On apprend de la vie, qu'une fin est créée.
Pour mettre les points sur les I.
Qu’un début.
Ne serre qu’à effacer, qu’à corriger les bêtises qu’a causé le passé.
Et tout ce qu’on dit ne peut correspondre à ce qu’on fait.
Quand on prend ce chemin, cette rue de chaque matin.
Sans comprendre, ni sentir…
Les changements qu’a laissé le temps.
Sans lire ce passage.
A travers les rides, que trace ce temps.
Chaque jour, sur nos visages.
KHALID
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire