jeudi 28 août 2008


Découvrez Sade!

Les mots du jour...

Je donne un sourire sans savoir où ça le mène
S’il peut consoler pour qu’il me revienne
Je donne un sourire et soudain on a le même
Le temps d’essayer, tout vaut la peine.
Extrait chanson
Le sourire - Emmanuel Moire

La citation du jour...


La vraie richesse...

La richesse , la vraie
C'est d'apprécier ce qui est
Sans compter, ni mesurer
Ce n'est pas ce que j'ai
Qui me fait riche
Mais ce que je suis
Le trésor d'être moi-même
De m'apprécier, de m'aimer
Vaut mieux que tous
Les comptes en banque
Ce trésor là,
Personne ne peut me le dérober
Pas même la mort
Quant l'être remplace l'avoir
L'abondance coule
Comme un fleuve inépuisable.

Christian Tal Schaller

La preuve qu'on vit...


Pourquoi, quand tu es triste
Tu me fais cette liste
De tout ce qui ne va pas ?
Pourquoi, quand tu es heureux
Tu ne fais aucun aveu
Alors que tout va ?
Pourquoi tu t'accables sur ton sort
Alors qu'il y a tant à voir dehors ?
Pourquoi tu me dis que tu as mal
Alors que c'est tout à fait normal
De souffrir une fois dans sa vie,
De sourire quand tu en as envie,
De pleurer quand tu ne sais
plus quoi faire ?
Pourquoi ne vois-tu pas
Qu'avoir mal, une fois dans ta vie
C'est la preuve qu'une fois
Tu as vécu ta vie ?


Le voyage de l'esprit...

Selon les conseils de Dominique Loreau :
Stopper le flux de ses pensées : c'est ce que les orientaux se sont efforcés de faire pendant des siècles, c'est un entraînement comme un autre.
Chaque soir, avant de vous endormir, essayez, les yeux fermés, de voir apparaître une petite lumière bleue. concentrez-vous sur cette lueur : au début, elle viendra puis disparaîtra.
Mais même si vous la gardez 5 secondes, c'est un bon début. Si vous vous entraînez chaque soir, vous arriverez même à "tenir" une dizaine de minutes. Vous constaterez ensuite les bienfaits de cette pratique.
Il est temps de nourrir sereinement et posément notre âme et notre esprit.

Vivre et Survivre...

Vivre et survivre dans ce bas monde,
Où l’égoïsme et l’argent règnent avant les sentiments,
Difficile d’accepter cette pensée néfaste et furibonde,
Pourtant bien des gens me prouvent que cela existe vraiment.
Vivre et survivre et combattre pour les siens,
Se battre contre les jaloux, les envieux et les méchants,
Et accepter ce destin qui n’est pas le mien.
Respirer, jouir de la vie en se bambochant.
Vivre et survivre sans emploi et solitaire,
Combat de guerrier pour effacer cette injustice,
Pour chercher, trouver bien souvent un travail précaire,
Envisager l’avenir sans rien qui me le garantisse.
Vivre et survivre pour un de ces jours où l’amour vient,
De ce puit profond qu’est cette estime tant méritée,
Puisse-y plonger, me montrer que tout n’était pas vain,
Accepter ces mains d’amour et de pleurs, à tout mon entier.

mardi 26 août 2008

La citation du jour...


Au bout du Rêve...


Au bout du rêve chacun sa chance,
La saisir pour toi devient une évidence,
Le grand amour arrivera-t-il ?
Comme toujours il se défile,
Au jour le jour chacun son rêve,
Sentir sur ta bouche ses lèvres,
Au bout du rêve le sort t'attend,
Arrivera-t-il le prince charmant ?
Un malheur en succède un autre,
A toi de trouver ta faute,
Revenir en arrière,
Peut-être la bonne démarche à faire,
Au bout du rêve le piège est là,
Tu le contournes
Ou tu sautes dans le tas,
Tu es maître de ton destin,
Réfléchis avant d'encombrer le mien.


Découvrez Mylène Farmer!

Lueur de Lune...

Dans une lueur de lune
J'aperçois une ombre brune
Qui m'appelle au long du bois
Pour m'attirer dans les plus profondes ténèbres,
Celles de l'amour et de la vie,
Les plus beaux bonheurs sont souvent
Nos plus grands malheurs,
Je renonce à suivre la veilleuse
Celle qui souhaite me rendre heureuse
Je préfère vivre dans le froid
Dans les nuits glaciale de l'hiver
Loin des profonds désirs de cette terre !

Des Mots...



Une fois, un mot, un bruit,
Un son, une envie, une passion,
Qui pour le reste de la vie te suit,
Un amour sans raison,
Un jour, une lettre, un silence,
Une douceur de rêverie,
Une passion à l'infini,
Une idée en patience,
Une idée, un sommeil,
Un réveil, une merveille,
Des mots dans tous les sens,
Poème inutile je pense,
Une envie de tout arracher,
Une simple envie de liberté.

La citation du jour...


Le Train de la Vie...

Ce que j'entends, je l'oublie...
Ce que je vois , je le retiens...
Ce que je fait, je le comprends...
Proverbe chinois.

lundi 25 août 2008

Prendre du Temps...


Savoir écouter ... ne rien dire
Simplement écouter
Prendre le temps de laisser dire
Prendre le temps d'observer
Savoir regarder... ne pas fuir
Simplement regarder
Prendre le temps de s'éblouir
Prendre le temps d'admirer
Savoir partager ...
Ne pas faire semblant
Simplement exister
Prendre le temps de donner
Prendre le temps lentement
Il faut prendre du temps
Le temps de se parler
Le temps de s'écouter
Donner un tout petit peu de son temps
Il faudrait le faire quotidiennement
Laisser traîner quelques sourires derrière soi
Laisser traîner un peu de soi
Donner et donner régulièrement

La pensée de l'instant...

Ecoute le bonheur...

Sans faire attention,
Tu me permet de m'évader,
Et de me donnes l'inspiration,
Dans ce noir velouté ...
Alors je vis un ange ou bien est-ce démon ?
Elle part comme elle vient, elle est mon saint venin,
Elle est source de transe quand elle devient passion...
L'amour ne s'entend pas quand il arrive au loin.
Elle déchire le coeur, en mille et un éclats ...
Elle seul a le pouvoir de pouvoir tout changer,
On ne reconnaît plus ni les lieux ni les voix...
Quand tout est bouleversé, comment s'y retrouver ?
Que dire quand les sons te semblent modifiés ?
Quand aucun être au monde ne semble à la hauteur ?
Que tout, même les arbres, incombent au respect ?
Quand s'installe conflit entre esprit et le coeur ?
Si tant de questions tombent, je n'ai pas de réponses…
Et quand Aphrodite se couche, toujours, mon âme gronde,
Je le laisse alors écrire une autre annonce,
En espérant qu'après, le silence retombe...
En effet rien n'est tel qu'un amour chimérique,
Sembler devant un mur qui coupe en deux ta vie...
D'autres avec des trompettes ont fait tomber des briques,
Mais tout l'amour du monde n'aura donc pas suffit ...

Artus de Oguz

La réalité du sourire...

"Qu'est ce qu'un sourire ?
"Le sourire est un déguisement,
Qui est tellement ambiguë malheureusement,
Que l'on ne peut distinguer,
Ce qu'il est caché,Joie ou peine?
Tel est le dilemme,
Menteur ou véridique ?
T-elle est sa mosaîque,
Pour certains c'est une arme,
Pour ne pas montrer la faiblesse de leur âme,
Ne montrant que leur soit disante force,
Qui n'est qu'une entorse,
A l'être humain qui ne peut être toujours en fête,
Et qui doit accepter ces maintes défaites,
Mais il est aussi un sourire aux joies de la vie,
Avec l'aide de leur amis,
Oubliant que notre visage,
Peut être un mirage !

Découvrez Cocoon!

La mystérieuse vie...

La vie n'est qu'un mystère
C'est la joie c'est la colère
Mais pourquoi pourchassons-nous le bonheur
Si nous ne trouvons que le malheur ?
Quand nous sommes enfoncés dans les plus profondes ténèbres
Sans lueur d'espoir sans la fraîcheur des herbes
Sans ceux qu'on aime
Qui radoucissent notre peine
Qui nous consolent qui nous aident
À surmonter les obstacles qui cèdent
Pourquoi acceptons-nous ce sort
Qui nous éloigne du port
Où nous serons tous en paix ?
Pourquoi donc cette âme pliant sous le faix ?
Pourquoi sentir cette sensation de déchirure
Si nous possédons la clé pour la mettre dans la serrure
Où nous nous découvrons ?
Libanaise

La citation du jour...




Le temps mûrit toute choses,
par le temps toutes choses viennent en évidence,
le temps est père de la vérité.
François Rabelais

Où est le monde ?

Mais où est le monde,
Quand j'ai besoin de lui?
Mais où est la Terre,
Quand rien ne tourne rond?
Mais où est le monde,
Quand je n'ai personne à qui parler?
Mais où es-tu,
Quand il faut sécher mes larmes?
Seule contre un monde absent pour moi,
Seule contre un monde présent contre moi,
Seule dans un monde ou tu n'es pas là,
Donc seule et sans monde.
Car toi seul fait partie de mon monde.

Enlevé par le vent...

Un ruisseau clapotant s'arrête au fil de fer barbelé
Où les soldats rigolent en caressant leurs armes.
Plus loin, un homme âgé, les bras hâlés, soupire irrité,
Ses vieilles joues sont entièrement couvertes de larmes.
Il s'abandonne plein d'espoir à son seul copain, le vent,
Qui, soumis aux lois de la nature, berce doucement les fleurs.
Une brise carabinée pousse en avant les nuages blancs,
Son rafraîchissement agréable fait disparaître toute la chaleur.
Un petit frais frôle tendrement sa peau ridée.
L'homme, exempt des douleurs terrestres, se laisse enlever.
Les douces caresses du vent remplissent son cœur.
Les soldats tempêtent ; un homme âgé s'est échappé.
On n'accuse pas la brise qui l'a emmené.
Le vieil homme a trouvé son bonheur ailleurs.

samedi 16 août 2008

Le temps s'enfuit bien vite...

A la mémoire de notre Directeur Général...
Une vie sans lendemain, et pourtant tant de joies familiales lui tendaient la main...
A vous, a nous, profitons pleinement du moment présent...

vendredi 15 août 2008

Tout n'est que faribole...

Lisez bien ces quelques vers qu’écrit un poète de parole :
Si tout n’est pas de travers alors tout n’est que faribole.
Pourquoi aimer, si c’est pour souffrir ?
Pourquoi vivre, si c’est pour mourir ?
Pourquoi être, si c’est pour disparaître ?
Pourquoi avoir, si c’est pour apparaître ?
Tout paraît contradiction dans nos vies de passion
Tout devient illogique dans cet espace cosmique.
L’éternité promise est-elle vraie ?
La voie de Dieu est-elle pure ?
Que doit-on espérer ? Y a-t-il une chose de sûre ?
Rien, à mes yeux, ne vaut la peine et pourtant je me réjouis de vivre.
Rien, à mon goût, vaut la haine et surtout de s’en réjouir.
J’attends donc un message divin coulant dans le sang comme le vin
J’attends de pleurer enfin de joie et de savoir surtout pourquoi.
Alors dans l’incompréhension je m’amuse d’une envie folle
Et je vous dis, sans vraie raison tout n’est que faribole.

Poème de Philistin Panger

mercredi 13 août 2008


Découvrez Estelle!

La citation du jour...

La vie est comme un instrument de musique ;
Il faut la tendre et la relâcher,
Pour la rendre agréable."

Démophile

Hypocrisie...

La normalité détruit nos mentalités
Mais qui a donc fixé les limites
De ces codes à respecter?
La société se détruira et tombera en kit,
C'est ce à quoi les mentalités aboutissent :
Etiquettes, stigmatisation, les règles nous détruisent.
Elles font apparaître certains comme déviants
Mais pour eux ce sont nous les déviants!
Alors où est notre volonté de daire
Des choses belles, de taire la guerre?
Les apparences nous mentent
Nous sommes loin de pouvoir remonter la pente.
Qui n'a jamais douté de la sincérité
D'un ami, d'un proche, d'un habitué?
Les foculs traînent les rues
Ils nous contaminent, nous mangent tout cru!
La vie est faite d'hypocrisie
Même si les marques sont parfois gentilles.
Elles vous surprendront le jour, la nuit
Où vous vous rendrez compte que vous aussi
Vous êtes devenu focul et hypocrite
Le jour où vous aurez dépassé les limites.

La pensée du jour...


mardi 5 août 2008

L'éternelle chanson...

Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille
Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs,
Au mois de mai, dans le jardin qui s'ensoleille,
Nous irons réchauffer nos vieux membres tremblants.
Comme le renouveau mettra nos coeurs en fête,
Nous nous croirons encor de jeunes amoureux;
Et je te sourirai tout en branlant la tête,
Et nous ferons un couple adorable de vieux.
Nous nous regarderons assis sous notre treille,
Avec de petits yeux attendris et brillants,
Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille,
Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs.
Sur notre banc ami, tout verdâtre de mousse,
Sur le banc d'autrefois nous reviendrons causer.
Nous aurons une joie attendrie et très douce,
La phrase finissant souvent par un baiser.
Combien de fois jadis j'ai pu dire : "Je t'aime!"
Alors avec grand soin nous le recompterons:
Nous nous ressouviendrons de mille choses, même
De petits riens exquis dont nous radoterons.
Un rayon descendra, d'une caresse douce,
Parmi nos cheveux blancs, tout rose se poser,
Quand sur notre vieux banc, tout verdâtre de mousse,
Sur le banc d'autrefois nous reviendrons causer.
Et comme chaque jour je t'aime davantage,
Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain,
Qu'importeront alors les rides du visage?
Mon amour se fera plus grave et plus serein.
Songe que tous les jours des souvenirs s'entassent;
Mes souvenirs à moi seront aussi les tiens:
Ces communs souvenirs toujours plus nous enlacent
Et sans cesse entre nous tissent d'autres liens.
C'est vrai, nous serons vieux, très vieux, faiblis par l'âge,
Mais plus fort chaque jour je serrerai ta main,
Car vois-tu, chaque jour je t'aime davantage,
Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain.
Et de ce cher amour qui passe comme un rêve
Je veux tout conserver dans le fond de mon coeur:
Retenir, s'il se peut, l'impression trop brève
Pour la ressavourer plus tard avec lenteur.
J'enfouis tout ce qui vient de lui comme un avare,
Thésaurisant avec ardeur pour mes vieux jours:
Je serai riche alors d'une richesse rare:
J'aurai gardé tout l'or de mes jeunes amours!
Ainsi de ce passé de bonheur qui s'achève
Ma mémoire parfois me rendra la douceur;
Et de ce cher amour qui passe comme un rêve
J'aurai tout conservé dans le fond de mon coeur.
Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille,
Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs,
Au mois de mai, dans le jardin qui s'ensoleille,
Nous irons réchauffer nos vieux membres tremblants.
Comme le renouveau mettra nos coeurs en fête,
Nous nous croirons encore aux jours heureux d'antan,
Et je te sourirai tout en branlant la tête,
Et tu me parleras d'amour en chevrotant.
Nous nous regarderons, assis sous notre treille,
Avec de petits yeux attendris et brillants,
Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille,
Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs.

Rosemonde Gérard