mercredi 28 janvier 2009

Le Bonheur tout simplement... Gregory Lemarchal

Peut-être le bonheur n'est-il qu'un contraste, mais il y a une foule de petits bonheurs qui suffisent pour parfumer la vie.
Alphonse Karr

Donne-moi tes mains...

Donne-moi tes mains pour l'inquiétude
Donne-moi tes mains dont j'ai tant rêvé
Dont j'ai tant rêvé dans ma solitude
Donne-moi te mains que je sois sauvé
Lorsque je les prends à mon pauvre piège
De paume et de peur de hâte et d'émoi
Lorsque je les prends comme une eau de neige
Qui fond de partout dans mes main à moi
Sauras-tu jamais ce qui me traverse
Ce qui me bouleverse et qui m'envahit
Sauras-tu jamais ce qui me transperce
Ce que j'ai trahi quand j'ai tressailli
Ce que dit ainsi le profond langage
Ce parler muet de sens animaux
Sans bouche et sans yeux miroir sans image
Ce frémir d'aimer qui n'a pas de mots
Sauras-tu jamais ce que les doigts pensent
D'une proie entre eux un instant tenue
Sauras-tu jamais ce que leur silence
Un éclair aura connu d'inconnu
Donne-moi tes mains que mon coeur s'y forme
S'y taise le monde au moins un moment
Donne-moi tes mains que mon âme y dorme
Que mon âme y dorme éternellement.

Extrait du "Fou d'Elsa" - Louis Aragon

lundi 26 janvier 2009

Le Monde de l'Invisible...

Ange plein de gaieté, connaissez-vous l'angoisse ?
La honte, les remords, les sanglots, les ennuis ?
Et les vagues terreurs de ces affreuses nuits
Qui compriment le coeur comme un papier qu'on froisse ?
Ange plein de gaieté, connaissez-vous l'angoisse ?
Ange plein de bonté, connaissez-vous la haine ?
Et les poings crispés dans l'ombre et les larmes de fiel,
Quand la vengeance bat son infernal rappel,
Et de nos facultés se fait le capitaine ?
Ange plein de bonté, connaissez-vous la haine ?
Ange plein de santé, connaissez-vous les fièvres ?
Qui, le long des grands murs de l'hospice blafard,
Comme des exilés, s'en vont d'un pied traînard,
Cherchant le soleil rare et remuant les lèvres ?
Ange plein de santé, connaissez-vous les fièvres ?
Ange plein de beauté, connaissez-vous les rides ?
Et la peur de vieillir et ce hideux tourment
De lire la secrète horreur du dévouement
Dans des yeux où longtemps burent nos yeux avides ?
Ange plein de beauté, connaissez-vous les rides ?
Ange plein de bonheur, de joie et de lumières,
David mourant aurait demandé la santé
Aux émanations de ton corps enchanté ;
Mais de toi je n'implore, ange que tes prières,
Ange plein de bonheur, de joie et de lumières !

Charles Baudelaire

La Tolérance...

Tolérance, ce mot est à respecter, et à employer en toute nécessité.
Partout, il n'y a pas de mystère, l'intolérance engendre la misère.
Abel avait des projets d'avenir, Caïn par jalousie, le fit mourir.
Des milliers d'années sont passées.
Des bonnes idées sont encore refusées.
Si seulement les humains voulaient se serrer la main,
plutôt que se convoiter, et même se maltraiter.
Parfois s'entraîner dans la guerre qui dévaste des régions entières.
La vie n'est qu'un passage, chacun devrait s'y tenir sage.
Si on pouvait se faire bien valoir, ce serait une grande victoire.

vendredi 23 janvier 2009

La citation du jour...


Un peu de réflexion...

L’homme et l’enfant
Un homme tomba dans un trou et se fit très mal.
Un Cartésien se pencha et lui dit : Vous n’êtes pas rationnel, vous auriez dû voir ce trou.
Un Spiritualiste le vit et dit : Vous avez dû commettre quelque péché.
Un Scientifique calcula la profondeur du trou.
Un Journaliste l’interviewa sur ses douleurs.
Un Yogi lui dit : Ce trou est seulement dans ta tête, comme ta douleur.
Un Médecin lui lança deux comprimés d’aspirine.
Une Infirmière s’assit sur le bord et pleura avec lui.
Un Thérapeute l’incita à trouver les raisons pour lesquelles ses parents
le préparèrent à tomber dans le trou.
Une Pratiquante de la pensée positive l’exhorta : Quand on veut, on peut !
Un Optimiste lui dit : Vous auriez pu vous casser une jambe.
Un Pessimiste ajouta : Et ça risque d’empirer.
Puis un enfant passa, et lui tendit la main...

Anonyme

Ce texte nous touche parce que forcément nous nous reconnaissons dans une de ces caricatures d’adulte.
Des adultes qui sont dépeints par leur métier ou par leurs croyances.
Cet homme qui est tombé dans un trou semble prit au piège. Tous les adultes qui défilent devant lui et pourraient le secourir sont pris dans un piège encore plus redoutable. Ils sont pris au piège de leur métier ou de leur croyance !La beauté fascinante de l’enfance, c’est cette virginité de la pensée, une pensée en formation qui n’a pas atteint ses limites et poursuit sa marche en avant sans s’attarder sur elle même.
Une pensée sans influences, une forme enviable d’intelligence.Mais en cours de route, cette pensée si prometteuse patine. Elle s’enferme dans un système qui peut être un métier, une opinion politique,
une croyance. Cette pensée ne découvre plus, elle s’enracine et devient calcul, programme, préjugé...
cette pensée est dans une impasse. C’est un passage obligé.
Dans une impasse, il est toujours possible de faire demi-tour. Faire demi-tour, c’est repenser chacune de ses croyances, repeser chacun de ses engagements, remettre en cause chacun de ses acquis. C’est apprendre à de nouveau penser par soi-même, réinventer ce que sont pour nous l’amour, l’amitié, la vie en société, le rapport au travail, au pouvoir, à la possession...Dans une société qui nous assène que reculer c’est régresser,
ce demi-tour n’est pas facile. Pourtant la chenille régresse avant de devenir papillon. De même, l’adulte doit régresser pour libérer sa pensée et devenir conscient.

"N’oublions pas que les enfants suivent les exemples mieux qu’ils n’écoutent les conseils". Roy L. Smith

Les adultes semblent avoir un peu oublié ce bon sens primordial...

jeudi 22 janvier 2009

Vivre...

Il faut vivre avant de mourir.
Profite de chaque instant de bonheur que la vie t'offre.
Il faut vivre avant de mourir.
Ne remets jamais à demain ce que tu peux faire aujourd'hui :
Demain, tu ne seras peut-être pas là.
Il faut vivre avant de mourir.
Dis-lui à quel point tu tiens à lui/elle,

Que tu l'apprécies pour ce qu'il/elle est pour toi !
Il faut vivre avant de mourir.
Ne gaspille pas ton énergie avec des futilités.
Il faut vivre avant de mourir.
Ne laisse pas le temps avoir le dessus sur toi.
Profite de chaque seconde de la vie.
Car il ne faut surtout pas oublier de vivre avant de mourir.

Découvrez Grégoire!

Il y a des jours...

Il y a des jours où j'ai bien envie
De commencer ailleurs une nouvelle vie,
Il y a des jours où je voudrais fuir
Vers une île inconnue au ciel de saphir,
Dans un coin désert accoster un soir,
Tourné vers l'Occident, lui dire au revoir,
Vivre à demi nu dans l'éternel été,
Tirer le suc des jours colorés.
Il y a des jours où je vois un grand
Ruban de sable fin au bord de l'océan,
Légion de palmiers, horizon d'émail,
Chanson de vagues bleues, mer de corail
Et je t'imagine vivre à mes côtés
Dans un bain de tendresse et de gaieté,
Nouveaux Robinson et Vendredi d'amour
Avec un but unique : savourer les jours.

Marc Aryan

Les mots du jour...

Il est des mots...

Il est des mots dont les baisers
Nous font penser qu’ils ont des lèvres,
Ces mots sont d’amour, ou d’espoir,
D’immense amour, d’espoir sans trêve.
Ces mots sont nus et ils embrassent
Lorsque la nuit perd son visage,
Ces mots sont nus et se refusent
Aux murs de ta déconvenue.
Des mots soudain hauts en couleur
Au milieu d’autres sans saveur,
Des mots épées, inespérés
Tels la poésie ou l’amour.
Voilà le nom de qui l’on aime
Lettre à lettre tout dévoilé
Sur un bout de marbre distrait,
Ou de papier abandonné.
Ce sont des mots qui nous transportent
Là où la nuit est la plus forte,
Jusqu’au silence des amants
Qui s’étreignent contre la mort.

Alexandre O'Neill

Monde pourri... Génération râtée...

Y'a des mômes congelés à la naissance, gardés dans des frigo....
Y'a des mômes mort de chaud dans une voiture, oubliés comme un mégot...
Y'a des gens qui perdent la tête, et tuent tout et tous autour d'eux...
Y'a la vie qui perd le nord, le destin fait tant de malheureux...
Y'a des gens qui tuent leurs enfants sans raison apparentes...
Y'a des connards plein les rues qui fument, boivent et mentent...
Y'a la France qui dérape peu à peu...
Y'a la vie qui perd le nord, le destin fait tant de malheureux...

mardi 13 janvier 2009

Enfants maltraités...

Le 119 est le service national d'accueil téléphonique pour l'Enfance Maltraitée.
Ce service, plus communément appelé "Allô Enfance Maltraitée" a été créé par une loi relative à la prévention des mauvais traitements à l'égard des mineurs et à la protection de l'enfance : c'est la loi du 10 juillet 1989.

Un geste pour un sourire...


Entendre les mots...

Autrefois, je ne savais pas qu'il est des mots qu'on n'entend pas
Mais un soir une ombre est venue qui m'a dit : "Écoute un peu plus
Une voix te parle aux mots inconnus, entends-tu la voix du silence ?
Je m'en suis allé promener, les peupliers se sont penchés
Pour me raconter des histoires qu'ils étaient les seuls à savoir
Et le vent et la mer doucement me parlaient
J'entendais la voix du silence
Et depuis j'ai vu des gens qui jetaient des mots à tous vents
Et qui discouraient sans parler, qui entendaient sans écouter
En proposant des chants connus que nulle voix n'a jamais repris
Et leurs cris couvrent la voix du silence
Les hommes ne voient plus les fleurs
Ils en ont pris des rides au coeur
Ils espèrent en faisant du bruit, meubler le vide de leur vie
Et même au ton, sans un bruit, en gouttes de rosée étouffées
Etouffées comme la voix du silence
Toi tu dors à mon côté et je n'ose pas parler
De peur que mes mots se confondent avec le bruit que fait le Monde
Mais je t'aime tant qu'un jour enfin tu comprendras
Tu m'entendras dire les mots du silence

R.Anthony

Découvrez Jason Mraz!

La poussière des regrets...

Quel que soit ton passé, quelles que soient tes barrières,
Tout cela est bien loin, secoues-en la poussière,
Fais souffler sur ta vie un vent de volonté,
La poussière des regrets sera vite balayée.
La poussière des regrets est un mal ennuyeux
Elle pénètre partout et fait pleurer les yeux,
Elle se glisse en douceur dans les moindres recoins,
Pour nous faire étouffer et suffoquer de chagrin.
Elle se dépose en une épaisse couche à terre,
Où demeurent nos pas quand on regarde en arrière,
Elle applique au regard un voile obscurcissant,
Qui cache la lumière et rend triste dedans.
Elle s'accumule d'autant mieux que l'on ne bouge pas,
Et puis un jour on se sent figé sous son poids.
Ne laisse pas ton coeur s'étouffer sous la cendre,
Respire et tu verras que le feu va reprendre,
Si tu doutes regarde la vie dans la nature,
Les oiseaux savent bien qu'en haut, l'air est plus pur
Aussi, vois comme ils prennent soin de leurs ailes,
Pas une tache ne souillera leur grâce dans le ciel,
Et de plus, au cas où tu n'y as pas pensé
Aucun d'eux ne regarde le sol pour s'envoler.

Un peu de réflexion...

La mort n'est rien
Je suis simplement passé dans la pièce à côté.
Je suis moi. Tu es toi.
Ce que nous étions l'un pour l'autre, nous le sommes toujours.
Donne-moi le nom que tu m'as toujours donné.
Parle-moi comme tu l'as toujours fait.
N'emploie pas de ton différent.
Ne prends pas un air solennel ou triste.
Continue à rire de ce qui nous faisait vivre ensemble.
Prie. Souris. Pense à moi. Prie pour moi.
Que mon nom soit toujours prononcé à la maison
comme il l'a toujours été.
Sans emphase d'aucune sorte et sans trace d'ombre.
La vie signifie ce qu'elle a toujours signifié.
Elle reste ce qu'elle a toujours été.
Le fil n'est pas coupé.
Pourquoi serais-je hors de ta pensée,
Simplement parce que je suis hors de ta vue ?
Je t'attends. Je ne suis pas loin.
Juste de l'autre côté du chemin. Tu vois, tout est bien.
Charles Péguy d'après saint Augustin

lundi 12 janvier 2009

La pensée du jour...


Claude Berri, "le chef de famille" du cinéma français, est mort...

Réalisateur, acteur, producteur et collectionneur d'art, son nom a dominé le cinéma français pendant près d'un demi-siècle. Il s'est éteint ce matin, des suites d’un accident vasculaire cérébral, dans un hôpital parisien à l'âge de 74 ans.

«Je n'ai jamais travaillé dans ma vie, je m'amuse», disait celui dont l'existence fut plus marquée par les tragédies que par le bonheur.

Deux images perdurent. Celle d'un homme pressé qui affirmait s'être amusé toute sa vie plutôt qu'avoir travaillé, avoir été rongé par des envies auxquelles il résistait rarement. Et celle d'un homme irrémédiablement sinistre, comme hanté par des tourments secrets. Le second masque prit le dessus, ces dernières années, lorsque Claude Berri fut fracassé, miné par une dépression chronique depuis qu'au suicide de sa femme, Anne-Marie Rassam, en 1995, s'était ajouté l'accident de son fils Julien Rassam, qui mourut en 2002 après s'être retrouvé tétraplégique. Soixante quatorze ans, quarante-cinq ans de carrière : avec un mélange de crainte, d'admiration et d'affection, on l'avait surnommé "le parrain", "l'empereur", "le pilier", "le chef de famille" du cinéma français. Le cinéaste Claude Berri est mort lundi 12 janvier à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière, des suites d'un accident vasculaire cérébral.

Biographie de Claude Berri

Acteur, réalisateur, scénariste, producteur de talent, il cumule les titres au cinéma. Issu d'une famille de fourreurs, le jeune Claude Langmann prend des cours de comédie et parvient à décrocher quelques rôles. Mais il se révélera par le biais de l'écriture. Ses premiers courts métrages, en collaboration avec Maurice Pialat (son futur beau-frère), séduisent, notamment "Le Poulet" (prix à Venise et aux Oscars). En 1966, Claude Berri tourne son premier long métrage, "le Vieil Homme et l'enfant", un beau succès. Il s'inscrit d'ailleurs dans une succession de réalisations biographiques et enchaîne les oeuvres d'envergure, s'inscrivant régulièrement en tête des box-office avec des films tels que "Tchao Pantin", "Le Maître d'école", "Jean de Florette", "Manon des Sources", ou encore "Germinal". Une propension aux récits d'époque qui n'empêche pas ce réalisateur éclectique de se pencher vers la modernité en multipliant les projets de sa société, Renn Productions. Il finance alors des oeuvres très populaires, sans laisser pour compte les autres films et officie, en tant que producteur, pour des réalisateurs tels que Patrice Chéreau, Alain Chabat, Noémie Lvovsky, Michel Blanc, Costa-Gavras, Abdellatif Kechiche ou encore Dany Boon, dont il produit en 2008 le très populaire "Bienvenue chez les Ch'tis". Les plus grands ont fait appel à cet homme de talent, qui laisse derrière lui une marque indélébile sur le cinéma français.

lundi 5 janvier 2009

Souris à la Vie...


Je sais, ce n'est pas si facile
De dire souris à la vie, quand tout est difficile,
Et qu'on n'a pas envie, d'avancer plus loin alors,
Mais les jours ne se ressemblent pas,
Et souvent un changement de décors,une nouveau jour de joie,
Il ne faut pas baisser les bras, même si tout nous décourage,
Un autre plus beau viendra balayer ce sombre orage,
Comme un rayon de soleil chassant là tous les nuages,
De nos coeurs qui s'éveillent, réapprendre à aimer la vie,
Se ressourcer peut être, sur des passions longtemps enfouies,
Pour à nouveau renaître, Souris à la vie, tant que tu vis,
Plus précieuse que tes chagrins, elle t'apporte et t'enrichit,
Tout au long de ton chemin,
Oui souris à la vie, et dis lui souvent merci...

Littlesunshine

Nous ne voulons plus...

On ne dit plus ses sentiments
Dans cette société où tout est dément
L'argent-roi est maître, alors il faut paraître.
On préfère se faire la guerre
Et l'Homme peu à peu se perd
Dans ce monde trop superficiel
Où des nuages de haine cachent le Ciel.
Pourtant, souvent, il m'arrive de croire
Oui, souvent, je me noie dans l'Espoir
Qu'il reste à naître un nouveau Monde
Où l'Amour nous lancera ses bombes.
Il suffirait de pousser la porte du Bonheur
Pour que disparaissent à jamais les pleurs
Il suffirait de refuser l'indifférence
Pour enfin, vivre dans l'espérance.

Thalie

Découvrez Natasha St-Pier!

Les mots du jour...


Celui...

Celui qui ne voyage pas, celui qui ne lit pas,
Celui qui n'écoute pas de musique,
Celui qui ne sais pas trouver grâce à ses yeux.

Il meurt lentement... Celui qui devient esclave de l'habitude
Refaisant tous les jours les mêmes chemins,
Celui qui ne change jamais de repère,
Ne se risque jamais à changer la couleur de ses vêtements,
Ou qui ne parle jamais à un inconnu. Il meurt lentement...
Celui qui évite la passion et son tourbillon d'émotions,
Cellesqui redonnent la lumière dans les yeux
Et réparent les coeurs blessés. Il meurt lentement...
Celui qui ne change pas de cap lorsqu'il est malheureux
Au travail ou en amour,
Celui qui ne prend pas de risques pour réaliser ses rêves
Celui qui pas une seule fois dans sa vie, n'a fui les conseils sensés.
Vis maintenant ; risque-toi aujourd'hui ! Agis tout de suite !
Ne te laisse pas mourir lentement !
Ne te prive pas d'être heureux !

Pablo Neruda

Pouvoir tout changer...

Pouvoir parler à un ange, lui dire qu'il faudrait que l'on change,
Qu'avec n'importe quelle couleur de peau
Nous sommes tous les mêmes, tous égaux.
Voyager dans tous les pays, en ramener des souvenirs,
Retenir les joies et les rires de tous ceux qui nous ont accueilli.
Apprendre de nouvelles danses, tous ensemble composer des chants,
Mélanger chaque langue parlée pour pouvoir nous unifier.
Partir en direction de l'avenir, à la recherche d'un simple sourire,
Au-delà des frontières, des montagnes, des rivières.
Oublions les erreurs passées pour pouvoir tout recommencer,
Partons à la conquête de nos racines, pour découvrir la même origine.
Goûter à tous les plaisirs orientaux et asiatiques,
Enfin se donner tous la main, toujours serrer plus chaque matin.

Thelittlemanue

Respect et Tolérance...

Quand je vois dans notre société,
Toute cette intolérance et ce non-respect,
J'ai envie de crier haut et fort,
Stop à tous ces gens qui ont tort.
Sous quel prétexte un homme peut juger,
Une personne qui a peut être les mêmes pensées,
Mais qui vient d'un milieu différent,
Alors ont se permet de le juger autrement.
Je dis : A bat toutes ces indifférences,
Car au fond de moi je pense,
Que beaucoup d'hommes ont quelque chose en commun,
Et qu'il faudrait s'unir main dans la main.
Pour mettre fin à tous nos préjugés,
Envers des personnes qui pourraient être des amis,
Des personnes que l'on pourrait aimer,
Et qui pourraient changer notre vie.
Evangelista

vendredi 2 janvier 2009

La citation du jour...


Trois Anges...

Trois anges sont venus ce soir m'apporter de bien belles choses
L'un d'eux avait un encensoir,
L'autre avait un chapeau de roses
Et le troisième avait en mains,
Une robe toute fleurie de perles d'or et de jasmin
Comme en a Madame Marie
Noël, Noël, nous venons du ciel t'apporter ce que tu désires
Car le Bon Dieu au fond du ciel bleu
Est chagrin lorsque tu soupires
Veux-tu le bel encensoir d'or ou la rose éclose en couronne
Veux-tu la robe ou bien encore un collier où l'argent fleuronne
Veux-tu des fruits du Paradis ou du blé des célestes granges
Où comme les bergers jadis Veux-tu voir Jésus dans ses langes
Noël, Noël, retournez au ciel
Mes beaux anges à l'instant même
Dans le ciel bleu, demandez à Dieu
Le bonheur pour celui que j'aime.

Augusta Holmès

Un Voeu...

Me promenant dans mon imagination
Je me suis mis à rêver
Que je rencontrais une fée
A qui j'ai demandé de m'accorder un voeu
“Fait un voeu, qu'elle me dit
Et je te l'exaucerai
Mais seulement un… je peux t'accorder”.
Dans ma tête je me suis mise à penser

À ce que je devrais lui demander
L'amour, l'argent, l'amitié ?
La beauté, la gloire, la santé ?
Puis j'ai réalisé q
ue l'amour,
Il suffit de chercher pour le trouver.
L'argent on peut en gagner.
L'amitié pour en avoir, il suffit d'en donner.
La beauté, ce n'est pas une nécessité.
La gloire, je peux très bien m'en passer.
Alors j'ai compris que le voeu vraiment important

C'est de la santé pour longtemps.
Comme voeu, j'ai donc demandé de la santé
Pour moi… Pour toi…
Pour tous ceux qui en sont privés…
J'espère que mon voeu sera exaucé
Avec l'aide de Dieu et de ma gentille petite fée !