Douceur des nuits calmes, silence des océans
Etoilés au feu du navire.
Et l'éternel mouvement des instants de balancement,
Des houles, des espoirs et des non désirs ;
Où donc es-tu cruelle dame amère ?
Au volupté et au balbutiement de l'abondant.
Le coeur meurtri puis nourri de tes poisons,
N'atteindra jamais sa chimère ;
Penché sur ce changeant visage,
Où se reflète infini et toujours, la fuite éperdue du tournage
Et le feu lointain de l'amour,
Fait jaillir la joie pour un tel délire
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire