre, rendre heureux.
Pour les croyants, aimer l'humanité dans le Christ.

Nous avons le devoir de chercher à travers les événements les plus terribles,
à travers le ciel le plus noir, le coin du ciel un peu bleu.
Il y a toujours dans le ciel d'orage une toute petite éclaircie.
Donne-toi comme règle de regarder le côté lumineux de tout.

On ne possède pas le bonheur comme une acquisition définitive.
Il s'agit à chaque instant de faire jaillir une étincelle de joie.
Ne l'oublions pas: "Souris au monde et le monde te sourira."

Partout et toujours, cherche sans te lasser le remède qui soulage,
sème l'espoir : ça vivifie et ton amour peut faire des miracles.

Acharnons-nous pour que l'Homme soit partout respecté.

Soeur Emmanuelle

Soeur Emmanuelle : "Il suffit d'aimer..."

Soeur Emmanuelle, qui a dédié sa vie aux plus pauvres, est décédée dans la nuit de dimanche à lundi à l'âge de 99 ans. De son vrai nom Madeleine Cinquin, elle s'est éteinte "dans son sommeil" dans la maison de retraite de Callian, dans le Var.
"Fatiguée", mais ne souffrant "d'aucune maladie particulière" selon Asmae-Association Sœur Emmanuelle, la religieuse franco-belge allait célébrer son centième anniversaire le 16 novembre prochain.

L'avenir...

Parle-moi de ce temps où les gens s’aimaient
Raconte-moi le temps où le ciel était bleu sans fumée pour le cacher
Dessine–moi l’eau quand on pouvait se baigner dedans
Montre-moi les montagnes avant qu’elles soient échevelées
Parle-moi du rire des enfants qui jouaient dans les champs
Raconte-moi les histoires que leur racontaient leurs mères en les couchant
Dessine-moi le monde avant que n’existent les bombes
Montre-moi ça à l’air de quoi des amoureux
Les oiseaux est-ce vrai qu’ils allaient boire dans les ruisseaux ?
Y’avait-il un coin où les enfants ne connaissaient pas le chagrin
Existait-il des gens heureux
Ça avait l’air de quoi des gens qui marchent deux par deux
Le monde a changé, l
a terre ne cesse de pleurer
Pourquoi l’homme l’a-t-elle déchirée
Si on essaie crois-tu qu’on pourrait la consoler

Helen

jeudi 16 octobre 2008

N'oublie pas...

Que si un rien fait souffrir
Un rien aussi fait plaisir…
Que tu peux être semeur d'optimisme,
De courage, de confiance…
Que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres…
Que tu peux, en tout temps, dire un mot aimable…
Que ton sourire non seulement t'enjolive,
Mais qu'il embellit l'existence de ceux qui t'approchent…
Que tu as des mains pour donner et un coeur pour pardonner…

Thomas Merton

mercredi 15 octobre 2008

N'oubliez jamais de rêver...

Oubliez vos journées nuageuses
Mais n'oubliez jamais vos journées de soleil.
Oubliez les rêves perdus mais n'oubliez jamais vos rêves.
Oubliez les erreurs que vous ne pouvez changer maintenant
Mais n'oubliez jamaisla leçon que vous en avez apprise.
Oubliez les jours où vous étiez seuls
Mais n'oubliez pas les sourires que vous avez eus.
Oubliez les plans qui ne semblaient pas vouloir fonctionner
Mais n'oubliez jamais d'avoir un rêve.

La citation du jour...


jeudi 9 octobre 2008

Jacques Brel - Quand on n'a que l'amour (Version originale).

Il y a trente ans, mourait Jacques Brel...
"Les hommes prudents sont des infirmes": cette phrase de Jacques Brel,
mort il y a 30 ans, le 9 octobre 1978, résume le parcours de celui qui reste
l'un des plus grands noms de la chanson francophone et le modèle de l'artiste excessif sur scène.

mercredi 8 octobre 2008

La nature et l'homme...

Un rayon de soleil transperce le ciel bleu,
La lumière est si forte que je ferme les yeux…
Une journée hivernale froide et saisissante,
Où la fragile bise est frissonnante…
La douce neige fond sous les rayons chauds,
Et laisse apparaître de petites nappes d’eau
Qui reflètent le soleil jusque dans mon coeur…
Il y a des jours où il n’y a que malheur,
Mais la nature est là pour nous rappeler
Que le temps fait tout changer…
Les feuilles des arbres tombent en automne,
Mais ressusciteront de façon monotone…
La neige couvre les beaux paysages en hiver,
Mais s’évanouira sous la lumière sévère
Du doux soleil du printemps…
La nature, c’est comme un être vivant,
Son esprit s’illumine ou s’assombrit,
Son corps est verdoyant ou affaibli…
Prenons donc exemple sur la Nature
Qui encaisse des dégradations dures,
Mais qui sait se relever avec le temps…

Incessant devenir...


La Nature se rattache à la Vie
de même que je me rattache à la Nature
et je me dois de poursuivre ma Voie,
celle de la Nature qui me fait revivre.
Je me sens foetus en hiver,
naissante au printemps,
animée au coeur de l'été
puis rassasiée dès l'automne.
Je profite de l'hiver pour m'endormir,
rêver et faire mûrir mes projets,
puis du printemps pour me dégourdir;
prête à l'action, je renais.
Durant l'été, je m'épanouis
et j'aime me combler de succès.
L'automne venu, c'est inouïe
comme je me sens repue à souhait.
Pour rien au monde je renoncerai
à recommencer pour l'éternité.
Et pour toujours je donnerai
à Mère Nature ma fidélité.



Découvrez Grégoire!

Si j'étais le bonheur...

Si j'étais le bonheur, je voudrais que la vie
Fut pour tous un beau rêve ; j'irais furtivement
Effacer dans les coeurs les chagrins, les ennuis
Je me ferais petit et puis, bien doucement
Je viendrais me glisser dans un lieu de misère,
Près du déshérité pour consoler son coeur.
Je m'en retournerais, heureux d'avoir pu faire
D'un humble galetas, un foyer de bonheur
Si j'étais le Bonheur, ô toi, vie si amère,
O toi qui as déjà fait tant verser de pleurs,
Je te rénoverais, je voudrais que les mères
Au chevet de l'enfant, sentent que ce cher coeur
Ne leur réservera ni chagrin, ni tourments.
Aux vieillards je ferais une existence douce
Et le déclin de vie serait, pour eux, charmant
Ayant semé partout la joie et le bonheur
Alors je dormirais la conscience légère.
Que je serais heureux !...
Comme au fond du coeur
Voyant autour de moi la joie sur les visages,
Un éclair enchanteur rayonner sur les fronts,
Lors je pourrais mourir, j'en aurais le courage
Puisque j'aurais semé le bonheur à foison

L'Amitié, qui donne envie d'Aimer...

L'amitié comme l'amour demande beaucoup d'efforts,d'attention,
de constance,elle exige surtour de savoir offrir ce que l'on a de plus cher
dans la vie : du temps ... Catherine Deneuve

L'Amitié...

Amitié si pure
Qui sait refermer nos pires blessures
Amitié si belle
Qui restera en nos coeurs, éternelle
Amitié si intense
Qui nous prouve cette magie, si immense
Amitié si soudée
Qui ne pourra jamais nous délaisser
Amitié si infinie
Qui restera même à la fin de nos vies.
Amitié si grande
Qui nous comble telle une offrande

Une vie en couleurs...

Faisons nous une vie en couleurs,
Une vie faite de couleurs et de bonheur,
Chassons à grands pas le noir de notre vie,
Même le gris sombre, c'est interdit.
Bleus comme tes yeux que j'adore,
Bleu c'est le ciel quand la toile au soleil dore.
Blonds comme les blés avant la moisson, dans les champs.
Tes cheveux, mon amour, le sont.
Rouge comme l'amour fort, ta bouche et tes lèvres sur mon corps,
Rouge comme la plus adorable des fleurs,
Les couleurs de la vie, sont un présage de bonheur.
Donne-moi un bouton de rose, qui ce matin n'était pas encore éclose.
Vert, couleur de la nature au printemps,
Valse douce, de dégradé de vert en ce moment,
Blanc pureté d'un enfant, qui n'a encore aucun tourment.
J'aime la palette de couleurs, j'aime le bonheur,
J'adore les fleurs, j'adore tout ce qui est douceur.

Morganne

La citation du jour...


samedi 4 octobre 2008

Pour Toi Mon Amour...

L’amour…

L'amour ce n'est pas uniquement des paroles;
Ce n'est pas non plus les baisers.
L'amour, c'est un sentiment profond dont le coeur est le symbole.
Quand on s'aime, on offre sa tendresse, sa joie de vivre
Et sa bonne humeur, avec plaisir;
Quand on arrive à oublier les défauts, à se baser sur les qualités,
On a vraiment trouvé le chemin de l'amour,
Aimer, c'est être capable de pardonner;
C'est dire à l'autre qu'on l'aime, sans jamais se lasser;
C'est être capable de retenir sa langue afin de ne pas offenser;
C'est reconnaître que l'on peut se tromper.

PHIL COLLINS - You'll be in my heart.

«Conquérons le monde avec notre amour. Entrelaçons nos vies, tissons-les des liens du sacrifice et de l'amour, il nous sera possible de conquérir le monde.» Mère Thérésa

vendredi 3 octobre 2008

Pensées...

Derrière le portail de la faiblesse éprouvée se trouve votre force
Derrière le portail du chagrin éprouvé se trouvent votre plaisir et votre joie
Derrrière le portail de votre peur éprouvée se trouve votre sécurité
Derrière le portail de votre solitude éprouvée se trouve
votre capacité d'accomplissement, d'amour et de camaraderie
Derrière le portail de votre haine éprouvée se trouve l'accès à l'amour
Derrière le portail du désespoir éprouvé se trouve le véritable espoir
Derrière l'acceptation des manques de votre enfance
se trouve votre complétude.
Derrière les nuages de votre vie brille toujours...le soleil.

Eva Broch Pierrakos

Découvrez Cocoon!

L'été s'enfuit...

L'aube est moins claire, l'air moins chaud, le ciel moins pur
Le soir brumeux ternit les astres de l'azur.
Les longs jours sont passés ; les mois charmants finissent.
Hélas ! voici déjà les arbres qui jaunissent !
Comme le temps s'en va d'un pas précipité !
Il semble que nos yeux, qu'éblouissait l'été,
Ont à peine eu le temps de voir les feuilles vertes.
Pour qui vit comme moi les fenêtres ouvertes,
L'automne est triste avec sa bise et son brouillard,
Et l'été qui s'enfuit est un ami qui part.
Adieu, dit cette voix qui dans notre âme pleure,
Adieu, ciel bleu ! beau ciel qu'un souffle tiède effleure !
Voluptés du grand air, bruit d'ailes dans les bois,
Promenades, ravins pleins de lointaines voix,
Fleurs, bonheur innocent des âmes apaisées,
Adieu, rayonnements ! Aubes ! Chansons ! Rosées !
Puis tout bas on ajoute : ô jours bénis et doux ! Hélas !
Vous reviendrez ! Me retrouverez-vous ...

Victor Hugo

mercredi 1 octobre 2008

"Le temps s'impose... relaxons-le."

Le temps passe, nous berçent de ces illusions
Profitons, de ce temps d'évasion
Chaque instant, à forcément ces raisons
Laissons nous, porter par ces effusions

Le temps à parfois, ces maladresses
Refusons, d'en être maîtresses
Evitons, qu'il nous agressent
Nous ne voulons, pas de sa tristesse

Le temps, s'impose, et se dresse
Elaborons une stratégie, à ces détresses
Pour ignorer, ces moments de faiblesses
Qu'à son contact, il ne nous blessent

Le temps, par instant, à ces démons
Balayons les, de leur intrusions
Que demain, soit une autre dimension
Et l'avenir, parsemé de bonnes intentions

Crazy-Girl