vendredi 25 juillet 2008
Besoin de ta main...
J'ai besoin de ta main pour y mettre la mienne,
j'ai besoin de ton coeur pour y cacher ma peine
j'ai besoin de tes bras pour consoler mes larmes
et besoin de ta force pour y forger mes armes.
J'ai besoin de tes doigts pour mettre sur ma peau,
la chaleur d'un volcan, la fraîcheur d'un ruisseau,
j'ai besoin de tes mains pour habiller mon corps,
de vagues de soleil, de gouttelettes d'or.
J'ai besoin de ta bouche qui pose sur mes lèves,
la douceur d'un baiser ou le feu d'une fièvre,
j'ai besoin de ton coeur cognant ma poitrine,
une chanson d'amour en duo et sourdine.
J'ai besoin de tes yeux plongeant dans l'océan,
de craintes cachées, de mes sombres tourments,
et balayer soudain dans un train de lumière,
tout ce qui me fait peur et me désespère.
J'ai besoin de ta vie pour vivre absolument,
au temps du bonheur et au rythme du temps,
il n'y a qu'avec toi que je connais des joies,
c'est tout, tu vois...moi, j'ai besoin de toi..
lundi 21 juillet 2008
Tendre amour...
Es-tu bien sûr, ami, qu'elle n'ait pu l'entendre,
Ce murmure d'amour élevé sur ses pas ?
La femme, crois-moi, sait toujours le comprendre
Ce langage muet qui se parle tout bas.
Si Dieu l'avait créée à la fois douce et tendre,
Elle a dû se livrer de douloureux combats
Et tenir à deux mains son coeur pour le défendre
Contre un amour si vrai qu'il ne se trahît pas.
A l'austère devoir pieusement fidèle,
Sa vertu la plus haute était peut-être celle
De paraître insensible et distraite à ta voix.
Penses-tu seul avoir un secret dans ton âme ?
Il est sur cette terre, ami, plus d'une femme
Qui garde un front serein tout en traînant sa croix.
Ce murmure d'amour élevé sur ses pas ?
La femme, crois-moi, sait toujours le comprendre
Ce langage muet qui se parle tout bas.
Si Dieu l'avait créée à la fois douce et tendre,
Elle a dû se livrer de douloureux combats
Et tenir à deux mains son coeur pour le défendre
Contre un amour si vrai qu'il ne se trahît pas.
A l'austère devoir pieusement fidèle,
Sa vertu la plus haute était peut-être celle
De paraître insensible et distraite à ta voix.
Penses-tu seul avoir un secret dans ton âme ?
Il est sur cette terre, ami, plus d'une femme
Qui garde un front serein tout en traînant sa croix.
Quelques pensées...
A ma Mère....
Lorsque, ma soeur et moi, dans les forêts profondes,
Nous avions déchiré nos pieds sur les cailloux,
En nous baisant au front, tu nous appelais fous,
Après avoir maudit nos courses vagabondes.
Puis, comme un vent d'été confond les fraîches ondes
De deux petits ruisseaux sur un lit calme et doux,
Lorsque tu nous tenais tous deux sur tes genoux,
Tu mêlais en riant nos chevelures blondes.
Et pendant bien longtemps nous restions là, blottis,
Heureux, et tu disais parfois : "O chers petits,
Un jour vous serez grands et moi je serai vieille !
"Les jours se sont enfuis d'un vol mystérieux,
Mais toujours la jeunesse éclatante et vermeille
Fleurit dans ton sourire et brille dans tes yeux.
Théodore de Banville
Nous avions déchiré nos pieds sur les cailloux,
En nous baisant au front, tu nous appelais fous,
Après avoir maudit nos courses vagabondes.
Puis, comme un vent d'été confond les fraîches ondes
De deux petits ruisseaux sur un lit calme et doux,
Lorsque tu nous tenais tous deux sur tes genoux,
Tu mêlais en riant nos chevelures blondes.
Et pendant bien longtemps nous restions là, blottis,
Heureux, et tu disais parfois : "O chers petits,
Un jour vous serez grands et moi je serai vieille !
"Les jours se sont enfuis d'un vol mystérieux,
Mais toujours la jeunesse éclatante et vermeille
Fleurit dans ton sourire et brille dans tes yeux.
Théodore de Banville
La Sincérité...
La sincérité
C'est l’absence de réticence,
Oser la confiance.
L’âme qui se confesse,
Oubliant ce qui la blesse.
Cultiver une certaine croyance,
Sentir que l’on a de l’importance.
Ne plus craindre le mensonge,
Dévoiler ses songes.
Mais cette vérité,
Ne rime plus avec sincérité.
Car mille fois abusé,
Il vaut mieux oublier
Ce que ce mot signifiait.
L'offrande...
Si chaque personne offrait une rose d’Amour...
En écoutant l’autre, en ouvrant son cœur au blessé de la vie,
En partageant son avoir, en souriant au visage ravagé,
En tendant une main au désespéré, en offrant son bras au chancelant,
En compatissant avec le souffrant, en chantant avec le comblé ,
En écrivant à l’oublié, en téléphonant à celui qui attend,
En aimant le mal-aimé, en réchauffant le sans-abri,
En comprenant le délinquant,
En prenant dans ses bras un enfant, en embrassant un vieillard,
En essuyant une larme à l’incompris, en respectant le marginal,
En semant la joie au désespéré, en pardonnant à l’insultant...
Alors, tout doucement la Paix descendrait
Et la terre deviendrait un parterre de pétales d’amour…
La semeuse de l'Amitié...
La semeuse d’Amitié
Aime sans devoir compter.
Sans jamais vouloir blesser
En soufflant des mots légers
Malgré tous les tourments
Elle ouvre son coeur d’enfant.
Un peu d’amour dispersé
Sans jamais vouloir juger
Elle vole au secours d’amis.
D’Amitié elle aime et vit
Apportant Sourire et appui
Même si rien ne va tant pis.
Il lui est donné cette candeur
Toujours porteuse de douceur
Il ne lui est rien imposé,
Elle ne sème que l’Amitié
samedi 5 juillet 2008
Près de Toi...
Ma vie était sans toi, telle un nuage gris,
J'étais seule parfois, et mon coeur assombri.
Et puis je t'ai connu, ainsi, un beau matin,
Comme un bel inconnu, debout sur mon chemin.
Amoureux, pas à pas,tu m'ouvrais le chemin ;
Moi je suivais tes pas comme on suit son destin.
Je marchais près de toi sans m'éloigner d'un pas,
Et mon amour pour toi, croissait à chaque pas.
Hirondellen
Un regard...
Tout a commencé quand nos regards se sont croisés,
Tu as renversé mon coeur, tu l'as fait chavirer.
Un vent d'amour m'a fait perdre la tête
Notre histoire est née pour ne pas qu'elle s'arrête.
Notre amour grandit de jour en jour
Je te laisse entrer et ferme mon coeur à double tour.
Tout devient beau et merveilleux
Quand je vais me noyer au large de tes yeux.
Des sentiments encore ignorés se sont crées
Il faut les conserver et ne jamais les briser.
Dans tes bras je pars m'envoler
Dans un monde doux et sucré.
La flamme de mes yeux s'est allumée
Le soir où nos lèvres se sont touchées.
Aujourd'hui le destin nous appartient
A nous seul de savoir prendre le même chemin.
Mon amour pour toi est le plus grand
Je n'ai aucun doute sur mes sentiments.
Je t'aime.
Julie Jamar
Histoire d'un amour...
Mon histoire, c'est l'histoire d'un amour
Dalida - Reprise par Danny Brian
Ma complainte, c'est la plainte de deux coeurs
Un roman comme tant d'autres qui pourrait être le vôtre
Gens d'ici ou bien d'ailleurs
C'est la flamme qui enflamme sans brûler
C'est le rêve que l'on rêve sans dormir
Un grand arbre qui se dresse plein de forces et de tendresse
Vers le jour qui va venir, c'est l'histoire d'un amour éternel et banal
Qui apporte chaque jour tout le bien tout le mal avec la roue l'on s'enlace
Celle où l'on se dit adieu avec les soirées d'angoisse et les matins merveilleux
Mon histoire, c'est l'histoire qu'on connaît
Ceux qui s'aiment, jouent la même, je le sais
Mais naïve ou bien profonde
C'est la seule chanson du monde qui ne finira jamais
C'est l'histoire d'un amour qui apporte chaque jour tout le bien tout le mal
Avec la roue l'on s'enlace
Celle où l'on se dit adieu avec les soirées d'angoisse et les matins merveilleux
Mon histoire, c'est l'histoire qu'on connaît
Ceux qui s'aiment, jouent la même, je le sais
Mais naïve ou bien profonde
C'est la seule chanson du monde qui ne finira jamais...
C'est l'histoire d'un amour
Dalida - Reprise par Danny Brian
Un sourire...
Ce que je sollicite n’est pas grand-chose,
Un petit cadeau qui n’est pas une chose,
Point de mots doux écrits en prose,
Mais ton sourire qui sera l’apothéose.
Un petit cadeau qui n’est pas une chose,
Point de mots doux écrits en prose,
Mais ton sourire qui sera l’apothéose.
Recevoir du courage pour dépasser la survie,
Ôter pour toujours les scories de ma vie,
Retrouver à nouveau le bonheur de rire,
Dans la douce sensation de pouvoir chérir.
J’apprécie tous tes mots en couleur,
Qui m’ouvrent à de nouvelles valeurs,
Dans tes bras l’existence est douce saveur,
Révolue cette époque de la rancœur.
Je dessine le contour de ton sourire,
Grâce à lui, je ne pourrais pas souffrir,
Au dernier moment où je devrais partir,
J’emporterais ce que mes yeux peuvent retenir.
Ôter pour toujours les scories de ma vie,
Retrouver à nouveau le bonheur de rire,
Dans la douce sensation de pouvoir chérir.
J’apprécie tous tes mots en couleur,
Qui m’ouvrent à de nouvelles valeurs,
Dans tes bras l’existence est douce saveur,
Révolue cette époque de la rancœur.
Je dessine le contour de ton sourire,
Grâce à lui, je ne pourrais pas souffrir,
Au dernier moment où je devrais partir,
J’emporterais ce que mes yeux peuvent retenir.
Roman
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