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mercredi 26 janvier 2011
Le moment présent...
Profitez du moment présent de votre vie,
Car ce moment ne reviendra pas.
L'avenir peut être meilleur ou pis,
Mais maintenant vous êtes là.
Voyez où vous êtes dans le cours de l'existence,
Par rapport à l'avenir, au passé
Puis chaque instant, pleinement,
Au jour le jour, vivez !
Regardez ce qui se passe ici,
Ecoutez les sons du moment,
Respirez le parfum de la vie,
Et buvez-en l'enchantement.
Faites-le maintenant,
Pas plus tard, pas demain,
Car ce précieux instant
JAMAIS NE REVIENT.
Blackjac
Car ce moment ne reviendra pas.
L'avenir peut être meilleur ou pis,
Mais maintenant vous êtes là.
Voyez où vous êtes dans le cours de l'existence,
Par rapport à l'avenir, au passé
Puis chaque instant, pleinement,
Au jour le jour, vivez !
Regardez ce qui se passe ici,
Ecoutez les sons du moment,
Respirez le parfum de la vie,
Et buvez-en l'enchantement.
Faites-le maintenant,
Pas plus tard, pas demain,
Car ce précieux instant
JAMAIS NE REVIENT.
Blackjac
lundi 24 janvier 2011
Je veux vivre dans un monde...
Je veux vivre dans un monde,
Où les êtres seront seulement humains,
Sans autre titre que celui-là...
Je veux que tous entrent et sortent,
En souriant de partout,
Que plus personne ne fuie.
Je veux que tout le monde puisse parler,
Lire, écouter, et s'épanouir.
Je n'ai jamais compris la lutte,
Que comme un moyen d'en finir avec la lutte.
Je n'ai jamais compris la rigueur autrement,
Que comme un moyen d'en finir avec la rigueur.
Où les êtres seront seulement humains,
Sans autre titre que celui-là...
Je veux que tous entrent et sortent,
En souriant de partout,
Que plus personne ne fuie.
Je veux que tout le monde puisse parler,
Lire, écouter, et s'épanouir.
Je n'ai jamais compris la lutte,
Que comme un moyen d'en finir avec la lutte.
Je n'ai jamais compris la rigueur autrement,
Que comme un moyen d'en finir avec la rigueur.
Je veux qu'on combatte pour la bonté générale,
Multipliée, inépuisable...
Multipliée, inépuisable...
Il me reste une foi absolue dans le destin de l'homme,
La conviction chaque jour plus consciente que,
Nous approchons de la grande tendresse...
Et cet espoir est irrévocable.
Pablo Neruda
La conviction chaque jour plus consciente que,
Nous approchons de la grande tendresse...
Et cet espoir est irrévocable.
Pablo Neruda
vendredi 14 janvier 2011
Daniel Balavoine nous a quitté, il y a déjà 25 ans ...
Né à Alençon le 05 février 1952, un événement a fait de Daniel Balavoine une figure particulière de la chanson : il participe au journal de la deuxième chaîne de télé française aux côtés de François Mitterrand, candidat socialiste d'alors et futur Président de la République.
Sous l'emprise de la colère, il proclame : "La jeunesse se désespère, elle ne croit plus en la politique française."
Daniel avait un talent indéniable, dans l'écriture des textes et la musique.
Dommage, il nous a quitté trop tôt. Fervent amateur de voiture et de vitesse, il participe au rallye Paris-Dakar, notamment dans le cadre d'oeuvres humanitaires... Sa dernière escapade s'avèrera fatale, il meurt à la suite d'un accident en hélicoptère laissant derrière lui femme, enfants. .. et quelques milliers de fans le 14 janvier 1986.
Adieu ! Daniel.
Dommage, il nous a quitté trop tôt. Fervent amateur de voiture et de vitesse, il participe au rallye Paris-Dakar, notamment dans le cadre d'oeuvres humanitaires... Sa dernière escapade s'avèrera fatale, il meurt à la suite d'un accident en hélicoptère laissant derrière lui femme, enfants. .. et quelques milliers de fans le 14 janvier 1986.
Adieu ! Daniel.
Jean-jacques Goldman "Hommage à Daniel Balavoine"
"La nouvelle vient de tomber ! Daniel Balavoine est décédé à Dakar ce mardi 14 janvier 1986. Jean-Jacques Goldman qui devait chanter avec Mickaël Jones "Je te donne" dans l'émision de Michel Drucker, ne souhaitait pas interpréter une chanson joyeuse. Il a alors décidé, face à cet évènement tragique, de chanter une chanson bien plus intime."
lundi 10 janvier 2011
Misère...
Dans ce monde de misère
Où tout est bénéfice
Où gronde la colère
Où tout est sacrifice
La vie n'est pas facile
Quand on est tout petit
Une chose inutile
Et qui n'a pas de prix
Faut-il tant de souffrance
De labeurs, de brimades
Pour gagner sa pitance
Ils ne veulent pas l'offrande
Ils cherchent un peu d'espoir
Est-ce trop demander ?
Du respect et des égards
Est-ce trop espérer ?
La vie n'est pas facile
Quand on est de ceux là
De ceux qui sont fragiles
De ceux qu'on n'entend pas
Comment trouver le bonheur ?
Quand on regarde autour de soi
Tant de gens qui se meurent
Ignorés par les lois.
Où tout est bénéfice
Où gronde la colère
Où tout est sacrifice
La vie n'est pas facile
Quand on est tout petit
Une chose inutile
Et qui n'a pas de prix
Faut-il tant de souffrance
De labeurs, de brimades
Pour gagner sa pitance
Ils ne veulent pas l'offrande
Ils cherchent un peu d'espoir
Est-ce trop demander ?
Du respect et des égards
Est-ce trop espérer ?
La vie n'est pas facile
Quand on est de ceux là
De ceux qui sont fragiles
De ceux qu'on n'entend pas
Comment trouver le bonheur ?
Quand on regarde autour de soi
Tant de gens qui se meurent
Ignorés par les lois.
M.N
Absurdité...
Il vit sur le trottoir
Personne ne le voit, ni l’écoute
Il laisse couler son désespoir
Personne ne lui tendra la main, sans aucun doute
Vivre est maintenant une déchirure
Il ne lui reste rien
Sur le pavé froid et dure
Il n’a plus de lendemain
Il cherche pourtant le réconfort
Mais son visage se déchire de larmes
Car il veut être un Homme encore
Alors il vit en silence son drame
Dans la lecture il s’évade
Là, il trouve de quoi supporter
Sa misère et les brimades
De ceux qui lui ont tout enlevé
Il n’a pas choisi d’être un clochard
Un moins que rien, un souillon
Il ne lui reste que des hardes
On lui a tout enlevé ses enfants, sa maison
Comment retrouver du travail
Quand on vit dans la rue
Quand on ressemble à un épouvantail
Quand sur vous la misère s’est abattue ?
Qui lui rendra sa dignité ?
Qui le remettra sur ses deux pieds ?
Est-ce une fatalité ?
Le monde dans toute son absurdité ?
Personne ne le voit, ni l’écoute
Il laisse couler son désespoir
Personne ne lui tendra la main, sans aucun doute
Vivre est maintenant une déchirure
Il ne lui reste rien
Sur le pavé froid et dure
Il n’a plus de lendemain
Il cherche pourtant le réconfort
Mais son visage se déchire de larmes
Car il veut être un Homme encore
Alors il vit en silence son drame
Dans la lecture il s’évade
Là, il trouve de quoi supporter
Sa misère et les brimades
De ceux qui lui ont tout enlevé
Il n’a pas choisi d’être un clochard
Un moins que rien, un souillon
Il ne lui reste que des hardes
On lui a tout enlevé ses enfants, sa maison
Comment retrouver du travail
Quand on vit dans la rue
Quand on ressemble à un épouvantail
Quand sur vous la misère s’est abattue ?
Qui lui rendra sa dignité ?
Qui le remettra sur ses deux pieds ?
Est-ce une fatalité ?
Le monde dans toute son absurdité ?
M.N
Sans fin...
La mort n'est qu'un passage inéluctable.
Je l'ai emprunté.
Je suis maintenant ma route en toute sérénité.
Je suis resté moi-même,
l'être que vous avez connu.
Pourquoi pleurer, je n'ai pas changé !
Appelez moi toujours comme vous le faisiez avant
Je vous entendrai
Je continue de vous aimer.
Il faut reprendre le cours de votre vie.
Ne pas être triste
Le fil ne sera jamais coupé
J'ai pris une route différente
Je ne suis pas loin, juste à côté
Je fais partie de vos pensées.
Je vous demande de prier, d'enlever ce voile gris
Je suis en pleine lumière
Je suis sur que vous m'apercevez.
Auteur Inconnu
Ce poème est transcrit sur ce blog au travers d'une pensée
Je l'ai emprunté.
Je suis maintenant ma route en toute sérénité.
Je suis resté moi-même,
l'être que vous avez connu.
Pourquoi pleurer, je n'ai pas changé !
Appelez moi toujours comme vous le faisiez avant
Je vous entendrai
Je continue de vous aimer.
Il faut reprendre le cours de votre vie.
Ne pas être triste
Le fil ne sera jamais coupé
J'ai pris une route différente
Je ne suis pas loin, juste à côté
Je fais partie de vos pensées.
Je vous demande de prier, d'enlever ce voile gris
Je suis en pleine lumière
Je suis sur que vous m'apercevez.
Auteur Inconnu
Ce poème est transcrit sur ce blog au travers d'une pensée
pour ma chère et tendre amie "Catherine".
mercredi 5 janvier 2011
Pour toi Maman...
Quand tu m'as quittée, je fus désespérée, mon coeur fut brisé
et ma vie je la voyais terminée sans toi à mes côtés.
Avec les années, je ne t'ai pas oublié, mon coeur c'est un peu cicatrisé
et tu es par la pensée toujours à mes côtés, d'où tu es, je te fais partager,
mes joies, mes peines et mes années.
Si tu avais été à mes côtés, ma vie aurait été totalement changée,
tu aurais su me diriger, malgré que je ne t'ai pas toujours bien écoutée,
tu m'aurais cajolée, consolée chaque fois que tu m'aurais vue peinée.
Dans ma vie, tu aurais aimée, appréciée ma fille Axelle tant désirée,
Dans ma vie, tu aurais aimée, appréciée ma fille Axelle tant désirée,
tu aurais été une mamie attentionnée, et adorée.
Malgré les années passées, mon coeur pleure toujours ce vide que tu m'as laissé.
Heureusement, j'ai rencontré un homme extraordinaire avec qui j'ai fondé
Malgré les années passées, mon coeur pleure toujours ce vide que tu m'as laissé.
Heureusement, j'ai rencontré un homme extraordinaire avec qui j'ai fondé
cette petite Famille exceptionnelle et sensationnelle...
Ce sont mes merveilles, et le soleil de chaque nouvelle journée.
Tu croyais...
Tu croyais que tout le monde il est beau tout le monde il est gentil !
Tu as confondu le paradis et l’enfer ta demeure n’est pas sur terre.
Tu croyais que les pleurs étaient dévolus aux larmes du ciel !
Ils sont pour l’homme le trop plein d’une multitude de tristesse.
Tu croyais plaire à tout le monde avec ton sourire naïf !
Tu fais fausse route trop d’indifférence pour comprendre la douceur.
Tu croyais que les différences n’existaient pas entre les hommes !
Elles gangrènent petit à petit le cœur des humains.
Tu croyais que les rêves d’enfant pouvaient prendre vie !
Tu as oublié que les personnages idylliques sont tous éphémères.
Tu croyais que la vie était un long fleuve tranquille !
Elle n’est qu’un torrent versatile au gré du temps.
Tu croyais que l’existence était un chemin parsemé de fleurs !
Elle n’est faite que d’obstacles plus ou moins dure à franchir.
Tu croyais, tu crois et tu veux y croire encore à l’amour !
Alors continues à le croire tu es peut être sur la bonne voie …
Tendresse
Tu as confondu le paradis et l’enfer ta demeure n’est pas sur terre.
Tu croyais que les pleurs étaient dévolus aux larmes du ciel !
Ils sont pour l’homme le trop plein d’une multitude de tristesse.
Tu croyais plaire à tout le monde avec ton sourire naïf !
Tu fais fausse route trop d’indifférence pour comprendre la douceur.
Tu croyais que les différences n’existaient pas entre les hommes !
Elles gangrènent petit à petit le cœur des humains.
Tu croyais que les rêves d’enfant pouvaient prendre vie !
Tu as oublié que les personnages idylliques sont tous éphémères.
Tu croyais que la vie était un long fleuve tranquille !
Elle n’est qu’un torrent versatile au gré du temps.
Tu croyais que l’existence était un chemin parsemé de fleurs !
Elle n’est faite que d’obstacles plus ou moins dure à franchir.
Tu croyais, tu crois et tu veux y croire encore à l’amour !
Alors continues à le croire tu es peut être sur la bonne voie …
Tendresse
Il n'en tient qu'à vous !
Une chanson peut illuminer un moment,
Une fleur peut ranimer un rêve.
Un arbre peut devenir forêt,
Un oiseau peut annoncer le printemps.
Un sourire fait naître l’amitié,
Une poignée de main réconforte une âme.
Une étoile peut guider un navire sur la mer,
Un mot peut définir l’objectif.
Un vote peut changer un pays,
Un rayon de soleil peut illuminer une pièce.
Une chandelle efface la noirceur,
Un rire triomphera de la tristesse.
Chaque voyage commence par un pas,
Chaque prière commence par un mot.
Un espoir remontera notre moral,
Un toucher peut montrer que vous compatissez.
Une voix peut parler avec sagesse,
Un cœur peut savoir ce qui est vrai,
Une vie peut faire toute la différence,
Vous voyez, il n’en tient qu’à vous !
Une fleur peut ranimer un rêve.
Un arbre peut devenir forêt,
Un oiseau peut annoncer le printemps.
Un sourire fait naître l’amitié,
Une poignée de main réconforte une âme.
Une étoile peut guider un navire sur la mer,
Un mot peut définir l’objectif.
Un vote peut changer un pays,
Un rayon de soleil peut illuminer une pièce.
Une chandelle efface la noirceur,
Un rire triomphera de la tristesse.
Chaque voyage commence par un pas,
Chaque prière commence par un mot.
Un espoir remontera notre moral,
Un toucher peut montrer que vous compatissez.
Une voix peut parler avec sagesse,
Un cœur peut savoir ce qui est vrai,
Une vie peut faire toute la différence,
Vous voyez, il n’en tient qu’à vous !
La Tendresse...
La tendresse est à ton esprit
Ce que la caresse est au corps
Mais si je caresse la tendresse
Mon amie ! Tu murmures, encore !
Ce que la caresse est au corps
Mais si je caresse la tendresse
Mon amie ! Tu murmures, encore !
Jeune maîtresse de la gentillesse,
Douce promesse de notre vieillesse,
D’une empathie chevaleresque,
D’une sympathie pleine de sagesse.
Susurrer gentiment à l’oreille, mon amour,
Pour m’improviser un instant troubadour,
Pour caresser ta vie avec finesse,
Calmant les maux, par des mots en liesse.
C’est toute la gamme des émotions,
D’une délicatesse en délectation,
Mon plaisir te redit bravo !
Sérénité incognito.
Mais pour comprendre la tendresse,
Il faut plonger dans la détresse,
En oubliant notre tristesse,
Pour partager notre allégresse.
Nous ne faisons qu’un seul passage,
Pas de rappel, quelque soit l’âge,
Notre vie passe comme un éclair,
A peine debout, déjà ! à terre.
Nous pouvons simplement tout faire,
Du plus beau au plus ordinaire,
Mais vraiment quelle très belle ivresse,
De dispenser notre tendresse.
Jacky et Tendresse
Douce promesse de notre vieillesse,
D’une empathie chevaleresque,
D’une sympathie pleine de sagesse.
Susurrer gentiment à l’oreille, mon amour,
Pour m’improviser un instant troubadour,
Pour caresser ta vie avec finesse,
Calmant les maux, par des mots en liesse.
C’est toute la gamme des émotions,
D’une délicatesse en délectation,
Mon plaisir te redit bravo !
Sérénité incognito.
Mais pour comprendre la tendresse,
Il faut plonger dans la détresse,
En oubliant notre tristesse,
Pour partager notre allégresse.
Nous ne faisons qu’un seul passage,
Pas de rappel, quelque soit l’âge,
Notre vie passe comme un éclair,
A peine debout, déjà ! à terre.
Nous pouvons simplement tout faire,
Du plus beau au plus ordinaire,
Mais vraiment quelle très belle ivresse,
De dispenser notre tendresse.
Jacky et Tendresse
mardi 4 janvier 2011
Je me permets...
De m'exprimer... c'est la clé de l'authenticité,
De me tromper... c'est un signe d'humilité,
De risquer... c'est un pas vers la liberté,
De dire non... c'est un gage de d'affirmation,
De m'isoler... c'est le seuil de l'intériorité,
D'écouter... c'est l'itinéraire de la vérité,
De m'interroger... c'est l'éclaircie de l'incertitude,
De dire la vérité... c'est le miroir de la transparence,
De m'émouvoir... c'est l'ouverture à l'émerveillement,
De pleurer... c'est l'éclosion de la sensibilité,
De rire... c'est l'apanage de la joie,
De chanter... c'est le palliatif de la tristesse,
De prier... c'est l'abreuvement à la source
De pardonner... c'est l'ultime pas vers la libération,
De remercier... c'est l'amorce vers la gratitude,
De rêver... c'est l'ascension vers la réalisation.
De me tromper... c'est un signe d'humilité,
De risquer... c'est un pas vers la liberté,
De dire non... c'est un gage de d'affirmation,
De m'isoler... c'est le seuil de l'intériorité,
D'écouter... c'est l'itinéraire de la vérité,
De m'interroger... c'est l'éclaircie de l'incertitude,
De dire la vérité... c'est le miroir de la transparence,
De m'émouvoir... c'est l'ouverture à l'émerveillement,
De pleurer... c'est l'éclosion de la sensibilité,
De rire... c'est l'apanage de la joie,
De chanter... c'est le palliatif de la tristesse,
De prier... c'est l'abreuvement à la source
De pardonner... c'est l'ultime pas vers la libération,
De remercier... c'est l'amorce vers la gratitude,
De rêver... c'est l'ascension vers la réalisation.
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